W, la série W. « Challenge AZ : X comme enfant abandonné | Accueil | Challenge AZ : V comme viscéralité des archives » Challenge AZ : W comme série W ou comment on passe d'archiviste à généalogiste professionnel Par Stéphane Cosson le 4 avril 2013 | (2) Commentaires | Permalink Qu'est-ce que je déteste cette série !
C'est une des raisons pour lesquelles je ne suis pas devenu archiviste. L'autre raison ? Bref, revenons à notre série W. C'est mon passage dans une entreprise aidant les personnes en difficulté d'emploi qui m'a permis de comprendre où était le hic. L'existence de l'âge intermédiaire des archives, le cycle de vie des documents, la notion de valeur primaire et secondaire, le préarchivage, les tableaux de gestion, les bordereaux de versement, bref tout ce qui fait le travail actuel des archivistes, sur le papier, pendant les cours d'archivistisque, ça m'allait.
Commentaires Rédigé par : Jordi | 5 avr 2013 10:40:41 ha, la série W ! Rédigé par : Stéphane Cosson | 5 avr 2013 12:02:12. W comme W (la lettre de l'alphabet) Comme En l'absentement de W en mes aïves, j'ai décidé de vous l'aconoistre, je m'en vais donc vous narrois toute l'acuisseté du doublevé.
Traduction pour ceussent qui maitrisent peu ou prou notre Vieux François: En l'absence de W dans mes Aïeux, j'ai décider de vous en parler, je vais donc vous conter toutes les subtilités du W. Bien que la lettre W eût été utilisée depuis le XVIIe siècle, le W n’était pas encore considéré comme lettre à part entière dans le Dictionnaire de l’Académie française de 1935. La W est la 23e lettre et la 18e consonne de l'alphabet latin. Notre alphabet n’a d’abord compté que 23 lettres comme l’alphabet latin (le I s’écrivait j en minuscule. Le W est « la dernière venue » selon Grevisse et Goosse, Bon Usage , 13e édition, 1993, § 84, p. 85. Cette lettre, précisent les mêmes auteurs, servait au Moyen Âge dans les manuscrits picards, wallons et lorrains, ainsi que dans le manuscrits anglo-normands.
Rue de Wailly. Mardi 30 avril 2013 2 30 /04 /Avr /2013 17:20 Il y a quelques semaines, quelqu'un expliquait que l'on pouvait être attaché a une maison, mais que l'inverse existait aussi, une maison qui reste présente en vous à jamais. c'est vrai !
A ma naissance, nous habitions une très grande maison dite "maison de Maîtres", qui se trouvait rue de Wailly dans ma ville natale. Ma grand-mère maternelle et son fils habitaient avec nous, ainsi que mon cousin de 2 ans mon ainé et qui était orphelin de mère. Cette maison était magnifique, nous y étions très attaché, pendant des années elle fût " notre château ", ma mère la chatelaine. Bâtie dans les années 1880, était la quintessence de la haute bourgeoisie lainière. Quand avec mon cousin -qui habite désormais assez loin- nous nous revoyons, nous replongeons quasi immédiatement dans l'atmosphère si envoûtante de cette maison inoubliable et qui nous possédera toujours. La vengeance d'une maison qui ne voulait pas mourir. Pour nous elle ne mourra jamais.
Week-end. W comme WEEK END de recherches Un des plaisirs de la généalogie, se sont ces promenades ou découvertes d'une maison, d'un village, d'une ville ou d'une région où ont vécus nos ancètres. on peut aussi passer son temps dans les salles de lecture des Archives Départementales, des Archives Militaires, CAOM .etc...
Pour ma part , j'ai fréquenté les Archives Départementales de Mende, de Bordeaux et de Paris. Les Archives militaires de Caen et de Vincennes. Je suis allée me promener à Bordeaux et retrouvé les maisons familiales, j'ai fait une belle promenade dans la vallée d'Aspe avec la découverte du maison familiale à Osse en Aspe. retrouvé les cousins et les cousines de Chateauneuf de Randon fait la connaissance d'un cousin de St Junien et découvert l'histoire des gantiers découvert l'histoire et les maisons de la famille Régnier à Neuvy sur Loire et bientôt , je vais me promener à Treigny, village de la Puisaye , pour voir si le Moulin Brisset existe toujours... rue de Talence à Bordeaux.
Wild West Show. En septembre 1905, à Poitiers, a eu lieu un show international !
Le Wild West Show a été créé en 1883 par William Frederick Cody, alias Buffalo Bill, le chasseur de bisons, héros de l'Ouest américain qu'on ne présente plus. La venue a Poitiers de ce spectacle a passionné les foules qui se sont fait un plaisir de venir voir tous ces "cow-boys, indiens, et autres curiosités légendaires venus tout droit de l'autre côté du globe. De la publicité était même publiée dans la presse locale pour attirer le chaland. Et forcément le succès a été au rendez vous : Je me demande juste pourquoi des troupes impériales japonaises se sont retrouvés au milieu d'indiens et de cow-boys, mais on va dire qu'il fallait susciter la curiosité de tous.
World War I.