background preloader

IVG

Facebook Twitter

Medical Abortion. While You Watched the Oscars, Girls Did a Super Chill Abortion Episode. Wait, I'm confused about the last paragraph.

While You Watched the Oscars, Girls Did a Super Chill Abortion Episode

So she casually mentions abortion, which this site has asked for in media for ages - the ability to talk about abortion as a part of many women's lives without the emotion or drama that people assume come with it. So this show does it, and yet you complain that "It demonstrates no familiarity with how most women's lives look". So... what? It's a goddamn TV show. OF COURSE she's going to live in an apartment that looks like it costs more than she can afford. So which is it we're supposed to want as feminists and women?

Le droit à l'avortement dans l'UE. Dans l'Union européenne, la législation sur l'interruption volontaire de grossesse (IVG) diffère d'un pays à l'autre.

Le droit à l'avortement dans l'UE

Si dans la plupart des Etats il est autorisé, l'avortement reste interdit à Malte, ou encore en Irlande, où il n'est permis que dans le cas où la vie de la mère est en danger. En effet, l'UE n'est pas compétente en la matière pour légiférer. Cependant, dans une résolution du 3 juillet 2002, le Parlement européen recommande aux Etats membres de légaliser l'avortement. * Taux d'avortement indisponibles pour Chypre, Malte et Luxembourg. La grande majorité des Etats membres autorisent l'avortement. L'avortement : le tabou des séries américaines. Newport Beach, Sex and The City, Six Feet Under, Greys’ Anatomy, Melrose Place, Beverly Hills, Weeds, Desperate Housewives, The Secret Life of the American Teenage, Friday Night Lights, Glee… toutes les séries – à quelques rares exceptions – ont abordé un jour ou l’autre la question de l’avortement, ou plutôt du non-avortement.

L'avortement : le tabou des séries américaines

Une obsession thématique intrigante, qui peut s’expliquer par la volonté d’une majorité de séries de conquérir le public féminin, leur principale cible. Les séries reprennent donc les codes du soap opera (drames en pagaille, histoires d’amour impossibles, etc.) et abordent des sujets qui concernent directement les femmes, comme l’avortement donc. On aurait pu en rester là mais l’argument est un peu faible, surtout lorsque l’on s’aperçoit que les personnages ont très peu recours à l’IVG. Pour gérer une grossesse non désirée, les scénaristes de séries ont plus d’un tour dans leur sac et utilisent divers subterfuges : L'avortement vu par le cinéma et les séries télé. L’avortement est un acte faisant partie de la vie d’environ une Française sur trois.

L'avortement vu par le cinéma et les séries télé

Mais on ne peut pas vraiment dire que cette statistique se retrouve sur nos écrans… Cet article a été écrit dans le cadre d’un partenariat avec Obvious Child.Conformément à notre Manifeste, on y a écrit ce qu’on voulait. L’avortement, sur nos écrans, reste un thème sensible, pour ne pas dire tabou. Et quand les réalisateurs tentent de traiter ce sujet, ce n’est pas toujours avec intelligence : Obvious Child, de la réalisatrice Gillian Robespierre, reste un des trop rares exemples de film réussissant à aborder cette problématique avec justesse.

Désinformation de l'extrême droite

Culture du traumatisme. L'IVG avant. Songs. L'IVG ailleurs. IVG et injonctions masculines. LePlusNouvelObs publie tranquillement la diatribe d'une blogueuse pro-life à peine dissimulée. A Woman Filmed Her Abortion to Show That 'It's Not Scary' "Regarde, elle a les yeux grand ouverts" ou réinvestir l’espace visuel de l’IVG. Droit des femmes. IVG médicamenteuse contre IVG chirurgicale ? Le professeur Israël Nisand reçoit dans son bureau du rez-de-chaussée du centre médico-chirurgical et obstétrical (CMCO) à Strasbourg, entre deux rendez-vous d’aide médicale à la procréation.

Droit des femmes. IVG médicamenteuse contre IVG chirurgicale ?

Le CMCO et l’hôpital d’Hautepierre totalisent, à eux deux, 6 200 accouchements par an et réalisent 2 200 avortements. Depuis des mois, le chef de pôle de gynécologie obstétrique des hôpitaux universitaires de Strasbourg, à l’origine du rapport qui servit à l’élaboration de la loi Aubry sur l’IVG en 2001, est la cible de critiques des militants du droit à l’avortement. L’attaque est sévère et semble blesser un homme qui, depuis trente ans, défend aussi l’IVG et se dit « également très féministe ». En cause, un chiffre : 95 % des femmes avortant à Strasbourg utilisent la méthode médicamenteuse et seulement 5 % l’IVG chirurgicale, alors que la moyenne nationale tourne autour de 50 % pour chacune des méthodes.

Pourquoi une telle recommandation ? «Faux», rétorque Israël Nisand. Nul n’a le monopole de la parole des femmes ! Suite à la tribune de M.

Nul n’a le monopole de la parole des femmes !

Nisand, et de Mmes Letombe et Marinopoulos (Libération du 9 mars 2012) et de par notre large et ancienne pratique clinique de l’avortement, nous ne pouvons rester silencieux. Tout le monde s’accorde pour améliorer l’accès à une contraception efficace en visant l’excellence, en évitant ce qui peut l’être. Pour autant, ne tombons pas dans le piège de la psychanalyse moralisatrice en faisant de l’avortement un acte obligatoirement traumatisant et nécessitant un accompagnement forcément de longue durée dont on ne se remettrait jamais, argument largement utilisé par les antichoix ! Nul ne peut se prévaloir du monopole du psychisme des femmes, peut-être est-ce le problème ! L’avortement est une fenêtre ouverte sur l’inconscient comme tant d’actes et d’événements de la vie, ni plus ni moins.

Gisèle Halimi (20 octobre 1982) - Réquisitoire par Pierre Desproges. Une pub anti-IVG dans Le Nouvel Observateur enflamme Twitter. A Woman Filmed Her Abortion to Show That 'It's Not Scary' Avorter : pas si simple (1) Avorter, pas si simple (2) Avorter pas si simple (3) Avorter : pas si simple (4) Suppression de la «situation de détresse» ! Comment nous en venons à avorter (nos vies sexuelles) par Christine Delphy. En réponse à cette triste (et prévisible) nouvelle : Les Françaises ont du mal à avorter, une constatation étonnante en 2013, 39 ans après la loi Veil qui a donné l’accès à l’interruption volontaire de grossesse (IVG) aux femmes.

Comment nous en venons à avorter (nos vies sexuelles) par Christine Delphy

Pour certains gynécologues-obstétriciens et certains hôpitaux, l’IVG, comme acte médical, n’est pas rentable. Une équipe de reporters de France 2 a enquêté pendant plusieurs semaines avec des témoignages de patientes déboussolées, stressées, ainsi que des médecins et le planning familial. je reproduis l’article écrit en 2000 par Christine Delphy (paru dans le journal Le Monde daté du dimanche 22 octobre 2000) LE gouvernement a hésité à proposer au vote une réforme pourtant minimale de la loi de 1975 permettant l’avortement.

Jamais la pression n’a été plus forte sur les femmes et les jeunes filles. Pas n’importe quelle sexualité cependant. D’autre part, la contraception est toujours tabou. Delphy aux "pro-vie" Deux tiers des grossesses non désirées surviennent chez les femmes utilisant une contraception ! AFP 5 mai 2003 Deux tiers des grossesses non désirées surviennent chez les femmes utilisant une contraception !

Deux tiers des grossesses non désirées surviennent chez les femmes utilisant une contraception !

Une enquête de l’INEDArticle du 7 février 2004 « Les deux-tiers des grossesses non désirées sont le fait de femmes utilisant une contraception, selon une étude menée par une équipe de chercheuses françaises de l’INSERM publiée mercredi dans la revue européenne Human Reproduction. Selon les Dr Nathalie Bajos et Nadine Job-Spira (INSERM-hôpital Bicêtre), ces résultats montrent que la contraception constitue encore un problème majeur, même dans un pays comme la France, qui est le pays d’Europe où le recours à une contraception médicale est pourtant le plus élevé. Un cinquième de ces grossesses intempestives sont survenues chez des femmes prenant la pilule et et un dixième parmi celles qui utilisaient un stérilet. [1] Ces deux méthodes, rappellent les auteurs, sont celles qui connaissent le taux d’échec le plus bas.

(c) 2003 AFP.Résumé et références de l’enquête de Bajos et coll.