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Le genre dans EN

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Françoise Vouillot orientation sexuée. Warum werden so wenige Männer Lehrer? Heute kam mir eine Meldung auf den Schreibtisch, wonach unter denen, die kürzlich in Hessen ihr zweites Staatsexamen Lehramt abgelegt haben, nur 30 Prozent Männer waren.

Warum werden so wenige Männer Lehrer?

Beim Lehramt an Grundschulen waren es sogar nur acht Prozent. Auf den ersten Blick sind die Zahlen nicht sehr überraschend, aber irgendwie doch. Denn immerhin haben wir seit einigen Jahrzehnten nun schon eine Diskussion darüber, dass mehr Männer in die Kindererziehung involviert sein sollten, aber es scheint ja in der Praxis nicht wirklich zu funktionieren. Fast scheint es mir schon so zu sein, dass das Gegenteil zu beobachten ist: Immerhin war Gymnasiallehrer bis vor einiger Zeit noch ein Männerberuf – man denke nur an den legendären Lehrer Lämpel von Wilhelm Busch. Aber auch in den Gymnasien und Realschulen werden es offenbar immer mehr Frauen, die unterrichten. Update: Soeben habe ich vom Statistikamt die genauen Zahlen bekommen und konnte nun die Entwicklung über die letzten dreißig Jahre nachverfolgen. Gefällt mir: «Les élèves qui réussissent le mieux sont les moins marqués par les stéréotypes» Alors que la loi sur l’égalité hommes-femmes portée par Najat Vallaud-Belkacem vient d’être adoptée au Sénat, la sociologue Marie Duru-Bellat explique pourquoi les questions de genre divisent la société.

«Les élèves qui réussissent le mieux sont les moins marqués par les stéréotypes»

Pour cette spécialiste de l’éducation, les stéréotypes rattachés aux filles et aux garçons influencent significativement la vie des classes et nuisent à la réussite. Au nom de l’égalité, la mission de l’école est d’en réduire le poids. On l’a vu avec les défilés de la Manif pour tous : l’égalité hommes-femmes ne fait pas l’unanimité. Comment l’expliquez-vous ? Tout le monde est d’accord pour lutter contre certaines inégalités dans le monde du travail. Ces militants soutiennent qu’ils sont pour la différenciation… En réalité, cette mouvance exprime une peur de la ressemblance qui nous projetterait dans un monde inconnu. Le gouvernement n’a donc pas su convaincre ? Cela a été mal géré. Vous faites un lien entre les stéréotypes et l’échec scolaire. M. Moreau, La fabrique des garçons. Sanctions et genre au collège. L’auteur interroge l’appareil punitif scolaire à la lumière du genre et démontre le rôle pervers des sanctions dans la construction de l’identité masculine au collège.

M. Moreau, La fabrique des garçons. Sanctions et genre au collège

L'ouvrage La grande majorité (80 %) des élèves punis au collège sont des garçons. Comment expliquer ce chiffre en contradiction avec le discours égalitaire officiel ? Pourquoi n’attire-t-il pas l’attention des équipes éducatives ? Ce livre propose d’interroger la sanction à la lumière du genre. Table des matières Avant-propos. Y a-t-il trop de femmes à l'école? - Une professeure avec ses élèves à Manhattan, New York, le 10 janvier 2014.

Y a-t-il trop de femmes à l'école?

REUTERS/Adrees Latif - Professeur au Collège de France, grand spécialiste de Montaigne, Antoine Compagnon a accordé un entretien à Marie-Estelle Pech, journaliste éducation au Figaro, qui a provoqué des réactions inhabituelles pour le monsieur et le sujet. Le propos tournait autour du manque de perspectives dans le métier d’enseignant et de la déconsidération dont il pâtit. Pour Antoine Compagnon, un temps pressenti pour être nommé à la tête du Conseil supérieur des programmes (scolaires), cette déconsidération s’explique: «Les métiers de l'enseignement étaient des métiers de promotion sociale.

Publicité Les Inrocks ont publié une autre interview pour vérifier que c’était bien ce que Compagnon pensait avoir dit et pensait tout court et, apparemment, c’est le cas. «Grâce à vous, j’en ai appris encore un peu plus sur ma réelle motivation, celle que je me cachais à moi-même. Compagnon persiste et signe… Ca tombe bien, nous aussi. Cet article a été rédigé par Denis Colombi, du blog Une heure de peine, et Anne-Charlotte Husson.

Compagnon persiste et signe… Ca tombe bien, nous aussi

Dans une première interview, donnée au Figaro et publiée sur leur site internet le 7 janvier, Antoine Compagnon, professeur au Collège de France, explique la « déconsidération » dont pâtirait la profession d’enseignant.e de la manière suivante : Les métiers de l’enseignement étaient des métiers de promotion sociale. Ils ont cessé de jouer ce rôle. La féminisation massive de ce métier a achevé de le déclasser, c’est d’ailleurs ce qui est en train de se passer pour la magistrature. C’est inéluctable. Suite à la polémique suscitée par ces propos, Les Inrocks ont publié une deuxième interview, dans laquelle Antoine Compagnon persiste et signe (et s’enfonce).

Alors qu’il semble les « déplorer », Antoine Compagnon s’en tient en fait aux stéréotypes portant sur l’enseignement et la place des femmes dans la société. 1) Une « féminisation massive » de l’enseignement ? Like this: J'aime chargement… S. Ayral, Les enseignants et le genre.