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Point de vue des philosophes - Vie Mort

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Aristote - Traité de la longévité et brièveté de la vie. § 1.

Aristote - Traité de la longévité et brièveté de la vie

On pourrait trouver la cause de tous ces faits dans l'explication suivante : Il faut supposer que naturellement l'animal est humide et chaud, et que vivre, c'est rester dans ces conditions, tandis que la vieillesse est froide et sèche, comme l'est aussi la mort, qui présente bien en effet cette apparence. Les éléments corporels des ares étant le chaud,, le froid, le sec et l'humide, il y a nécessité, quand on vieillit, qu'on se dessèche. Aussi faut-il que l'humide ne puisse pas aisément se dessécher; et c'est là ce qui fait que les choses grasses ne se gâtent pas : la cause en est qu'elles sont d'air, et l'air agit comme agit le feu relativement à d'autres choses ; or, le feu ne se gâte pas. D'autre part, il ne faut pas non plus que l'humide soit en petite quantité, parce que tout ce qui est en petite quantité se sèche trop facilement. § 2.

Aristote 384-322 av J.C. Hegel et la tragédie de la vie. Notes Une première version de cette étude est parue en langue allemande sous le titre « Leben, Tragik und Geschichte in Hegels Phänomenologie des Geistes », dans le Wiener Jahrbuch für Philosophie, vol.

Hegel et la tragédie de la vie

XXXVI, 2004, p. 57-68. On renverra à l’Encyclopédie des sciences philosophiques sous la forme suivante : E 1, pour l’édition de Heidelberg 1817 (GW 13), E 2 pour l’édition de 1827 (GW 19), E 3 pour l’édition de 1830 (GW 20) ; dans la plupart des cas, les deux éditions sont identiques, et il sera alors indiqué E 2-3. GW renvoie aux Gesammelte Werke dans la grande édition rouge de Felix Meiner (Hambourg). B. Cf. GW 20, p. 530-531, Remarque : die Vermittlung, welche die Erhebung zu Gott ist. Jacques Taminiaux, Le théâtre des philosophes. Le droit naturel de Hegel. Hegel 1770-1831 (Idéalisme absolu) Schopenhauer et la mort. « Nous sommes éternels... » · La question de la mort est la question philosophique par excellence. §1 . · Pourquoi craignons-nous la mort?

Schopenhauer et la mort

1. Parce que nous sommes des êtres pourvus de conscience. L’homme est cet animal pour qui la mort fait problème - précisément parce qu’il a cette originalité d’être pourvu d’une conscience. Schopenhauer 1788-1860 (Idéalisme volontariste) Kierkegaard, La pensée de la mort, stimulant de la vie. Søren Kierkegaard 1813-1866 (pré-existentialiste) Wittgenstein et la vie véritable. Ludwig Wittgenstein 1889-1951 (Analytique) Nietzsche et Bergson : deux philosophies de la Vie. Source : photo-libre.fr Tout rapprochement de Nietzsche et Bergson ne peut être possible que s’il est possible d’indiquer le dénominateur commun de leur philosophie.

Nietzsche et Bergson : deux philosophies de la Vie

À cet effet, il y a bien une réalité qui, comme un fil, lie entre elles les philosophies de Nietzsche et de Bergson : la vie. Nietzsche et Bergson entretiennent une « amitié stellaire » du fait qu’ils sont tous les deux des philosophes de la vie[1] dont le projet métaphysique commun est de faire une métaphysique non-grecque qui prône un retour à la vie. Avant de dire quel est le sort que les grandes individualités de ces deux philosophies réservent aux droits de l’homme au point de nous fournir des éléments de compréhension de la situation actuelle des droits de l’homme, nous voulons d’emblée justifier le rapprochement ou le rapport que nous établissons dans le cadre de cette étude. Friedrich Nietzsche 1844-1900. Martin Heidegger : L'homme: un être pour la mort.

Heidegger 1889-1976. La phénoménologie de la vie de Hans Jonas en débatavec la conception spinoziste de l'organisme. Hans Jonas 1903-1993. "Vie, discontinuité et mort dans la pensée de Michel Foucault" 2Foucault des questions que manifestement il évacuait et ne voulait pas traiter.

"Vie, discontinuité et mort dans la pensée de Michel Foucault"

Il faut mêmealler plus loin et dire que la manière dont Foucault conçoit et problématise la vie exclut toutepossibilité d’une « philosophie de la vie », philosophie dont il se défiait d’autant plus qu’elleévoquait pour lui un Bergson ou un Teilhard de Chardin.Il est d'ailleurs surprenant que l'on doive faire ces précisions. Mais il se trouve que, parun étrange (mais ô combien fréquent) effet de regard rétrospectif, nous nous trouvonsconduits aujourd'hui à voir la pensée de Foucault tout imprégnée d’une problématique de la vie , alors qu’en réalité, c’est parce que nous sommes – depuis une vingtaine d’année – prisdans ce que Frédéric Worms appellerait « le moment » du vivant.

Michel Foucault 1926-1984. Delheuze et le problème de la vie. Gilles Deleuze 1925-1995 (Vitalisme) Expérience de la mort et religion chez Bergson. Nobel 1927 - Henri Bergson 1859-1941. Alain Badiou / La vie comme dernier refuge de l’idéalisme. Alain Badiou 1937-