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Maroc

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Académie des arts traditionnels - l’académie. Amskou Hotel (Boumalne Dades) - 57 avis. Auberge la vallée des figues - Locations Boumalne Dades. Séjour dans la vallée du Dadès, exploration des gorges du DAdès. Petite histoire d’une étoile à six branches. Au début du Protectorat, la reproduction de l'étoile à six branches, c'est-à-dire deux triangles isocèles superposés tête-bêche, ne fut pas exceptionnelle.

Petite histoire d’une étoile à six branches

Intrigué par leur présence, on pouvait penser à tort à une référence juive. Contrairement à une idée reçue et véhiculée, cette étoile à six branches, qu’on appelle le sceau de Salomon (ou le sceau de Sulayman) ou “l’étoile de David” n’est pas un symbole propre aux Juifs. Elle est dans les trois cultures musulmanes, chrétiennes et juives, le symbole de la sagesse, de la vie et de la santé. On remarque que beaucoup de pièces marocaines anciennes (frappées à Fès) présentent à l’avers une étoile à six branches, le revers portant la date à laquelle elles furent émises.L’étoile à six branches apparaissait autrefois sur les étendards de nombreuses confréries ainsi que sur les emblèmes chérifiens, et encore sur le drapeau marocain de la zone du Protectorat espagnol.

Jusqu'en 1954 certaines pièces marocaines portèrent l'étoile à six branches. Imassine – Google Maps. Maroc ,Ouida Abdelghani ,calligraphe Marrakech. Document sans titre. Discover Islamic Art – Virtual Museum-monument_ISL_ma_Mon01_3_fr. Ali ibn Youssef (500-537 H/1106-1143 J.

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-C.). De plan rectangulaire (7,30 x 5,50 m), elle présente deux hauteurs nettement distinctes, séparées, à 5 m de haut environ, par un mince bandeau lisse en légère saillie : – Une première hauteur dont les coins sont formés par quatre fortes piles et dont les façades s'ouvrent, sur chacun des grands côtés, par deux arcs géminés, outrepassés et lobés, et par un arc lobé sur chacun des petits côtés. – Une deuxième hauteur se terminant par un bandeau lisse comportant des merlons en gradins. Les façades de ce niveau sont percées par pas moins de 16 arcs de tracés variés : outrepassé brisé, curviligne, lobé (5 sur chaque grande façade et 3 sur chaque petite) L'ensemble est couronné d'un dôme de brique, garni d'arcatures entrelacées et décoré de chevrons entourant une étoile à sept branches. La décoration intérieure, presque absente dans la partie inférieure de l'édifice, s'épanouit de plus en plus à mesure que le regard s'élève.

Discover Islamic Art – Virtual Museum-monument_ISL_ma_Mon01_14_fr. Abdallah al-Ghalib (965-982 H / 1557-1574 J.

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-C.), Ahmed al-Mansour (986-1012 H / 1578-1603 J. Discover Islamic Art – Virtual Museum-monument_ISL_ma_Mon01_4_fr. Calife almohade Abdelmoumen (524-558 H / 1130-1163 J.

Discover Islamic Art – Virtual Museum-monument_ISL_ma_Mon01_4_fr

-C.). Deux “mosquées Koutbiyne” (du quartier des libraires) furent construites à quelques années d'intervalle par Abdelmoumen. Discover Islamic Art – Virtual Museum. Discover Islamic Art – Virtual Museum. Discover Islamic Art – Virtual Museum-object_ISL_ma_Mus01_F_6_fr. Nom de l’Objet: Minbar Musée conservant l’objet: Palais al-Badi Marrakech, Maroc.

Discover Islamic Art – Virtual Museum-object_ISL_ma_Mus01_F_6_fr

Le Gebs marocain, ou quand le plâtre devient chef d’œuvre. - Escapades et découvertes. Au Maroc, les maîtres artisans (les Maâlmins) magnifient le plâtre, ils le sculptent, le cisèlent, le mettent en scène et cela devient un chef d’œuvre : le gebs.

Le Gebs marocain, ou quand le plâtre devient chef d’œuvre. - Escapades et découvertes

Recouvrant généralement la partie haute des murs, au-dessus des zelliges, il est aussi employé pour la décoration d’arcades ou de plafonds comme ci-dessous cette exceptionnelle coupole au palais royal de Dar Es Salam à Rabat. Le gebs est également utilisé pour de grandes surfaces architecturales, et s’applique à tous les types de motifs : frises concentriques, entrelacs géométriques, rosaces, muqarnas* comme ci-dessous au palais royal de Rabat et dans la kasbah de Télouet, sans oublier bien sûr la calligraphie.

Bois peint marocain. Les Marocains excellent dans toutes les formes d’artisanat : céramique, poterie, travail du bois, fer forgé, textiles, bijoux, travail du cuir, reliures, armes.

bois peint marocain

Siège de balançoire (Musée Dar Si Said - Marrakech) Après les dynasties Almoravides et Almohade c’est sous les Mérinides aux 13° et 14° siècles que la menuiserie d’art connait un vif éclat. Les ébénistes utilisent le peuplier, le noyer, le genévrier, l’arganier et surtout le bois de cèdre du Moyen Atlas. En témoignent les décorations sculptées et peintes des médersas (école coraniques) fondouks (caravansérails) minbars (chaire des mosquées). L’islam interdisant la représentation de la figure humaine ce sont de savants entrelacs géométriques aux infinies variations, des motifs végétaux, des palmes, des arabesques, des versets du Coran en écriture coufique.

Adémie des arts traditionnels - l’académie. Zellige. Cet article ne cite pas suffisamment ses sources (octobre 2015).

Zellige

Si vous disposez d'ouvrages ou d'articles de référence ou si vous connaissez des sites web de qualité traitant du thème abordé ici, merci de compléter l'article en donnant les références utiles à sa vérifiabilité et en les liant à la section « Notes et références » (modifier l'article, comment ajouter mes sources ?). Exemple de mosaïque romaine, origine probable du zellige. Sol en pierres noires avec cabochons blancs, Ier siècle, maison des Ceii, Pompéi.

Le zellige (de l'arabe : زليج, petite pierre polie) est une mosaïque dont les éléments, appelés tesselles, sont des morceaux de carreaux de faïence colorés. Ces morceaux de terre cuite émaillée sont découpés un à un et assemblés sur un lit de mortier pour former un assemblage géométrique. Minaret (mosquées Merinides) Publié le mardi 2 octobre 2012 10:10 L'architecture des minarets mérinides ne va pas sans présenter des analogies avec celle des almohades.

Minaret (mosquées Merinides)

Le minaret de la Qasba de Marrakech est d'ailleurs celui qui servit le plus certainement de modèle aux architectes des XIIIe et XIVe siècles. Tout l'effort des artistes mérinides porta sur la décoration, et plus particulièrement, sur les jeux qu'introduit le zellij polychrome. A l'époque mérinide, le minaret est le plus souvent érigé à l'angle nord-ouest des mosquées, comme dans la grande mosquée de Fâs Jdïd, la mosquée al-Hamrâ,la mosquée de Sïdï al-Halwî et la mosquée d'al-'Ubbâdh Tlemcen. A la mosquée de Tâza,le minaret garde son emplacement à l'angle nord-est de l'édifice. La trame de base est la même mais les interprétations se multiplient et l'artisan mérinide introduit des compositions rehaussées de motifs en Zellij. Il vous ordonne de vous adresser exclusivement à Lui dans chaque prière, et de L'invoquer toujours d'une foi pure et sincère. Eléments architecturaux et techniques décoratives (Mosquées Merinides) Publié le mardi 2 octobre 2012 10:27 Malgré l'utilisation des colonnes, les piliers sont les supports préférés des constructeurs mérinides.

Eléments architecturaux et techniques décoratives (Mosquées Merinides)

Intégrés dans la maçonnerie sous forme de pilastres, ou élevés pour recevoir les retombées des arcs des nefs et des mihrâb, les piliers sont souvent de section carrée à l'intérieur des salles de prière, à trois ou quatre dosserets dans les arcades s'ouvrant sur le sahn comme dans la grande mosquée de Fâs Jdïd,la mosquée al-'Ubbâd, la mosquée Sïdï al-Halwï et la mosquée al-Hamrâ.Ceux à quatre dosserets font leur apparition devant le mihrâb.Ils y trouvent place pour supporter la coupole qui précède la niche et pour la mettre en valeur. Ils sont construits en briques cuites liaisonnées d'épaisses couches de mortier de sable et de chaux. Ainsi, ils restent l'unique support que surmontent les nefs et les galeries. Les couvertures qui dominent sont des plafonds à deux pentes à structure apparente ou à habillage en bois assemblé.