10 façons de se faire plaisir au travail Recevez un extrait de notre guide de survie aux réunions pour transformer vos réunions en moments funs et productifs ! Non il n’est pas honteux de se faire plaisir au travail et oui il existe des façons de prendre du plaisir au travail (je ne parle pas de relations adultères avec un/une collègue de travail qui sort strictement de mon domaine de compétence). Même si c’est vrai que le mot travail vient du latin tripalium qui est un instrument de torture (« Oui, nous pouvons travailler avec plaisir » ), il faut arrêter de voir le travail comme un sacerdoce, une punition divine qui s’abat sur chacun de nous, enfin quand on a la chance d’en avoir un ! Et si la dopamine devenait la meilleure arme du manager, et si pour motiver ses équipes les managers ne proposaient plus un presse papier aux couleurs de l’entreprise ou une augmentation infinitésimale mais du plaisir à ses collaborateurs ? Bien sûr le plus important pour prendre du plaisir au travail c’est:
Getting Things Done La « productivité sans stress »[modifier | modifier le code] David Allen prend soin d'emblée de préciser que la méthode GTD ne procède pas de la « gestion du temps », mais de la « gestion des actions afin d'obtenir des résultats ». GTD est une démarche d'organisation personnelle applicable par chacun à l'ensemble de ses activités, tant professionnelles que privées. Pratiquer la méthode amène à identifier avec sûreté ses priorités à tout moment, et à mieux se mettre en position d'agir immédiatement sur la priorité choisie. L'auteur montre que pour bien choisir sa priorité et s'y consacrer pleinement, il faut pouvoir s'appuyer en permanence sur un système que l'on sait fiable. on choisit à chaque fois en pleine connaissance de cause ce que l'on fait,on ne porte son attention que sur ce qui est actionnable maintenant,on est tranquille sur ce que l'on ne fait pas : soit que l'on ait délibérément choisi de ne pas y donner la priorité, soit ce n'était tout simplement pas faisable maintenant.
Meetings: The ultimate time-suck and what to do about them When great minds meet, everybody benefits. So, when meetings are good, they’re great. But if they’re bad (as most office meetings are, be honest with yourself), they’re anything but beneficial. You may say to yourself, or quietly argue to this article during your sad desk lunch: “But I am doing work. I’m sitting and talking and brainstorming about work, thus I am working.” Yeah, not really. As Jason Fried (TED Talk: Why work doesn’t happen at work) points out, “Meetings aren’t work. Or, if you’re not in-person, there’s the hands-free and nightmarish conference call. Since we can’t escape meetings entirely, how do we stop them from sucking up everyones’ time and space like the work-equivalent of a black hole? Step 1: Ask yourself a simple question. If you’re having a hard time answering that question, here’s a handy infographic that should help you get to the bottom of one of work-life’s most sustaining and existential questions. Other questions to think about:
Déléguer n’est pas la panacée Ceux qui nous lisent régulièrement se disent peut être que nous sommes de grands défenseurs de la délégation. Et bien non ! Pas contre non plus évidemment, mais il nous semble que ce concept souffre d’une trop bonne publicité : beaucoup de managers en font un principe absolu de management. Nuançons. La responsabilisation est un objectif Quitte à défendre un lieu commun, nous préférons « responsabiliser ». A ce titre, il est évidemment prioritaire qu’un manager se préoccupe avant tout de la responsabilisation des membres de son équipe. Déléguer est une solution Bien sûr, pour développer la responsabilisation, déléguer est une solution. Rappelons ce qu’est déléguer : littéralement, il s’agit de faire faire à quelqu’un quelque chose dont on était chargé. A ce titre, c’est un outil qu’il faut garder sur sa palette. Mais déléguer n’est pas automatiquement responsabiliser Par ailleurs, déléguer se résume parfois à un simple transfert de charge de travail. Et déléguer, c’est souvent stresser
Bien-être et plaisir au travail: les compétences psychosociales Les 10 compétences psychosociales définies par l’OMS sont autant d’aptitudes considérées comme essentielles et trans-culturelles qui permettent de “répondre avec efficacité aux exigences et aux épreuves de la vie quotidienne”, tout en maintenant “un état de bien-être mental”. Étonnamment, ces compétences ont été cantonnées à l’éducation, alors qu’elles nous concernent tous et font partie des facteurs déterminants du bien-être et du plaisir au travail. « Les compétences psychosociales sont la capacité d’une personne à répondre avec efficacité aux exigences et aux épreuves de la vie quotidienne. C’est l’aptitude d’une personne à maintenir un état de bien-être mental, en adaptant un comportement approprié et positif, à l’occasion des relations entretenues avec les autres, sa propre culture et son environnement. Les compétences psychosociales ont un rôle important à jouer dans la promotion de la santé dans son sens le plus large, en termes de bien-être physique, mental et social. Voir aussi
The fallacy of maturity assessments – Chris HOHMANN Maturity assessments are a kind of qualitative audit during which the current “maturity” of an organization is compared to a maturity reference model and ranked accordingly to its score. As explained in the wikipedia article about maturity model ( the implementation is either top-down or bottom-up, but from my experience it is mostly top-down. The desired maturity score is set by the corporate top management in its desire to bring the organization to a minimum level of maturity about… Lean, Supply Chain practices, project management, digital… you name it. The maturity assessment is usually quite simple: a questionnaire guides the assessment, each maturity level being characterized by a set of requirements. The outcome of such an assessment is usually a graphic summary displaying the maturity profile or a radar chart, comments about the weak points / poor scores and maybe some recommendation for improvement. On the other hand: Like this:
La créativité: 18 choses que les gens créatifs font différemment des autres CERVEAU - La créativité opère de manière mystérieuse et souvent paradoxale. La pensée créative est une caractéristique stable qui définit certaines personnalités, mais elle peut aussi changer en fonction du contexte. On a souvent l’impression que l’inspiration et les idées naissent de nulle part et qu’elles disparaissent au moment où on a le plus besoin d’elles. La pensée créative nécessite une cognition complexe qui est néanmoins complètement différente du processus de réflexion. La neuroscience nous propose une image très complexe de la créativité. Psychologiquement parlant, les types de personnalités créatives sont difficiles à repérer, car elles sont en général complexes, paradoxales et qu’elles ont tendance à éviter l’habitude ou la routine. S’il n’existe pas de profil créatif "typique ", on trouve cependant des caractéristiques et des comportements révélateurs chez les personnes extrêmement créatives. Selon Kaufman et la psychologue Rebecca L. Ils prennent le temps d’être seuls
Bien-être au travail : les bonnes pratiques à adopter Tout l'été, des experts RH et des DRH vous recommandent des ouvrages incontournables publiés depuis un an. Mickaël Hoffmann-Hervé, DG délégué en charge des ressources humaines du Groupe Randstad France, a choisi "L'humain dans l'entreprise : un capital à préserver", de Sacha Genot et Philippe Tallois (Editions Eyrolles). Crédits photo : Bruno Lévy Mickaël Hoffmann-Hervé, DG délégué en charge des ressources humaines du Groupe Randstad France > Que dit ce livre ? > Pourquoi est-ce essentiel de le lire ? > En quoi cela fait sens dans votre pratique professionnelle ? > Citation choisie : « Un bon management du bien-être doit donner confiance, faire évoluer et aider les subordonnés à progresser. » "L'humain dans l'entreprise : un capital à préserver", de Sacha Genot et Philippe Tallois L’autonomie « est surtout un état d’esprit, de responsabilisation individuelle qui a pour but d’inciter le n+1 à soumettre des idées, pour améliorer la productivité. Crédits photo : Shutterstock.com La solidarité
Jim Womack’s hansei on where lean has failed – Chris HOHMANN Lean leading figure Jim Womack posted a sincere and critical reflection (hansei) on where Lean has failed and why not to give up. I was impressed when reading it and it reinforced my respect and admiration for the author. You can read the August 29th, 2017 post on planet lean ( >Lisez-moi en français Jim Womack is someone to take seriously when he expresses himself about Lean, so when he posts an article titled “where lean has failed” it is probably not just a clickbait nor a questionable joke. The failure is, in Mr Womack’s opinion, manyfold: This hurts. I am impressed by the courage to analyze and acknowledge that situation of someone who dedicated his life to promote Lean and share the knowledge. Many people in Mr Womack’s position would deny the situation and keep going on, their ego not allowing them to acknowledge failure. No wonder the questions about “what’s next” or “is lean dead?” Like this:
Votre lessive maison au savon de Marseille et noix de lavage John Sloane 1912 La blogosphère est un lieu d'échange des savoir-faire et Christine de Dijon nous a aimablement transmis la formule de sa lessive maison, à base de noix de lavage et savon de Marseille, sans phosphates et autres produits issus de la pétro-chimie, parfaite pour le linge de bébé. Vous pourrez la parfumer avec une dizaine de gouttes de votre huile essentielle préférée, sauf si elle est destinée au linge de bébé, en raison des risques d'allergie. A utiliser pour le linge blanc avec du percabonate de soude que vous trouverez dans les magasins bio. 1 poignée de noix de lavage 100 gr de savon de Marseille à l’huile d’olive râpé finement 100 gr de cristaux de soude 4 cuillers à soupe de bicarbonate de soude 4 cuillers à soupe de vinaigre d'alcool blanc 3 litres d'eau Faire d'abord une décoction de noix de lavage : les faire bouillir environ 30 mn dans 2 litres d'eau. Dosage pour une lessive machine :
L'enfer des start-up : "J'avais l'impression que tout le monde portait des lunettes roses" Cet article a initialement été publié le 7 mars 2017. Si l'expérience start-up vous tentait, réfléchissez-y à deux fois. Dans un pamphlet, la jeune auteure met en lumière les absurdités de la "startupshère" et du management du bonheur (et plus largement du monde du travail et de notre société toute entière). Avec sur son CV un BTS graphisme, un master Normal Sup' de philosophie, et déjà plusieurs expériences professionnelles, Mathilde Ramadier arrive dans la Silicon Allee berlinoise en 2011. C'est là qu'elle commence à travailler au sein de la start-up The Base [tous les noms ont été modifiés dans le livre, ndlr]. Merci, votre inscription a bien été prise en compte. Passée l'excitation des débuts et le "welcome kit" (e-mail de bienvenue plein de smileys et de promesses), la désillusion est rapide. On imagine les start-up comme "des entreprises "révolutionnaires", financées par des "business angels", dirigées par des "rockstars", et alimentées par des "treasure hunters". Rue89. Oui. Oui.