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10 trucs pour augmenter le plaisir au travail et moins procrastiner

10 trucs pour augmenter le plaisir au travail et moins procrastiner
Où je démontre que, contrairement à beaucoup de gens, j’ai d’excellentes raisons de céder à la procrastination estivale*. Et comme procrastiner ne signifie pas ne rien faire, mais faire autre chose de plus intéressant, plus fun ou moins pénible, je vous propose à la place des pistes pour construire davantage de plaisir au travail. Là, vite fait, l’air de rien, j’aurais pu vous réécrire une histoire glamour et glorieuse… J‘aurais bien donné dans les petits arrangements avec moi-même emballés dans les papiers cadeaux des bonnes excuses et je vous en aurais fait un billet sur les bienfaits d’une procrastination choisie, parce qu’en effet, elle n’est pas à négliger, en particulier pour les précrastinateurs, les excessivement disciplinés, les nez dans le guidons et les cohortes de bons petits soldats qui s’épuisent à vouloir toujours bien/mieux faire sans penser à eux-mêmes. J’aurais pu vous raconter une histoire édifiante dans ce genre-là, ça aurait eu de la gueule. Related:  Pro

Meetings: The ultimate time-suck and what to do about them When great minds meet, everybody benefits. So, when meetings are good, they’re great. But if they’re bad (as most office meetings are, be honest with yourself), they’re anything but beneficial. You may say to yourself, or quietly argue to this article during your sad desk lunch: “But I am doing work. I’m sitting and talking and brainstorming about work, thus I am working.” Yeah, not really. As Jason Fried (TED Talk: Why work doesn’t happen at work) points out, “Meetings aren’t work. Or, if you’re not in-person, there’s the hands-free and nightmarish conference call. Since we can’t escape meetings entirely, how do we stop them from sucking up everyones’ time and space like the work-equivalent of a black hole? Step 1: Ask yourself a simple question. If you’re having a hard time answering that question, here’s a handy infographic that should help you get to the bottom of one of work-life’s most sustaining and existential questions. Other questions to think about:

The fallacy of maturity assessments – Chris HOHMANN Maturity assessments are a kind of qualitative audit during which the current “maturity” of an organization is compared to a maturity reference model and ranked accordingly to its score. As explained in the wikipedia article about maturity model ( the implementation is either top-down or bottom-up, but from my experience it is mostly top-down. The desired maturity score is set by the corporate top management in its desire to bring the organization to a minimum level of maturity about… Lean, Supply Chain practices, project management, digital… you name it. The maturity assessment is usually quite simple: a questionnaire guides the assessment, each maturity level being characterized by a set of requirements. The outcome of such an assessment is usually a graphic summary displaying the maturity profile or a radar chart, comments about the weak points / poor scores and maybe some recommendation for improvement. On the other hand: Like this:

Jim Womack’s hansei on where lean has failed – Chris HOHMANN Lean leading figure Jim Womack posted a sincere and critical reflection (hansei) on where Lean has failed and why not to give up. I was impressed when reading it and it reinforced my respect and admiration for the author. You can read the August 29th, 2017 post on planet lean ( >Lisez-moi en français Jim Womack is someone to take seriously when he expresses himself about Lean, so when he posts an article titled “where lean has failed” it is probably not just a clickbait nor a questionable joke. The failure is, in Mr Womack’s opinion, manyfold: This hurts. I am impressed by the courage to analyze and acknowledge that situation of someone who dedicated his life to promote Lean and share the knowledge. Many people in Mr Womack’s position would deny the situation and keep going on, their ego not allowing them to acknowledge failure. No wonder the questions about “what’s next” or “is lean dead?” Like this:

L'enfer des start-up : "J'avais l'impression que tout le monde portait des lunettes roses" Cet article a initialement été publié le 7 mars 2017. Si l'expérience start-up vous tentait, réfléchissez-y à deux fois. Dans un pamphlet, la jeune auteure met en lumière les absurdités de la "startupshère" et du management du bonheur (et plus largement du monde du travail et de notre société toute entière). Avec sur son CV un BTS graphisme, un master Normal Sup' de philosophie, et déjà plusieurs expériences professionnelles, Mathilde Ramadier arrive dans la Silicon Allee berlinoise en 2011. C'est là qu'elle commence à travailler au sein de la start-up The Base [tous les noms ont été modifiés dans le livre, ndlr]. Merci, votre inscription a bien été prise en compte. Passée l'excitation des débuts et le "welcome kit" (e-mail de bienvenue plein de smileys et de promesses), la désillusion est rapide. On imagine les start-up comme "des entreprises "révolutionnaires", financées par des "business angels", dirigées par des "rockstars", et alimentées par des "treasure hunters". Rue89. Oui. Oui.

Compétences relationnelles: choisir à qui parler Au travail comme dans nos vies personnelles, nous avons un besoin fondamental de partager les joies comme les peines avec d’autres bipèdes. Mais il arrive que nos contemporains soient plus enclins à ramener à eux-mêmes, à jouer les distributeurs de conseils, de propos négatifs ou dévalorisants que de nous prêter un oreille attentive et il reste parfois peu de place pour s’exprimer. D’où l’intérêt de bien choisir à qui parler. Situations délicates ou sentiment d’échec, réussites ou événements joyeux, projets et aspirations, nos vies nous donnent de nombreuses envies de parler de nos expériences, avec autrui, autant pour nous en distancier que pour les partager, selon leur nature. Alors que parfois, nous aimerions bien qu’ils se contentent: Ne nous y trompons pas: nos proches ou cet entourage professionnel à qui nous nous confions sont, la plupart du temps, bien intentionnés et nous veulent du bien, même si le manque d’écoute de qualité pourrait nous en faire douter. Voir aussi

L'auto-formation qui a influencé ma vie professionnelle actuelle... C’est avec un grand retard que je vais enfin répondre au tag envoyé par Pierre Morsa :“Quelle formation ou auto-formation a le plus influencé votre vie professionnelle actuelle ?” En autodidacte que je suis, je dirais sans hésiter mon expérience Finduz lors de mon année de maîtrise. Qu’est-ce que Finduz ? Au départ, c’était un petit code que j’avais créé afin de rechercher plus aisément des fichiers bien que, au départ, je ne connaissais que peu de choses en Unix. Et petit deviendra grand, j’ai décidé à la suite de cela de former un petit groupe de 4 personnes, la « 7d1kou korporation » afin de faire grandir le bébé. Qu’ai-je appris de tout cela : de nombreuses commandes unix, des sed, des grep, des dollars… Bref, les joies du KSH. Bref, je garde un excellent souvenir de cette époque faste où j’ai appris de nombreuses choses, le tout dans une ambiance travail des plus agréables. Voilà, à moi maintenant de tagger en retour et voici ma liste : Je télécharge vite cette formation >>

Comment convaincre plusieurs personnes à la fois ? À vouloir convaincre tout le monde, on finit par ne convaincre personne… Dit comme ça, cela semble évident, pourtant vous serez forcément un jour confronté à des situations où vous devrez convaincre de nombreuses personnes en même temps. C’est ce qui passe par exemple pour tous ceux qui souhaitent vivre de leur activité en vendant leurs produits ou services sur Internet. Ici, difficile de parler à une personne en particulier, car on ne sait pas qui est derrière l’écran. Une règle simple : pour convaincre un nombre important de personnes (quel que soit le contexte), il ne faut surtout pas essayer de convaincre TOUT le monde… même nos chers politiciens (saufs les plus mauvais bien sûr) évitent cette erreur. Dès que vous serez confronté à ce type de situations, imaginez la personne idéale (votre client idéal par exemple, ou bien, une personne référente pour qui votre avis est important)… Imaginez le profil de la personne qui sera la plus susceptible de répondre OUI à votre argumentaire…

Formez-vous ! Agile Garden, organisme de formation déclaré depuis 2012 est référencé DATADOCK conformément au décret n° 2015-790 du 30 juin 2015 relatif à la qualité des actions de la formation professionnelle continue. Consultez nos conditions générales de vente Nos formations : * Les dates sont posées avec les participants lorsque le nombre minimum est atteint. Pour obtenir des renseignements sur une formation en particulier, Contactez-nous. Liberating Structures (présentiel et distanciel) Libérez la puissance des petits et grands groupes avec les Liberating Structures Collaboration passionnante, parole distribuée, temps gagné, meeting à la hauteur de vos aspirations, process agile stimulé … Avec les Liberating Structures, vous transformez radicalement la façon dont vous travaillez avec vos collègues et résolvez ensemble les problèmes. Cette formation très pratique permet d’apprendre les Liberating Structures en les vivant. La formation est animée par : Pierrick Thibault Intéressé.e ? Pierrick Thibault

Reconversion: deux compétences et une définition pour entreprendre avec fluidité Parmi les petits secrets de la réussite d’une création d’entreprise, il y a ceux, souvent très opérationnels, qui ont été largement dévoilés. Et puis il y en a de plus discrets, dont on ne parle presque jamais: trop personnels, trop immatériels. trop intellectualisés, sans doute. En voici 3 qui sont le trépied d’une entreprise qui se construit avec décontraction et fluidité. A lire ou à écouter: Lecteur audio Entreprendre, c’est fun, c’est un challenge stimulant et passionnant et, à en croire les discours enflammés de l’ordre de si-à-30-ans-t’as-pas-entrepris-t’es-un-loser, c’est devenu la Rolex professionnelle de la décennie. J’ai d’ailleurs beau jeu de soulever un sourcil perplexe, étant moi-même indépendante et heureuse de l’être. 1- L’élégance relationnelle Je me souviens d’un client, il y a quelques années, un consultant à la tête d’une société de formation qui paraissait très sûr de lui mais se faisait malmener par son épouse et associée. 2- La gestion des émotions Voir aussi

Is Lean about eliminating waste or not? – Chris HOHMANN Some thought leaders and Lean promoters stress the fact that Lean is about eliminating waste while others seem to get away from this idea. Could some have been wrong? Is there a shift in Lean Thinking? What is Lean finally about? Well, yes and no. Defining waste Waste is an outcome of problems, the result of processes not delivering what is expected but Undesirable Effects instead. So when someone mentions eliminating waste, in a Lean Thinking context, it means (should mean) solving problems. Lean for everyone As Lean is a philosophy for everyone, not for experts only, it is necessary for people on the shopfloor, manning machines or doing routine administration tasks to develop and hone their Lean awareness and culture by eliminating waste and solving problems. In order to do that, they have to be trained and coached to identify problems and learn how to solve them. So Lean is about waste!? Wrapping up Striving to eliminate all waste will not likely end up with a Lean organization. Like this:

Leaders, votre façon de communiquer est «débile», dit Elon Musk! Elon Musk est à la tête de Tesla et de SpaceX. Photo: DR Elon Musk, l'homme à la tête du constructeur automobile de voitures électriques Tesla et de la firme astronautique SpaceX, est récemment sorti de ses gonds. En août dernier, il s'est fendu d'un mémo interne à Tesla carrément renversant, dans lequel il dénonce la façon «incroyablement débile» dont les employés communiquent avec leurs managers, puis les managers entre eux. Une façon – je le souligne – dont tout le monde, en vérité, communique au sein d'une organisation... Il enchaîne par une explication lumineuse de la totale inefficacité de la manière dont, vous comme moi, nous communiquons à l'interne. Mon dernier livre : 11 choses que Mark Zuckerberg fait autrement Curieux d'en savoir davantage? «Objet : Communication interne chez Tesla «Il y a deux écoles de pensée concernant la meilleure façon de communiquer au sein d'une organisation. «Cette façon de faire est incroyablement débile. «Un dernier point. «Merci «Elon.» Wow! Pourquoi?

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