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Lectures

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Les quatre vies de "Je suis une légende", le chef-d'œuvre de Richard Matheson.

Lectures : littérature, Shoah & IIGM

Rosales_lavilleinvisible. Mirador del palau de Carles III Sant Carles de la Ràpita ; Montsià ; Catalunya Salvany i Blanch, Josep, 1916 Biblioteca de Catalunya) J'ai lu récemment La Ville Invisible, roman publié par Emili Rosales à Barcelone, en 2005.

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Inspirée par le titre, l'espace d'un instant, je me suis souvenue des Villes invisibles (1972), autrefois célébrées par Italo Calvino. Il vient à l'homme qui chevauche longuement au travers de terrains sauvages le désir d'une ville... Italo Calvino, Les villes invisibles, I, 2 J'ai remarqué par la suite que le point de vue d'Emili Rosales retourne, en le répliquant, celui d'Italo Calvino. Nous allions jouer à la Pedrera, le trou colossal qui s'ouvre dans la masse rocheuse qui, de la montagne du Montsia, se jette, indécise, dans la baie.

Lovecraft

La revue Frontières. Philip K Dick. L'Art français de la guerre. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

L'Art français de la guerre

Historique[modifier | modifier le code] Considéré depuis de nombreuses semaines comme le favori, le roman reçoit — notamment sous l'impulsion de Régis Debray qui fait campagne pour le livre au sein de l'Académie Goncourt l'année de son élection au sein de la compagnie — le le prix Goncourt au premier tour de scrutin par cinq voix contre trois à Du domaine des murmures de Carole Martinez[1],[2].

Résumé[modifier | modifier le code] Réception critique[modifier | modifier le code] La critique a été partagée. Nelly Kaprièlian, dans Les Inrockuptibles, y voit une « fresque pompière et académique[9] », ennuyeuse et marquetée pour le prix Goncourt (son obtention y est d'ailleurs qualifiée de « défaite pour la littérature »)[10]. Fiction - L'Art français de la guerre, d'Alexis Jenni. La plume et le pinceau : à propos de L’Art français de la guerre d’Alexis Jenni, par Jean-Baptiste Fichet.

L'art français de la guerre, de Alexis Jenni. « J'allais mal ; tout va mal ; j'attendais la fin.

L'art français de la guerre, de Alexis Jenni

Quand j'ai rencontré Victorien Salagnon, il ne pouvait être pire, il l'avait faite la guerre de vingt ans qui nous obsède, qui n'arrive pas à finir, il avait parcouru le monde avec sa bande armée, il devait avoir du sang jusqu'aux coudes. Mais il m'a appris à peindre. Il devait être le seul peintre de toute l'armée coloniale, mais là-bas on ne faisait pas attention à ces détails. Il m'apprit à peindre, et en échange je lui écrivis son histoire. Il dit, et je pus montrer, et je vis le fleuve de sang qui traverse ma ville si paisible, je vis l'art français de la guerre qui ne change pas, et je vis l'émeute qui vient toujours pour les mêmes raisons, des raisons françaises qui ne changent pas. . « L'armée en France est un sujet qui fâche.

Sherlock Holmes

Auteurs étrangers (japon) Les 50 documents les plus téléchargés dans Gallica. Les usages que les Gallicanautes font de leur bibliothèque numérique réservent des surprises, comme en témoigne la liste des 50 documents les plus téléchargés dans Gallica !

Les 50 documents les plus téléchargés dans Gallica

Si les dictionnaires de référence comme le Furetière, le Littré ou le Grand Dictionnaire universel du XIXe siècle de Larousse figurent en bonne place au sein du classement des documents les plus téléchargés dans Gallica, la présence d’autres titres peut surprendre, telle celle du Dictionnaire infernal de Collin de Plancy qui se trouve à la tête de ce palmarès. Les ouvrages traitant d’ésotérisme se taillent en effet la part du lion : ils représentent près d’un tiers des 50 premiers titres.

R.I.P. Ray Bradbury, Author of Fahrenheit 451 and The Martian Chronicles. Les livres brûlent-ils vraiment à 451°F? Temps de lecture: 2 min L’écrivain américain Ray Bradbury s’est éteint le 5 juin dernier.

Les livres brûlent-ils vraiment à 451°F?

L’un de ses célèbres romans s’intitule Fahrenheit 451, en référenceà la «température à laquelle le papier des livres prend feu et brûle». Est-il exact que le papier brûle à 451 degrés Fahrenheit (233 degrés Celsius)? Pas tout à fait. Le titre du livre de Ray Bradbury fait référence au point d’auto-inflammation du papier, c’est-à-dire la température à laquelle il brûle en l’absence d’exposition directe à une flamme. Le point d’auto-inflammation du papier des livres plus anciens varie entre 440 et 450 °F (entre 227 et 232°C). Dans un four à 480°F (249°C), une feuille de papier s’embraserait en quelques minutes, mais un livre épais tarderait beaucoup plus. Ray Bradbury affirmait que le «papier de livre» brûle à 451°F (233°C), et il est vrai que les températures d’auto-inflammation varient selon le type de papier.

Entrée Livre : Critiques et avis de lecteurs, libraires et auteurs. Henry Bauchau : “L’histoire du monde serait plus juste si l’on tenait compte de l’histoire des dormeurs et de leurs songes” - Livres.

Huysmans

26 mars : la nouvelle pièce de Fabrice Hadjadj aux Bernardins.