background preloader

1. la publicité mensongère

Facebook Twitter

Publicite_mensongere-les_risques. Publicité trompeuse et publicité comparative. We are migrating the content of this website during the first semester of 2014 into the new EUR-Lex web-portal.

Publicité trompeuse et publicité comparative

We apologise if some content is out of date before the migration. We will publish all updates and corrections in the new version of the portal. Do you have any questions? Contact us. Directive 2006/114/CE du Parlement européen et du Conseil du 12 décembre 2006 en matière de publicité trompeuse et de publicité comparative (version codifiée). La présente directive protège les professionnels et les consommateurs contre la publicité trompeuse, qui est assimilée à une pratique commerciale déloyale. Publicité trompeuse Les publicités qui trompent ou peuvent tromper les personnes qui les reçoivent sont interdites.

Le caractère trompeur d’une publicité dépend d’une série de critères: Publicité comparative Les publicités comparatives font référence à un concurrent ou des biens et services concurrents, de façon explicite ou implicite. Recours Contexte. Médias & Publicité : L'Oréal accusé de publicité mensongère au Royaume-Uni. Le régulateur britannique a interdit mercredi deux publicités pour un fond de teint du groupe français, l'accusant de publicité mensongère.

Médias & Publicité : L'Oréal accusé de publicité mensongère au Royaume-Uni

«Excessivement retouché». C'est ainsi que la députée libérale démocrate Jo Swinson a caractérisé les photos utilisées dans deux campagnes publicitaires de L'Oréal destinées à être diffusées dans des magazines outre-Manche. Dans la première, l'actrice américaine Julia Roberts vante les mérites du fond de teint de Lancôme, une filiale du groupe, qui est censé «recréer l'aura d'une peau parfaite». La deuxième campagne met en scène la top model Christy Turlington, dont le visage est partiellement recouvert d'un fond de teint anti-âge de la marque Maybelline, une filiale américaine du géant des cosmétiques français.

Jugeant les photos des deux campagnes trop retouchées et «non représentatives des résultats que les produits sont en mesure de fournir», Jo Swinson a porté plainte auprès de l'Advertising Strandards Authority (ASA) et a obtenu gain de cause. Publicité mensongère. Comme tout le monde, j'imagine, il m'arrive assez souvent de trouver que la pub nous prend pour des imbéciles.

Publicité mensongère

Certaines affirmations ou certains slogans paraissent si mensongers ou caricaturaux qu'il me prend parfois de rêver à un "droit de réponse", aux frais de l'annonceur. Et à un mea culpa de ce dernier dans lequel il reconnaîtrait qu'il s'est moqué du monde et promettrait de ne plus le faire. C'est un communiqué de la CFTC en date du 17 décembre qui m'inspire ces idées vengeresses. Selon ce syndicat, dans la société Cofiroute - une société qui exploite des autoroutes dans le centre et l'ouest de la France -, un salarié sur neuf est sous contrat temporaire. Et sept anciens salariés ont cumulé, sur deux ou trois ans, entre "70 et 150 contrats (…) sans pouvoir obtenir un CDI à l'issue". Malheureusement, quantité d'autres exemples vont dans le même sens.

Sans doute est-ce en partie inévitable. Denis Clerc Alternatives Economiques n° 265 - janvier 2008 Commenter cet article. Publicité mensongère : L'Oréal risque une amende de 120 000 euros en Suède. Le numéro un mondial des cosmétiques, le français L'Oréal, a été condamné en Suède, mercredi 13 mars, pour avoir diffusé des publicités pour des crèmes antirides jugées mensongères.

Publicité mensongère : L'Oréal risque une amende de 120 000 euros en Suède

L'Oréal risque une amende de un million de couronnes (120 000 euros) s'il ne retire pas ces publicités, a annoncé dans un communiqué l'autorité de défense des consommateurs qui attaquait la filiale suédoise du groupe. Les affirmations litigieuses, mentionnées sur les sites Internet vichyconsult.se et loreal-paris.se, concernaient six crèmes : Vichy Liftactive CXP, Vichy Liftactiv Retinol HA, L'Oréal Revitalift, Age Perfect et Garnier Ultra Lift. La justice a reproché au fabricant d'avoir continué de vanter la capacité de ses crèmes à réduire les rides du visage, pourcentages à l'appui, ou à redonner à la peau une capacité à se régénérer, sans une base scientifique suffisante. L'Oréal avait déjà été condamné en 2010 à ne plus publier ces affirmations, visibles dans des publicités publiées dans des magazines.