background preloader

Le droit a l'oubli

Facebook Twitter

Droit à l'oubli : Google commence à retirer des résultats de recherche. Les nettoyeurs du Net 2009. « Droit à l'oubli » : Google débouté par la justice européenne. Les particuliers pourront obtenir, sous certaines conditions, la suppression des liens vers des pages internet comportant des informations personnelles.

« Droit à l'oubli » : Google débouté par la justice européenne

Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Martin Untersinger (avec AFP) La Cour de justice de l'Union européenne (CJUE) a débouté Google, mardi 13 mai, dans une affaire de « droit à l'oubli » numérique, en estimant qu'un moteur de recherche sur Internet est responsable du traitement des données personnelles contenues dans les pages qu'il renvoie aux internautes suite à une recherche. Le communiqué de la cour précise (PDF) : « Ainsi, lorsque, à la suite d’une recherche effectuée à partir du nom d’une personne, la liste de résultats affiche un lien vers une page Web qui contient des informations sur la personne en question, la personne concernée peut s’adresser directement à l’exploitant (…) pour obtenir (…) la suppression de ce lien de la liste de résultats. » Lire : Google critiqué pour avoir scanné les mails de millions d'étudiants.

Google lance son « formulaire d'oubli » pour les Européens. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Audrey Fournier Google a plié.

Google lance son « formulaire d'oubli » pour les Européens

La firme de Mountain View n'a pas eu d'autre choix que de se conformer à la décision de justice européenne sur le droit à l'oubli : elle propose, depuis jeudi 29 mai, un formulaire en ligne qui permet aux internautes européens de demander la suppression de résultats de recherche, associés à leur nom et qu'ils ne souhaitent voir apparaître. Le formulaire de Google est disponible ici La Cour de justice des communautés européennes (CJCE) avait rendu, le 13 mai, un avis favorable au fait que des particuliers demandent au moteur de recherche, qui concentre 90 % des requêtes sur Internet en Europe, l'effacement d'informations pouvant contenir leurs données personnelles et jugées « inappropriées, hors de propos ou qui n'apparaissent plus pertinentes ».

Les demandes de retrait risquent d'exploser chez Google, du fait de la mise en ligne du formulaire. Google et le droit à l’oubli – Ce qu’il faut savoir. La Cour Européenne de Justice a imposé aux moteurs de recherches et en particulier à Google de mettre en application le droit à l’oubli pour les personnes.

Google et le droit à l’oubli – Ce qu’il faut savoir

Google n’a pas tardé à crouler sous les demandes de retraits de liens. Devant cet afflux, la firme de Mountain View a décidé de mettre en place un collège d’experts. L’arrêt de la Cour Européenne de Justice donne le droit à une personne de demander à un moteur de recherches de retirer un lien la concernant de ses résultats s’il propage des informations incomplètes, non pertinentes, obsolètes ou excessives. L’arrêt précise également qu’ils ne sont pas couverts par l’exception journalistique. Les moteurs de recherche doivent ainsi définir si les demandes sont justifiées et si elles sont dans l’intérêt du public. Google a confié au journal The Guardian que la tâche était immense et particulièrement subjective. Snapchat, l'appli de partage de photos qui te garantit (presque) le droit à l'oubli. Très prisé par les ados, Snapchat permet d'envoyer des photos qui s'autodétruisent après quelques secondes.

Snapchat, l'appli de partage de photos qui te garantit (presque) le droit à l'oubli

De quoi résoudre les problèmes de vie privée ? Là, sur votre smartphone, une notification. Vous ouvrez l’application dédiée, un blob multicolore et souriant vous accueille. Vous pressez fébrilement l’écran, une photo s’affiche. Dix secondes, puis elle disparait. Sans enregistrement, plus de crainte, et les 13-25 ans, le cœur de cible de l’application, n’hésitent plus à se montrer sous toutes les coutures.

Le « droit à l’oubli » sur Internet ne doit pas se transformer pas en droit au déni. Le Monde.fr | | Par Serge Tisseron (Psychiatre, chercheur associé habilité à diriger des recherches à l’Université Paris VII) La Cour européenne de justice a décidé en mai 2014 que tout internaute doit pouvoir obtenir la suppression des liens vers les pages Web contenant des données qui le concernent, à condition que l’information incriminée soit « non pertinente, obsolète ou inappropriée », et aussi qu’elle ne présente aucun intérêt « historique, statistique ou scientifique ».

Le « droit à l’oubli » sur Internet ne doit pas se transformer pas en droit au déni

Il n’est pas question de mettre en doute le droit des victimes de faire disparaître ce qu’elles jugent contraire à leur dignité, mais ce droit était déjà acquis. En revanche, si la décision de la Cour européenne devait être appliquée sans autre précaution, c’est-à-dire sans que le déréférencement des informations incriminées ne soit précisément signalé, ce déréférencement s’accompagnerait de fait d’un effacement de l’acte qui y a présidé. Alors trois dangers graves guetteraient les internautes. Le droit à l'oubli numérique, un casse-tête juridique 2009. Une loi pour garantir le droit à l'oubli 2009. 01net.

Une loi pour garantir le droit à l'oubli 2009

Google, Facebook, oubliez-moi ! - High-Tech 2009. "Cela tombe bien, Facebook vient d'être hacké, 300 des comptes de ses membres ont été piratés, mettant ainsi en danger leurs données personnelles".

Google, Facebook, oubliez-moi ! - High-Tech 2009

Nul doute que le plus gros réseau social du Web - qui revendique 300 millions de membres à travers le Web - a du apprécier ce message de bienvenue de Nathalie Kosciusko-Morizet. La secrétaire d'Etat à l'économie numérique avait invité jeudi matin les géants du Web à venir débattre avec une poignée d'avocats, de journalistes et d'hommes politiques du "droit à l'oubli numérique" devant les étudiants de Sciences Po. Publicité ultra-ciblée "Il faut trouver un équilibre entre le danger et l'utilité des données", est venu argumenterPeter Fleischer, responsable de la protection des données personnelles chez Google. Droit à l'oubli : vous allez pouvoir demander à Google d'effacer vos données personnelles - 30 mai 2014.