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Revue S!lence- Qui sommes-nous ?

Revue S!lence- Qui sommes-nous ?
Qui sommes-nous ? La revue S!lence est publiée depuis 1982. Elle se veut un lien entre toutes celles et ceux qui pensent qu'aujourd'hui il est possible de vivre autrement sans accepter ce que les médias et le pouvoir nous présentent comme une fatalité. > Ecologie Pour nous, ce sont les relations harmonieuses et respectueuses des humains entre eux (social) et avec la nature (environnement). > Alternatives Dans S! > Non-violence Le rejet des dominations et des violences...mais sans passivité est pour nous une bonne base politique. Dans nos pages, pas de théorie sans exemples, pas de pratiques sans regard critique, pas de critique sans pistes positives. De la circulation des idées écologistes Les quelques tentatives de revues grand public se sont soldées jusqu'à maintenant par des trous financiers importants et des faillites. C'est pourtant le pari que S! Faire des propositions alternatives Tout le monde s'est un jour confronté au miroir déformant de la presse classique. Alors S!

APEAS Bonjour, Ca y est, Festi’Fric c’est parti avec la venue le 09 décembre de Patrick Viveret qui a enrichi notre travail sur la question des échanges alternatifs en Paca. Pour ceux qui souhaiteraient (re)-voir cette rencontre organisée avec lui, toutes les vidéos sont disponibles sur le site de l’Apeas. Notez aussi que Festi’Fric, évènement régional autour des monnaies complémentaires et solidaires, aura lieu les 23 et 24 février 2012 à Salon de Provence, grâce au partenariat avec O2Zone TV, nouvel adhérent de l’Apeas qui nous accueille en ses terres. Mais aussi dans ce numéro de décembre : des nouvelles des Etats Généraux de l’ESS avec une rencontre prévue avec Eva Joly et Alain Lipietz à Paris et des infos sur les alternatives en Paca et pas que ! Enfin, pour ceux qui voudraient se ressourcer pendant la pause de Noël nous vous signalons les derniers numéros de l’excellente collection "Pratiques utopiques" des Editions Repas. Bonne fêtes et à l’année prochaine ! Sandra Blondel

0. Pourquoi EcoRev' Revue écologiste de réflexion et de débats, est un outil au service des acteurs et actrices des luttes pour la transformation sociale et écologiste à l’échelle planétaire, qu’ils/elles viennent de l’écologie, des mouvements sociaux, de la gauche critique ou des mouvements citoyens non partidaires émergents face à la mondialisation libérale. Depuis Seattle, un nouveau cycle de contestation et de transformation s’est ouvert. entend contribuer à donner un contenu propositionnel au renouveau actuel des forces citoyennes et écolos, notamment en entreprenant de réactualiser la pensée anti-productiviste face aux nouveaux défis d’un capitalisme globalisé et aux enjeux de la mutation informationnelle. Fondée en 1999, est animée par des militant-e-s et chercheur/ses écologistes qui ne se résignent ni à l’endormissement de l’écologie dans la gestion, ni à la dilution du paradigme écologiste dans une gauche social-libérale. Pour nous contacter

L’économie sociale et solidaire : social business ou démocratisation de l’économie ? Jean-Louis Laville publie en juin 2011 un ouvrage Agir à gauche. L’économie sociale et solidaire chez Desclée de Brouwer qui a un double objectif : présenter de façon synthétique l’économie sociale et solidaire d’une part, montrer en quoi elle constitue un enjeu politique d’autre part. Le texte ci-dessous en présente un extrait. En France l’économie sociale et solidaire a gagné 380 000 emplois depuis 2000, elle est plus créatrice d’emplois que le secteur privé, 77 % de ses salariés étant employés dans des associations. Plusieurs sensibilités se regroupent dans l’économie sociale et solidaire : les entreprises de l’économie sociale, les initiatives de l’économie solidaire qui ont une forte dimension citoyenne et celles qui mettent plus l’accent sur l’entrepreneuriat social. A cet égard, il convient d’identifier une évolution repérable au niveau international qui pourrait convertir l’économie sociale et solidaire en un simple appendice d’un système dominant inchangé.

Medias libres et solidaires de PACA (et pas que...) - Libres et solidaires Depuis maintenant deux ans, des médias solidaires : presse, radios, Internet, audiovisuel... se rencontrent pour contribuer, en région PACA, à l’émergence et à l’affirmation d’un Tiers secteur médiatique réclamé par plusieurs centaines de médias en France. Dans le contexte d’asphyxie médiatique que nous connaissons, du à la concentration des grands médias et à l’uniformisation de leurs discours, une telle initiative représente une véritable bouffée d’air. Le collectif « médias libres et solidaires de PACA (et pas que...) » regroupe plusieurs dizaines de médias de la région PACA : Presse écrite Radio TV - Vidéo Internet Il s’est auto-organisé suite à plusieurs rencontres à Marseille 27 et 28 mai 2005 - Ensemble faisons société – Apeas 5 - 8 mai 2006 - Rencontre nationale des médias associatifs et indépendants - Corali - Radio Grenouille - Zalea TV - Marseille solidaire 28 nov 2006 – Rencontre locale de médias alternatifs – Equitable Café – Marsnet – Vibrisse - Apeas Forums Productions thématiques

Actualutte - Petit format. Grande gueule. Quand le gouvernement creuse la tombe du secteur associatif - Logique de marché Les associations seraient des entreprises comme les autres. C’est en substance ce qu’affirme une circulaire de François Fillon, qui depuis deux ans met à mal le secteur associatif. Appels d’offres, mise en concurrence, marchandisation : la nouvelle vision du gouvernement transforme encore davantage les associations en prestataires de services, qui doivent rentrer dans les cases de « dispositifs ». Une logique de marché, au détriment de la connaissance de terrain ou de l’expérimentation sociale. La mauvaise nouvelle est tombée : le centre social Accueil Goutte d’Or (AGO) n’a pas été retenu par le département de Paris pour le suivi d’allocataires du RSA. En 1997, AGO avait constaté que beaucoup d’allocataires du RMI à la Goutte d’Or n’étaient pas suivis dans leur parcours d’insertion. Les associations, des prestataires de services ? « Cette directive libérale sous-entend qu’un service public doit avant tout être rentable », assène Bernard Massera, vice-président d’AGO. Nadia Djabali

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