background preloader

Fausse infos

Facebook Twitter

Trump lance ses propres "Real news" pour contrer les médias traditionnels. Pour lutter contre la couverture des médias classiques, qu'il n'a de cesse de traiter de convoyeurs de "Fake news", Donald Trump et son équipe ont lancé leur propre service de "vraies informations", simplement appelé "Real news".

Trump lance ses propres "Real news" pour contrer les médias traditionnels

Son arrivée à la Maison Blanche n'a pas ralenti le rythme de publication des tweets rageurs du président, qui s'emporte contre les médias dès que leur couverture de sa présidence n'est pas à son goût. Tweets et humour : le cas du Gorafi. 1En mai 2012, au moment de la campagne présidentielle française, est né un site d’information humoristique sur le modèle de The Onion1 et intitulé Le Gorafi.

Tweets et humour : le cas du Gorafi

D’abord simple fil de discussion sur Twitter, Le Gorafi s’est transformé en blog, puis en site Web2, et de 2014 à juin 2015, il s’est décliné sous la forme d’une pastille humoristique dans Le Grand Journal de Canal+. La plupart des articles du site Web, largement relayés sur les réseaux socio-numériques, commentent les faits d’actualité, réels ou imaginaires, de façon décalée, en reprenant et détournant non seulement la plupart des codes de la presse, mais aussi ceux du Web. Incarné à la télévision par Pablo Mira, Le Gorafi présente une chronique décalée qui parodie les journaux télévisés d’information en continu. À ce titre, il offre un exemple remarquable d’humour qui se déploie sur différents supports et dont il s’agira ici d’analyser la circulation. Le site Internet du Gorafi : pastiche de l’information 2.0.

Trump lance ses propres "Real news" pour contrer les médias traditionnels. Comment les fausses nouvelles se propagent-elles ? Trolls Are Targeting Indian Restaurants With A Create-Your-Own Fake News Site. Les médias et l'école contre les fausses informations.

Tandis que la confiance dans les médias en France est au plus bas selon un récent sondage et que la consommation de l'information se fait de plus en plus sur les réseaux sociaux, les fausses informations se multiplient à l'approche de l'élection présidentielle en France.

Les médias et l'école contre les fausses informations

Hillary Clinton était gravement malade pendant la campagne présidentielle américaine.La France a réservé près de 80.000 logements sociaux aux migrants.L'épisode de pollution qui a touché la France en fin d'année 2016 avait pour origine des usines à charbon allemandes. Ces trois informations sont fausses. Pourtant, plus de 30% des Français les ont jugées "vraies" selon le baromètre annuel de Kantar-Sofres pour La Croix. Désormais, l'internaute s'y perd entre les contenus provenant de sites parodiques d'information, des sites d’extrême-droite ou encore de sites complotistes.

Fake news : "Rien n'influence plus les êtres humains que la parole" Index. À la source des fake news, l’interdépendance presse/réseaux sociaux. Les acteurs dominants du numérique développent une stratégie de séduction des producteurs de contenus C’est une considération qui fait l’unanimité : la presse a besoin des réseaux sociaux (et des moteurs de recherche).

À la source des fake news, l’interdépendance presse/réseaux sociaux

Cette certitude, appuyée par quantité d’études montrant que les internautes s’informent de plus en plus sur les réseaux sociaux, est devenue quasiment une doxa, une considération indiscutable. Pourtant, si la presse, notamment écrite, dans la mesure où les éditions papier subissent d’importantes pertes d’audience année après année, a effectivement besoin de ces relais d’audience que sont les réseaux sociaux et moteurs de recherche, les acteurs dominants de la conversation numérique (Facebook, Google, Snapchat ou Twitter) ont tout aussi besoin de la presse. HabiloMédias et Facebook affrontent les fausses informations dans le cadre d’une nouvelle initiative canadienne.

Les médias et l'école contre les fausses informations. A Field Guide to Fake News. Une proposition de loi pour lutter contre les «fake news» en France, pour qui, pourquoi ? Un projet de loi créant une peine allant jusqu'à un an de prison et 15 000 euros d'amende pour punir la diffusion de «fake news» sera présenté au Sénat.

Une proposition de loi pour lutter contre les «fake news» en France, pour qui, pourquoi ?

Faits alternatifs, fake news, post-vérité… petit lexique de la crise de l’information. Théorie selon laquelle l'émotion et la croyance comptent désormais plus que les faits Post-truth, en anglais, fut le mot de l'année 2016, selon l'Oxford Dictionnary.

Faits alternatifs, fake news, post-vérité… petit lexique de la crise de l’information

Il se rapporte, explique la publication britannique, aux « circonstances dans lesquelles les faits objectifs ont moins d'influence sur l'opinion publique que ceux qui font appel à l'émotion ou aux croyances personnelles ». "Fake news", ça veut dire quoi ? - L’expression a été popularisée par le nouveau président américain, Donald Trump, qui l’a employée à innombrables reprises depuis son élection (et avant), comme ici : Dans le viseur de Donald Trump quand il parle de « fake news », le New York Times, CNN ou encore le Washington Post, c’est-à-dire des journaux très sérieux, parmi les plus réputés de la planète.

"Fake news", ça veut dire quoi ? -

Alors, les « fake news », c’est quoi ? Des informations qui ne plaisent pas au président américain, ou bien des rumeurs, de l’intox, qui n’a rien à voir avec de l’information ? Incarnez un créateur de « fake news » pour découvrir les coulisses de la désinformation - Tech. Comment naissent les articles de désinformation ?

Incarnez un créateur de « fake news » pour découvrir les coulisses de la désinformation - Tech

Par quel moyens leurs créateurs s'enrichissent-ils ? Un jeu en ligne dévoile les coulisses de cette industrie de la calomnie en vous glissant dans la peau d'un gérant de site de « fake news ». Et si le meilleur moyen de comprendre le phénomène des articles de désinformation était d’en créer soi-même ? Mélenchon, la citation tronquée et les bulles. Des effets pervers du fact-checking.

Mélenchon, la citation tronquée et les bulles

Rectifier mensonges et intox, c'est très bien. L'inconvénient, c'est que la rectification colporte l'intox, même rectifiée, dans des sphères qu'elle n'avait pas atteintes jusque là à la seule force de ses petits bras. Un petit sondage : vous le saviez, vous, qu'il paraitrait que Mélenchon, en 1991, aurait déclaré "le seul parti qui réhabilite la politique, aujourd'hui, c'est le Front National" ? Moi non plus. Eh bien on avait raison de ne pas le savoir. La citation provient d'une interview accordée à feu le Quotidien de Paris, quotidien de droite du siècle dernier. Antisèche : comment repérer une « fake news » ? - Le Parisien. Ces fausses nouvelles, souvent liées à une opération de désinformation, envahissent les réseaux.

Antisèche : comment repérer une « fake news » ? - Le Parisien

Pour freiner leur diffusion, Facebook lance un outil de signalement. Les fake news (fausses informations) sont des mensonges ressemblant à de vraies infos, diffusées de manière délibérée par un individu ou une organisation. Ces contenus ont toujours existé, mais les réseaux sociaux accroissent leur visibilité, comme dans notre exemple. 1. Qui publie l’information ? Les mille et une ruses de l’industrie de la désinformation. Enquête sur des méthodes employées par des sites trompeurs pour diffuser de fausses informations sans se faire prendre.

Lutter contre la désinformation. Lutter contre la désinformation. Polis – ‘Fake news’: the best thing that’s happened to journalism. Fake News has upset a lot of people and caused real damage but it’s been good news for journalism analysts like me. I’ve never had more interest in a media issue than this. I’ve never been busier talking and researching a topic and it’s consequences. Here are some notes that I use when I give talks about fake news. This article by Charlie Beckett, Polis, LSE @CharlieBeckett You may be sick of hearing the phrase but that is part of the problem. This is one of the most important information issues of our time.

This is not just because of those Macedonia teenagers peddling lies. Not even just because we have presidents in Russia and America who seek to profit politically and personally from encouraging a cynical, disruptive nihilism and who throw the term around like rhetorical grenades. Fake news is the canary in the digital coal mine.

Firstly, let’s recognise that ‘fake news’ is actually a range of misinformation as described in this graphic by First Draft News, the verification agency: Liseuse. Comment détruire le modèle d’affaires des fake news ? 366 links to understand fact-checking in 2016 – Poynter. 2016 was fact-checking's finest year [1]. No it wasn't, it was the year of "post-truth" [2] — some preferred "post-fact" [3] — and fact-checking is a fool's errand. The discussion about facts in journalism worldwide has rarely been as fractured and animated as it has been in 2016, so we collected 366 links, one for each day of the year, to try and make sense of what happened.

The state of play. Cet outil permet de cartographier la diffusion des fausses informations. Les fausses informations, les nouvelles sensationnalistes et les mensonges flagrants déguisés en écrits journalistiques ont hélas été l'un des thèmes majeurs cette année. Récemment, Facebook a décidé d'intervenir pour stopper leur leur propagation - cela fait pourtant des années déjà que des universitaires et data journalists travaillent sur les liens entre viralité et désinformation, composent des guides pour aider les étudiants à adopter une démarche sceptique, ou programment des extensions de navigateur afin d'étiqueter les fausses informations.

Un nouvel outil appelé Hoaxy s'apparente à cette démarche participative qui vise à épingler le bullshit quotidien de manière systématique. Il s'agit d'un site web créé par Filippo Menczer, professeur au sein de l'Observatoire des Réseaux sociaux de l'Université d'Indiana. Fausses informations en ligne : les adolescents « facilement dupés », selon une étude.

Des chercheurs de l’université de Stanford qualifient la capacité de raisonnement des jeunes sur l’information en ligne de « désolante », étude à l’appui. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Morgane Tual Alors que la question des fausses informations circulant en ligne a fait l’objet d’une polémique après l’élection de Donald Trump à la présidence des Etats-Unis, l’université de Stanford (Californie) a publié, mardi 22 novembre, le résumé d’une étude à paraître sur le niveau de vigilance des adolescents et des jeunes adultes en la matière ; elle a été relayée par le Wall Street Journal. Politique post-vérité ou journalisme post-politique ?, par Frédéric Lordon (Les blogs du Diplo, 22 novembre 2016)

Un système qui, le lendemain de l’élection de Donald Trump, fait commenter l’événement par Christine Ockrent — sur France Culture… — et le surlendemain par BHL interviewé par Aphatie, n’est pas seulement aussi absurde qu’un problème qui voudrait donner des solutions : c’est un système mort. On ne s’étonnera pas que le thème des morts-vivants connaisse un tel regain d’intérêt dans les séries ou dans les films : c’est l’époque qui se représente en eux, et c’est peut-être bien le sentiment confus de cette époque, à la fois déjà morte et encore vivante, qui travaille secrètement les sensibilités pour leur faire apparaître le zombie comme le personnage le plus parlant du moment.

Les morts-vivants Lire aussi Miguel Urban, « Crépuscule de l’“extrême centre” », Le Monde diplomatique, novembre 2016. Pub, fake, information ? Les jeunes font mal la différence sur Internet. Franceinfo junior. Comment les fausses informations circulent-elles ?