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Théorie de l'acteur stratégique

Théorie de l'acteur stratégique
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La théorie de l'acteur stratégique a été élaborée par Michel Crozier et Erhard Friedberg au cours des années 1970. Il s'agit d'une théorie centrale en sociologie des organisations, développée au sein de l'analyse stratégique. Elle part du constat suivant : étant donné qu'on ne peut considérer que le jeu des acteurs soit déterminé par la cohérence du système dans lequel ils s'insèrent, ou par les contraintes environnementales, on doit chercher en priorité à comprendre comment se construisent les actions collectives à partir de comportements et d'intérêts individuels parfois contradictoires. Au lieu de relier la structure organisationnelle à un ensemble de facteurs externes, cette théorie essaie donc de l'appréhender comme une élaboration humaine, un système d’action concret. Principes[modifier | modifier le code] En outre, le comportement des acteurs s'ajuste au comportement possible d'autrui en fonction des atouts dont il dispose.

Michel Crozier, l'Acteur et le Système, synthèse du livre et critique Les contraintes de l'action collective Seuil 1977 Copyright : Le contenu de cette page a été copié (social.subject-line.com/t2337-topic). Des démarches sont en cours pour faire supprimer ce site pirate. Sommaire I Le livre : FICHE de LECTURE - SYNTHÈSE II - CRITIQUE - Pistes de réflexion I - Le livre : FICHE de LECTURE - SYNTHÈSE Michel Crozier et Erhard Friedberg définissent ce livre comme un manuel, non pas de sociologie des organisations, mais de sociologie de l’'action organisée. Cette méthode, basée sur l’'analyse stratégique, se positionne sur le plan des relations de pouvoir entre acteurs et des règles implicites qui gouvernent leurs interactions, et qui sont appelées ici « jeux ». Le pouvoir est défini comme une relation structurante caractérisée par le déséquilibre d’'une relation qui est réciproque, et par la possibilité de certains individus ou groupes d’'agir sur d’autres individus ou groupes. Je terminerai cette synthèse avec deux citations : II - Critique / Pistes de réflexion

Rationalité limitée Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La rationalité limitée est un concept utilisé en sociologie et en micro-économie. Il porte sur l'étude du comportement d'un individu (ici appelé acteur) face à un choix (l'achat d'un produit,...). Il suppose que l'acteur économique a un comportement rationnel, mais que sa rationalité est limitée en termes de capacité cognitive et d'information disponible. Dès lors, l'acteur va généralement s'arrêter au premier choix qu'il jugera satisfaisant. En d'autres termes, l'acteur est rationnel (s'il préfère A à B et B à C, on peut en déduire qu'il préfère A à C). On s'écarte alors de l'un des postulats premiers de la micro-économie, qui veut que l'acteur soit pleinement rationnel concernant la situation envisagée. Ce concept a été forgé par Herbert A. Thèse de Simon[modifier | modifier le code] Premier déblocage[modifier | modifier le code] Le comportement de l’homme est induit par l’information. Deuxième déblocage[modifier | modifier le code]

Apprendre et enseigner autrement Des quatre étapes du modèle d'intégration des technologies de l'information et de la communication pour l'enseignement (TICE) proposé par la mission parlementaire Fourgous, la quatrième et dernière étape - celle de la création ou co-création- demeure la plus sensible à réaliser pleinement (j'y reviens plus loin). Pour accéder plus rapidement au livret et au rapport complet, c'est ici. En effet, les modèles scolaires historiques - voire pédagogiques - , en France ou au Québec, sont demeurés bien conservateurs (transmission de connaissances et pédagogie frontale ou magistrale). Selon le rapport exhaustif du député français Jean-Michel Fourgous, l'École (et j'ajouterais même les études supérieures) se trouvent "à contre-sens des valeurs et des compétences attendues de nos sociétés contemporaines"... et numériques. Si vous appréciez les comparaisons internationales, les Résultats 2009 du PISA (Programme for International Student Assessment) sont ici.

Attitude (psychologie) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Attitude. L'attitude est « l'état d'esprit » d'un sujet (ou un groupe) vis-à-vis d'un autre objet, d'une action, d'un individu ou d'un groupe. Le savoir-être de quelqu'un. C'est une prédisposition mentale à agir de telle ou telle façon. Elle désigne surtout une intention et n'est donc pas directement observable. L'attitude est un concept indispensable dans l’explication du comportement social et une notion nécessaire dans l'explication des réactions devant une tâche. Il existe autant de définitions de la notion d'attitude que d'auteurs. Théorie tri-componentielle des attitudes : Rosenberg et Hovland (1960) Bien que la théorie tri componentielle des attitudes, comme beaucoup d'autres concepts majeurs de la psychologie sociale, fut une idée développée dès le début du siècle, nous nous reposerons sur la description qu'en ont fait Rosenberg et Hovland (1960). Portail de la psychologie

Construire une formation pour le Elearning Interaction (sciences sociales) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une interaction est un échange d'information, d'émotion ou d'énergie entre deux agents au sein d'un système. C'est une action réciproque qui suppose l'entrée en contact de sujets. "[...] Les interactions sont des actions réciproques modifiant le comportement ou la nature des éléments, corps, objets, phénomènes en présence ou en influence." (Edgar Morin, 1977, p. 51[1]) Il est possible de définir l'interaction sociale chez les hommes comme une « relation interhumaine par laquelle une intervention verbale ou une attitude, une expression significative ou une action provoquent une action en réponse, qui retentit sur l'initiateur (échanges). » [réf. nécessaire] Celle-ci est fondamentale pour les individus et favorise les processus de neurogenèse[3]. Le terme d'interaction est souvent utilisé comme une contraction d'interaction sociale. Les interactions sont verbales ou non verbales (gestes, regard, attitudes...). Les interactions peuvent être :

Master Ingénierie des Médias pour l'Education - Université de Poitiers Mémoire Résumé L’usage d’Internet par les jeunes révèle des décalages persistants : à l’école, entre les équipements et les usages, et entre les pratiques personnelles et les pratiques scolaires. Université : Université de PoitiersFaculté ou Institut : UFR Lettres et LanguesDiscipline : DESS Ingénierie des Médias pour l’Education Directeur de mémoire : Jean-François Cerisier Membres du jury : Jean-François Cerisier ( enseignant-chercheur Université de Poitiers ), Isabelle Bréda ( CLEMI Paris ), Renée Cerisier ( principale du collège Camille Guérin Poitiers ), Jean-Louis Durpaire ( inspecteur général de l’Education Nationale ), Benoît Roques ( ingénieur d’étude Université de Poitiers ) et Jean-Pierre Roudeix ( enseignant Université de Poitiers ) Date de soutenance : 26 novembre 2003 Le mémoire en texte intégral Version HTML. [ site web ] Version PDF. [ site web ] Pour citer ce document Bernard Yannick et Usé Bernard (2003).

La théorie des représentations sociales La représentation sociale [2] est un mode spécifique de connaissance. Dans un groupe social donné, la représentation d’un objet correspond à un ensemble d’informations, d’opinions, et de croyances relatives à cet objet. La représentation va fournir des notions prêtes à l’emploi, et un système de relations entre ces notions permettant aussi, l’interprétation, l’explication, et la prédiction. Travailler sur une représentation, c’est : « observer comment cet ensemble de valeurs, de normes sociales, et de modèles culturels, est pensé et vécu par des individus de notre société ; étudier comment s’élabore, se structure logiquement, et psychologiquement, l’image de ces objets sociaux ». Herzlich (1969). Qu’est que la représentation sociale ? C’est à un sociologue Français que l’on doit l’invention du concept de représentation : Durkeim (1898). C’est à Moscovici (1961), que l’on doit reprise et renouveau des acquis Durkeimiens. Les constituants de la représentation sociale En conclusion

Grand résumé de Socio-analyse des raisons d’agir. Études sur la liberté du sujet et de l’acteur, Québec, Presses de l’Université Laval, 2010 1Que la socio-analyse existe depuis plus d’un demi-siècle ne suffit évidemment pas à expliquer pourquoi j’ai, en ce qui me concerne, été amené à m’inscrire dans ce courant de pensée et à y élaborer ma propre démarche. C’est là le résultat d’un long processus de réflexion, commencé au début des années 1970, sur l’idée de « relation sociale », et inspiré depuis par l’évolution de la sociologie elle-même au cours des vingt ou trente dernières années. Pour des raisons qui me sont encore assez obscures – et qu’il faudra bien que j’élucide un jour ! –, la notion de « relation sociale » est, pour moi, une véritable obsession depuis quarante ans : je n’ai jamais cessé de construire et reconstruire ce concept, avant, pendant et après toute recherche empirique. 4C’est ici qu’intervient l’évolution culturelle de nos sociétés. 5C'est par la socio-analyse, démarche sociologique qui situe l’individu-sujet-acteur-libre au cœur de son approche, que je cherche à éclairer cette boîte noire.

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