La classe inversée, vers la classe 3.0 ?
Article proposé par David Bouchillon, professeur d’Histoire Géographie auCollège Aliénor d’Aquitaine, SALLES (33), Professeur Formateur Académique. Depuis avril 2012, j’ai mis en place la classe inversée dans toutes mes classes avec de grandes satisfactions notamment la mise en activité des élèves et le réinvestissement des élèves. Cependant, la classe inversée laisse certaines interrogations en plan. Les interrogations de la classe inversée Le premier problème qui se pose est le lien entre le travail à la maison et le travail en classe.
E-learning, les 5 alertes de Meirieu
Avec l'avènement du numérique, les pédagogues ont dû relever plus d'un défi. Comment intégrer les nouvelles technologies aux apprentissages ? S'agit-il d'une simple amélioration de l'existant, d'une plus-value qui rehausse la qualité de l'enseignement et de la formation ou carrément d'une refonte de nos prestations face à une génération hyper connectée ? Enrichissement du présentiel, hybridation des contenus, FAD, e-learning, applications portables et autres tablettes, réseaux sociaux etc., autant d'outils, de pratiques et d'usages qu'institutions et enseignants ne peuvent plus ignorer sans risquer d'être décalés par rapport au cours actuel des choses.
Des techniques pour apprendre à apprendre: Des méthodes pour développer ses capacités d'apprentissage
S'investir dans un processus d’acquisition de savoirs n'est pas toujours aisé. Parfois, selon son histoire personnelle, il peut persister des blocages à l'apprentissage (échecs scolaires par exemple). Optimiser ses études nécessite une forte motivation à apprendre, de développer des capacités d’appropriation de connaissances, de méthode et d’organisation. De toute manière, s'engager dans un cursus d’enseignement nécessite de se « remettre dans le bain ». D’autant plus, que très souvent, on n’a jamais vraiment appris à apprendre. C’est pourquoi, il est utile d’acquérir des méthodes avant de débuter ses études, le gain de temps et de valorisation de soi seront édifiants.
Faire ses premiers pas vers la classe inversée
Un dossier conjoint Infobourg – Carrefour Éducation Peut-être avez-vous entendu parler dernièrement de la fameuse dynamique de « classe inversée »? Elle semble être sur toutes les lèvres! Parmi les enseignants qui l’ont expérimentée, certains ne peuvent plus s’en passer et y voient des avantages énormes, notamment grâce aux nouvelles possibilités de personnalisation de l’enseignement entraînée par l’augmentation du temps disponible pour les élèves. Mais tout d’abord, qu’est-ce que la classe inversée?
Quelques défis à considérer lors de l’implantation d’une classe inversée.
Billet pour le ClavEd du 24 octobre 2012 Pour ce 2e ClavEd sur la dynamique de classe inversée (le 1er : 16 mai, billet préparatoire, archive du ClavEd), pourquoi ne pas examiner ces défis et quelques pistes de solution ? Les plus terre-à-terre sont les défis techniques. Parmi ceux-ci, il y a, bien sûr, la création et la diffusion des éléments médiatiques.
[ÉCOLE] La classe inversée : le modèle d’une l’école où l’élève participe
Quant il s’agit d’aborder le domaine de l’éducation, le débat se fait souvent âpre. Chacun y va de son avis, les politiques publiques en la matière semblent constamment évoluer, tergiverser. Et si grâce à une innovation, la solution était le modèle de l’école inversée ? Accroître la motivation et la disponibilité de l’élève pour l’acquisition de connaissances, voilà l’objectif de l’école inversée.
A. Bandura. Auto-efficacité. Le sentiment d’efficacité personnelle
1Albert Bandura est docteur en psychologie et enseigne à l’université de Stanford (Californie). Il est l’auteur de L’Apprentissage social (Mardaga, 1985). 2Depuis les années 80, Albert Bandura s’intéresse au sentiment d’efficacité personnelle. Ce concept s’inscrit dans le cadre de la théorie sociocognitive (théorie issue du béhaviorisme et du cognitivisme).
Apprendre à apprendre : nos conseils pour les révisions
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