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Maroc

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L’islam et l’environnement – Mustapha Benhamza. Un label «mosquée verte» Place Jemma El Fna, UNESCO. Ouidad Tabbaa : La faculté des lettres de Marrakech, une mobilisatrice d’énergies au service de sa région. Ouidad Tebbaa - Doyenne de la Faculté des Lettres et des Sciences Humaines de Marrakech Ouidad Tebbaa fait partie de la très remarquée élite de femmes marocaines qui ont accédé aux postes de hautes responsabilité au commandes de facultés et universités au royaume.

Ouidad Tabbaa : La faculté des lettres de Marrakech, une mobilisatrice d’énergies au service de sa région

A la tête de la faculté des Lettres et des Sciences Humaines de l’Université Cadi Ayyad de Marrakech, depuis 4 ans, Ouidad Tebbaa dit sa pleine conscience de l’énorme enjeu, dont elle se retrouve destinée à relever pour réussir sa mission difficile, aux manettes d’une institution présentant nombreuses difficultés mais dépositaire d’un potentiel de développement conséquent, pouvant la vouer, moyennant effort et bonne stratégie, à une réelle réussite. Pour la doyenne, il faille se munir d’une feuille de route à même de répondre aux multiples défis et assurer bonnes exploitations des multiples avantages dont dispose la faculté des lettres. Interagir avec son environnement Vaincre ses difficultés. Ouidad Tebbaa - Portrait de Ouidad Tebba, Marrakech. Texte de MARION OSMONT Ouidad Tebbaa, Doyenne de la faculté des lettres et des Sciences humaines de Marrakech nous raconte son engagement pour la sauvegarde de la place Jemma El-Fna.

Portrait de Ouidad Tebba, Marrakech

Au Maroc, les apostats ne sont plus passibles de la peine de mort - La Croix. Revenant sur une fatwa de 2012, le Conseil supérieur des oulémas du Maroc a estimé que la peine de mort devait être réservée à ceux qui « trahissent leur pays » et non à ceux qui changent de religion.

Au Maroc, les apostats ne sont plus passibles de la peine de mort - La Croix

Dans un document intitulé « La voie des savants », le Conseil supérieur des oulémas du Maroc a modifié sa position sur l’apostasie. C’est ce que rapporte le site Morocco World News, dans un article daté du 6 février. L’information n’a, à ce stade, pas été reprise par le reste de la presse marocaine. Conformément à un hadith – un propos prêté au prophète de l’islam – et à l’interprétation traditionnelle qu’en a faite la jurisprudence islamique, le Conseil supérieur des oulémas du Maroc avait rappelé en 2012 que celui qui « quitte » la communauté musulmane mérite la peine de mort.

Revirement Cette instance présidée par le roi et chargée d’émettre des fatwas (avis religieux) est donc « revenue sur sa position », indique l’article. Trahison Pays multiculturel et pluri-religieux. Ghita El Khayat. Médecin psychiatre à Casablanca, Ghita El Khayat est née en 1944 à Rabat.

Ghita El Khayat

Elle est aussi l’auteur de nombreux articles et livres sur la condition féminine dans le monde arabo-islamique. Son portait par le photographe Gérard Rondeau -> Parmi ses œuvres Correspondance ouverte (Marsam, 2005), avec Abdelkébir Khatibi Le Livre des prénoms (Ediff, 1998) Les Sept Jardins (L'Harmattan, 1996) : roman Le Maghreb des femmes (Ediff, 1992). Le Somptueux Maroc des femmes (Dédico, 1994) : une recherche des traditions des plus fastueuses aux plus quotidiennes.

Une psychiatrie moderne pour le Maghreb (L’Harmattan, 1994) : l’auteur évoque la situation au Maroc et dans les pays voisins. Le jour où l’Afrique aura des formations aussi dynamiques que ses étudiants. Débordées et parfois obsolètes, coupées des besoins des entreprises, les universités se réinventent alors que foisonnent les initiatives publiques et privées.

Le jour où l’Afrique aura des formations aussi dynamiques que ses étudiants

Vous êtes jeune, vous êtes africain, et vous voulez éviter le chômage ? Passer par l’université n’est pas forcément la solution. Selon l’Organisation internationale du travail (OIT), les diplômés de l’enseignement supérieur du continent sont deux à trois fois plus exposés au chômage que les jeunes n’ayant pas poursuivi leur scolarité au-delà du primaire. C’est à ce funeste paradoxe que s’attaque la troisième édition des Débats du Monde Afrique, à Dakar. Leïla Slimani. «Madame Bovary X» C’était il y a un an, ou presque.

Leïla Slimani. «Madame Bovary X»

Un banquier de nos connaissances nous envoie un mail : «Pourriez-vous recevoir la jeune femme dont le CV suit ? Elle s’interroge sur la poursuite de sa carrière et les mérites de diverses voies… si bien sûr vous en avez l’envie et le temps.» Le temps jamais, mais l’envie de nouvelles rencontres toujours. Rendez-vous pris, la jeune femme s’avère être journaliste, pour Jeune Afrique entre autres, mère d’un enfant de 2 ans et demi, et épouse d’un banquier (d’où la connexion).

Elle est franco-marocaine, douce, lumineuse et indécise sur le sens à donner à sa vie. Le temps passe jusqu’à ce jour de juin où l’on reçoit, parmi la quantité de livres de la rentrée littéraire, un roman de Gallimard, Dans le jardin de l’ogre. «Sans mes parents, sans ce que sont mes parents, je n’aurais jamais pu écrire ce livre», nous confirme-t-elle quelques semaines plus tard dans le salon de son appartement parisien, au pied du Sacré-Cœur. Elle accouche d’Emile en mai 2011.