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Toward the Pearltrees idea

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Rever un projet. La mémoire et l’oubli sont toutes deux vertus du créateur.

Rever un projet

Creuserait-on une nouvelle avenue, si l’on savait toute les raisons de l’ancienne, combien de rues et de ruelles, combien d’histoires sérieuse, drôles, minuscules se sont attachées à elle? Ainsi des discussions qu’y n’avancent que parce que l’idée des derniers mots commence déjà à s’effacer, mais qui se noieraient, sans la mémoire encore vivace des multiples discussions qui les ont précédées. Ainsi donc des discussions du web et des carnets: il faudrait trouver l’équilibre entre le dynamisme de l’oubli et la fermeté de la mémoire.

Tracer des chemins en liant plus souvent les billets passés aux nouveaux billets? Rassembler les commentaires dans des histoires ou des enchainements renouvelés, au fil des nouveaux billets? Une idée qui se précise. Trait caractéristique des temps de révolution mentale: les opinions les moins fondées y prennent parfois l’apparence et la force de la lucidité.

Une idée qui se précise

C’est en tout cas de lucidité que se parent les thèses anti web 2.0 qui fleurissent en ce moment sur l’internet, et pour lesquelles la participation des utilisateurs à la création de contenu est un « mythe » ou une « illusion ». Voir Scott Karp pour l’argument détaillé, Nicolas Kayser-Brill pour une réponse partielle, Philippe Gammaire pour un débat acharné, Julien Jacob et Benoit Raphael pour plus de contexte sur le sujet. Nos « anti-amateurs » partent d’un constat simple: des kilomètres de pages Myspace ne supportent pas la comparaison avec les lignes d’un bon écrivain ou les portées d’un bon musicien. C’est le contenu généré par les professionnels qui est un mythe. Ceux qui rependent le mythe du professionnalisme voient une aristocratie de créateurs offrant un bien rare et unique à des peuples de spectateurs égarés.

Une première idée. Trait caractéristique des temps de révolution mentale: les opinions les moins fondées y prennent parfois l’apparence et la force de la lucidité.

Une première idée

C’est en tout cas de lucidité que se parent les thèses anti web 2.0 qui fleurissent en ce moment sur l’internet, et pour lesquelles la participation des utilisateurs à la création de contenu est un « mythe » ou une « illusion ». Voir Scott Karp pour l’argument détaillé, Nicolas Kayser-Brill pour une réponse partielle, Philippe Gammaire pour un débat acharné, Julien Jacob et Benoit Raphael pour plus de contexte sur le sujet. Nos « anti-amateurs » partent d’un constat simple: des kilomètres de pages Myspace ne supportent pas la comparaison avec les lignes d’un bon écrivain ou les portées d’un bon musicien. C’est le contenu généré par les professionnels qui est un mythe. Ceux qui rependent le mythe du professionnalisme voient une aristocratie de créateurs offrant un bien rare et unique à des peuples de spectateurs égarés.

Une deuxième question. Trait caractéristique des temps de révolution mentale: les opinions les moins fondées y prennent parfois l’apparence et la force de la lucidité. C’est en tout cas de lucidité que se parent les thèses anti web 2.0 qui fleurissent en ce moment sur l’internet, et pour lesquelles la participation des utilisateurs à la création de contenu est un « mythe » ou une « illusion ».

Voir Scott Karp pour l’argument détaillé, Nicolas Kayser-Brill pour une réponse partielle, Philippe Gammaire pour un débat acharné, Julien Jacob et Benoit Raphael pour plus de contexte sur le sujet. Nos « anti-amateurs » partent d’un constat simple: des kilomètres de pages Myspace ne supportent pas la comparaison avec les lignes d’un bon écrivain ou les portées d’un bon musicien. C’est le contenu généré par les professionnels qui est un mythe.

Ceux qui rependent le mythe du professionnalisme voient une aristocratie de créateurs offrant un bien rare et unique à des peuples de spectateurs égarés. Une première question. Trait caractéristique des temps de révolution mentale: les opinions les moins fondées y prennent parfois l’apparence et la force de la lucidité.

Une première question

C’est en tout cas de lucidité que se parent les thèses anti web 2.0 qui fleurissent en ce moment sur l’internet, et pour lesquelles la participation des utilisateurs à la création de contenu est un « mythe » ou une « illusion ». Voir Scott Karp pour l’argument détaillé, Nicolas Kayser-Brill pour une réponse partielle, Philippe Gammaire pour un débat acharné, Julien Jacob et Benoit Raphael pour plus de contexte sur le sujet.

Nos « anti-amateurs » partent d’un constat simple: des kilomètres de pages Myspace ne supportent pas la comparaison avec les lignes d’un bon écrivain ou les portées d’un bon musicien. C’est le contenu généré par les professionnels qui est un mythe. Ceux qui rependent le mythe du professionnalisme voient une aristocratie de créateurs offrant un bien rare et unique à des peuples de spectateurs égarés. L'origine de l'idée.