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La croissance à tout prix ??

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Croissance Economique. Compétitivité économique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Compétitivité économique

Sur les autres projets Wikimedia : compétitivité, sur le Wiktionnaire La compétitivité d'une entreprise désigne sa capacité à affronter des concurrents sur des marchés donnés. Elle s'évalue au travers de la dynamique de ses parts de marché. Elle résulte de sa capacité d'être compétitive sur les prix, de sa capacité à proposer régulièrement des innovations et de sa capacité à proposer des services additionnels La compétitivité économique désigne la capacité d'un secteur économique, d'un territoire (pays, bassin économique...) à vendre et fournir durablement un ou plusieurs biens ou services marchands sur un marché donné en situation de concurrence.

Compétitivité d'entreprise[modifier | modifier le code] La compétitivité d'une entreprise ou d'un territoire est mesurée par la constatation d'un avantage résultant d'une différence existante entre l'offre faite par un opérateur et celle(s) faite(s) par ses compétiteurs. La croissance d’abord ? « C’est la plus forte des croyances économiques. » (2) - FAKIR. La croissance, l’économiste Jean Gadrey, hier « productiviste », ne l’attend plus.

La croissance d’abord ? « C’est la plus forte des croyances économiques. » (2) - FAKIR

Il lui a dit « adieu », même. Et d’après lui, c’est tant mieux. « Là, tous les travaux, les bulldozers, c’est pour le grand stade du grand foot lillois. » Jean Gadrey nous accueille à la sortie du métro Cité scientifique, à Villeneuve-d’Ascq, dans le Nord. Et d’emblée, il embraie :« Pour ce grand projet, ils vont installer des parkings partout aux alentours, jusqu’à plus d’un kilomètre à la ronde... et même en plein cœur de l’université. Tout un symbole : ils vont faire de l’université un parking ! Le vaudou des dirigeants. Jean Gadrey : « S’affranchir du mythe de la croissance et reprendre la main. Les politiques actuelles ne marchent plus.

Jean Gadrey : « S’affranchir du mythe de la croissance et reprendre la main

Il faut en finir avec cette idée que sans croissance rien n’est possible, affirme l’économiste Jean Gadrey, membre du comité de soutien du parti Nouvelle Donne. Nul besoin d’attendre une hypothétique croissance pour partager le travail, réduire la pauvreté et la précarité, ou taxer les transactions financières. Il est temps d’en finir avec cette idée du candidat François Hollande en 2012, reprise sans cesse par le Président, selon laquelle « sans croissance, il n’y a pas de redressement économique, pas de création d’emploi » et même pas de progrès social possible.

Cette idée nous condamne à l’impuissance politique. D’innombrables travaux montrent que, dans le groupe des pays les plus « riches » au sens usuel, les indicateurs de développement humain, de bien vivre, de santé et d’éducation, de délits et violences… n’ont plus aucun rapport avec le niveau du PIB par habitant. Jean Gadrey, économiste et membre du comité de soutien de Nouvelle Donne. La baisse tendancielle du taux de croissance (1/4) : les constats. Quoi que l’on pense du débat opposant les avocats de la croissance et ceux de la décroissance, le fait est là : depuis soixante ans, on assiste à un déclin spectaculaire des taux de croissance économique et des gains de productivité du travail.

La baisse tendancielle du taux de croissance (1/4) : les constats

Pourquoi ? Début d’un feuilleton en quatre épisodes, avec beaucoup de graphiques pour illustrer. Pour passer directement au deuxième épisode, utiliser ce lien : Le premier graphique doit faire frémir Jacques Attali. PIB et PIBED : Etat Providence Participatif=société des participants. L'économie durable est la conjonction de trois aspects de l'activité, un aspect économique, un aspect écologique et un aspect social.

PIB et PIBED : Etat Providence Participatif=société des participants

Le PIB est souvent critiqué parcequ'il agrège des activités qui ne nous enrichissent pas, comme les déraillements de trains. Il serait sans doute plus efficace de mesurer la richesse d'un pays et son évolution sur la base de données comparables au capital propre et au résultat d'exploitation employées pour les entreprises. Toutefois, il est possible de contourner les inconvénients du PIB en le pondérant par des critères écologiques et sociétaux. Vous avez dit normal ? Vous avez dit normal ?

Vous avez dit normal ?

Tribune parue dans Les Echos 3 juin 2014 site de l'auteur : www.manicore.com - contacter l'auteur : jean-marc@manicore.com Qu’il s’agisse de climat, du temps d’un trajet en train, ou de ventes d’une entreprise, une situation "normale" est généralement comprise comme une situation où demain ressemble à la moyenne de ce qui s’est passé hier. Ainsi, si la température de demain à Paris doit être "inférieure à la normale de saison", nous comprendrons tous qu’il fera moins chaud que ce que, en l’absence de toute autre indication, nous aurions considéré il y a 2 mois comme le plus probable pour ce jour là. Cette question de la normalité future s’applique aussi au PIB, agrégat qui nous rend particulièrement fébrile en ce moment, puisque les recettes fiscales, le taux d’emploi sans baisser les salaires, le déficit public ou encore la capacité d’investissement en dépendent plus ou moins directement.

Cadeau bonus : quelques graphiques à l'appui de l'article. Le culte de la Croissance et du Développement. Culte de la "Croissance" et du "Développement". Bien des personnes on réfléchit à l’idée de la croissance, soit de la progression économique et social, des sociétés et sont aboutis à plusieurs conceptions de ce phénomène.

La croissance fait généralement référence à une espèce de marche continue des peuples dans l’Histoire; il arrive rarement à nos consciences, imbibés dans le carcan de la pensée judéo-chrétienne linéaire du temps, de penser qu ’une croissance pourrait aller dans le sens inverse de l’Histoire. Vive la croissance! La croissance économique n'a pas la cote.

Vive la croissance!

Pour qui suit l'actualité, il ne se passe pas de semaine sans tomber sur un article ou un intervenant, en général issu d'un pays prospère, présentant négativement la croissance du PIB; celle-ci serait une "drogue", une addiction dont nous devrions nous guérir pour enfin vivre heureux (un avatar récent de ce genre ici). Vous avez probablement entendu parler du mouvement de la "décroissance" à moins d'avoir vécu dans une cave pendant les 10 dernières années (auquel cas, vous l'avez expérimentée directement). En face de cela, il n'y a rien. C'est que les économistes, qui seraient les mieux placés pour expliquer ce qu'est la croissance, apprennent dès leurs premiers cours que le PIB est un indicateur bourré de limites, qui ignore des pans entiers d'activité économique, valorise des gaspillages, évalue mal les activités non marchandes.

C'est regrettable. La principale critique que l'on peut adresser au PIB est de mal mesurer le bien-être. Consommer moins pour gagner plus, la vérité sur la crise économique. Et si la crise, qu'on nous a dit 10 fois être terminée, ne pouvait l'être tant que l'on n'aurait pas posé le problème pour ce qu'il est ?

Consommer moins pour gagner plus, la vérité sur la crise économique

Si les solutions apportées jusque là ne fonctionnent pas, c'est qu'elles ne sont pas en adéquation avec les vraies causes de la crise. Les 30 glorieuses se sont terminées avec le premier choc pétrolier, qui eut lieu en 1973. Le second, en 1979, en renforça l'effet. Dominique Méda : « Il faut de nouveau réduire le temps de travail » « La Mystique de la croissance » de Dominique Méda Nous sommes prisonniers de la croyance en la croissance.

Dominique Méda : « Il faut de nouveau réduire le temps de travail »

Elle est dans les têtes. Nos indicateurs sont tous pointés vers cet objectif. Notre système économique et social est entièrement organisé autour d’elle. BONUS : la dette publique est Odieuse ! ==> @L'exploitation comme progrès ? De la DETTE... odieuse ! ♚ @du Pouvoir pyramidal.