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Théories et analyses économiques

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Economics as Superstructure. Economix: terrific cartoon history of economics. One of my favorite books is Scott McCloud's Understanding Comics.

Economix: terrific cartoon history of economics

With simple comic art, McCloud presents the history of sequential comics, and how they work. It's as much about psychology as it is about the way comics use standard structural elements that work on a subconscious level to tell a story. A cartoon version of McCloud serves as the narrator of the book, speaking directly to the reader, which is very effective. I'm also a big fan of Larry Gonick's Cartoon History of the Universe, a series of comic books that, as the title suggests, presents the history of the universe from the big bang up to the present era. It combines factual history with a bit of humor (which is always appropriately in context). Both McCloud and Gonick came to mind when I read Economix: How Our Economy Works (and Doesn't Work), by Michael Goodwin and by illustrated Dan E. Adam Smith was never dogmatic; he knew markets weren't perfect. Economix is a book I'm going to buy and give to people. Inequality: The gap widens, again.

OCCUPY WALL STREET may be long gone from lower Manhattan, but worries persist about the gap between America's richest 1% and the rest. Talk of inequality pervades the presidential race. In his January state-of-the-union message, Barack Obama called the struggle for a level economic playing field “the defining issue of our time”. Republicans bristle at the notion. In February Rick Santorum, the second-placed Republican candidate, declared: “There is income inequality in America. There always has been and, hopefully, and I do say that, there always will be.” Mr Saez is well known for his work on tracking the share of national income that goes to the highest earners. 1930-2008 : Crises économiques structurelles - le rôle de l’Etat, par Joseph Stiglitz (II/II) 1930-2008 : Crises économiques structurelles - le rôle de l’Etat, par Joseph Stiglitz (II/II) Traçant un parallèle avec les années 1930, qu’il analyse comme la crise du passage d’une société agricole vers le monde industriel, Stiglitz voit dans la crise actuelle le résultat des déséquilibres provoqués par la transition de l’industrie aux services.

1930-2008 : Crises économiques structurelles - le rôle de l’Etat, par Joseph Stiglitz (II/II)

Dans les deux cas, ce sont d’abord les gains de productivité qui sont en cause, note-t-il. La dette expliquée aux nuls. La gestion de la dette conditionnera les débats de la présidentielle, comme l'a montré l'Université d'été du PS.

La dette expliquée aux nuls

Un sujet complexe, pollué par les idées reçues et les croyances. Pour y voir plus clair, OWNI reprend les bases. Lorsque l’on parle de dette, il est de coutume de dire que « l’État vit au dessus de ses moyens », que le modèle social français n’est plus soutenable, et qu’il faut donc réduire les dépenses. Pourtant, la réalité est légèrement différente : sur 1 600 milliards de dette publique remboursée depuis 1974, environ 1 200 milliards d’euros ne sont constitués que des seuls intérêts.

L’effet « boule de neige » explique en grande partie ce phénomène. En réalité, hors paiement des intérêts, les budgets sont globalement à l’équilibre comme le montre le graphique ci dessous (issu du travail de André-Jacques Holbecq) : Rembourser la dette, ce n’est donc pas payer en différé les dépenses d’éducation, de santé ou d’autres investissements. Photos FlickR. La course aux petits prix tue la planète, par Bruno Fay et Stéph. Markets: Bubble warning. «La bombe à retardement, c’est l’immobilier»

Bien avant la crise des subprimes, Paul Jorion, anthropologue, sociologue, économiste et spécialiste des sciences cognitives, a été l’un des rares observateurs à prévoir précisément les causes et les effets des déséquilibres financiers des Etats-Unis et du reste du monde.

«La bombe à retardement, c’est l’immobilier»

2012 ! Ce texte est un « article presslib’ » (*) Cela fait un moment que je vous ennuie en vous annonçant la deuxième grande vague de la crise aux États-Unis : la catastrophe qui se dessine pour 2012 dans l’immobilier commercial américain (Libération, le mardi 11 août 2009, Petites et moyennes banques américaines : pourquoi ce sera pire cette fois-ci, BFM Radio, le lundi 30 novembre à 10h46, etc.)

2012 !

Eh bien, je ne suis plus seul. Avant-hier, le Congressional Oversight Panel américain a publié son rapport intitulé : Commercial Real Estate Losses and the Risk to Financial Stability, « les pertes dans l’immobilier commercial et le risque pour la stabilité financière ». Habitation et Commercial : Les crises immobilières s'enchaînent. Alors que la crise de l'immobilier d'habitation fait toujours rage (y compris aux Etats-Unis), c'est désormais au tour de l'immobilier commercial d'entrer en déroute.

Habitation et Commercial : Les crises immobilières s'enchaînent

Pas de surprise en la matière pour les lecteurs du GEAB, mais des tendances qui néanmoins se différencient par régions. Dans certains cas, le moment arrive de suivre de près l'évolution du marché pour y revenir ; dans d'autres, il faut fuir le marché au plus vite. Une majorité représentant entre deux tiers. Le sondage IFOP – Le Monde, publié hier par ce journal et commenté par Anne Michel sous le titre La crise scelle le désamour entre banques et opinion s’inscrit en faux contre l’opinion de la majorité des commentateurs du « Blog de Paul Jorion », qu’ils ne représentent – aux côtés des rédacteurs des billets : Paul Jorion, François Leclerc, ainsi que les autres invités – qu’une part infime de l’opinion publique.

Une majorité représentant entre deux tiers

Depuis 30 ans, les revenus de la majorité des salariés ont baiss. Depuis 30 ans, les revenus de la majorité des salariés ont baissé, par Jacques Sapir « Depuis 30 ans, les salaires baissent, sauf au sommet Le décrochage est particulièrement significatif depuis 1999, » constate Jacques Sapir. Les baisses d’impôts préconisées par les politiques de l’offre s. Les baisses d’impôts préconisées par les politiques de l’offre sont néfastes aux salaires, par Henry Liu L’économiste Henry Liu s’élève contre la thèse affirmant que les baisses d’impôts sur les entreprises et les très hauts revenus généreraient de l’emploi.

Les baisses d’impôts préconisées par les politiques de l’offre s

Toute baisse d’impôt sur les profits, note-t-il, incite les entreprises à arbitrer entre bénéfices et salaires, au détriment des derniers. GEAB N°43 est disponible ! Les cinq séquences de la phase de dis. La fin de la contrerévolution libérale. Billet invité.

La fin de la contrerévolution libérale

D’abord permettez moi d’adresser mes chaleureuses salutations et congratulations au Blog de Paul Jorion sans qui l’analyse de la crise économique et financière serait restée le champ réservé et exclusif de quelques économistes prébendés par les grandes banques responsables de la faillite d’un modèle qu’elles se sont employées nolens volens à promouvoir contre vents et marées. L’article sur la dette : La dette est-elle un boulet ou un prétexte ? , publié dans le supplément Économie du journal « Le Monde » daté du mardi 9 février, rompt incontestablement avec la peur panique que semblent s’employer à répandre tous les économistes de la doxa néolibérale qui ont fait montre jusqu’ici de la plus grande incompétence et d’une indubitable propension à nier l’échec d’un modèle qu’ils avaient pourtant porté au pinacle. Stiglitz, la crise et les bulles. Le controversé Joseph Stiglitz, prix Nobel d’économie en 2001, ancien conseiller de Bill Clinton (1995-1997) était à Paris pour la promo de son nouveau livre : « le triomphe de la cupidité ».

Stiglitz, la crise et les bulles

Il participait samedi dernier à une conférence en deux parties sur la crise « comment éviter la rechute ? » et « comment faire naître une nouvelle société ? ». Deux parties n'en faisant par défaut qu'une seule, tous les intervenants [1] s'accordant sur le fait que si nous poursuivons le modèle de l’ancienne société, inévitablement, celle-ci rechutera.C'est même bien parti pour. Stiglitz redoute une pénible sortie de crise via une croissance molle à la japonaise, avec chômage massif, pour des années. Au delà de la Grèce : déficits, dettes et monnaie - Les blogs du. Du chatoyant spectacle qu’offre la « crise grecque » il est probable que l’élément le plus pittoresque demeurera ce racisme réjoui et déboutonné qui conduit chaque jour spéculateurs et commentateurs, par là parfaitement unis, à nommer sans le moindre scrupule « PIGS » les États dont les finances publiques sont contestées sur les marchés financiers.

Portugal, Ireland, Greece, Spain, les trois petits cochons sont maintenant quatre. C’est bien là le genre d’erreur de dénombrement qui en un instant trahit toute une vision du monde : ce sont les bronzés qui sont des porcs — et si l’Irlande a le mauvais goût de contredire le tableau d’ensemble, il suffit de lui substituer l’Italie, mal en point également, pour faire PIGS à nouveau en rétablissant l’homogénéité quasi-ethnique des abonnés à l’indolence méditerranéenne et à la mauvaise gestion réunies.

Faux et vrais débats autour de la « dette » La Dette ou comment s'en débarasser. Billet invité. Olivier Blanchard, chef économiste du FMI, vient d’annoncer la couleur dans une interview accordée au quotidien italien La Repubblica : « l’assainissement (des finances publiques) sera extrêmement douloureux », prédit-il. Il détaille ensuite ses modalités : des efforts devront être accomplis pendant 10 à 20 ans, faits de sacrifices sur les salaires, de réduction des dépenses sociales et d’augmentation des impôts.

Sa vision dramatique n’est cependant pas sans arrière pensée, quelques jours après la publication d’une note de recherche, cosignée, qui a fait grand bruit et dans laquelle il est évoqué la possibilité de relever aux environs de 4% le taux d’inflation considéré comme admissible dans les sociétés occidentales. Alors que la norme édictée par les banques centrales est actuellement de 2%. Le débat est donc posé, en dépit de tous ceux qui voudraient le clore. Quant aux déficits publics, c’est encore une autre paire de manches. Jeremy Rifkin: The third industrial revolution - CultureLab - Ne. Amanda Gefter, Books & Arts editor In The Empathic Civilization, Jeremy Rifkin argues that before we can save ourselves from climate change we have to break a vicious circle and embrace a new model of society based on scientists' new understanding of human nature.

I asked him how we can do it. A Thought on Debt History. One thing that apparently comes as a surprise to many people who love to intone about what history tells us about the dangers of debt is the fact that Britain has had remarkably high public debt relative to GDP for most of its modern history. But here’s a question: how relevant are these historical debt levels to current concerns? Leave on one side the notion that the discipline of capital markets is somehow a new thing.

The point that occurred to me is that since the real burden of debt is the possible distortionary effect of the taxes that must be levied to service that debt, it probably matters that both taxation and spending were very different in the 19th century, or even in the interwar period, than they are now. These differences cut both ways. Untitled.