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Capitalisme | Libéralisme | Néolibéralisme

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LE CAPITALISME VA DISPARAÎTRE, IL FAUT REPENSER L'ÉCONOMIE - ALAIN DENEAULT. Naomi Klein - La strategie du choc Epub - Ebook Gratuit. Le capitalisme a-t-il pour but de réinstaurer l’esclavage ? – Blog-Libre. C’est un des marronniers de la lutte contre la loi travail.

Le capitalisme a-t-il pour but de réinstaurer l’esclavage ? – Blog-Libre

Le capitalisme dérégulé (comprenez le capitalisme auquel la lutte ouvrière ne fait plus obstacle), n’aurait pour objectif ultime que de réinstaurer l’esclavage et de faire de tous les ouvriers, des petits esclaves de leur entreprise. Pourtant, aussi contre-intuitif que cela puisse paraître, c’est en fait bien le contraire qui se produit. C’est même un des résultats fondamentaux que Karl Marx démontrera : en fait, le capitalisme avait besoin d’abolir l’esclavage pour pouvoir se développer. Neoliberalism – the ideology at the root of all our problems. Imagine if the people of the Soviet Union had never heard of communism.

Neoliberalism – the ideology at the root of all our problems

The ideology that dominates our lives has, for most of us, no name. Mention it in conversation and you’ll be rewarded with a shrug. Even if your listeners have heard the term before, they will struggle to define it. Neoliberalism: do you know what it is? Its anonymity is both a symptom and cause of its power. So pervasive has neoliberalism become that we seldom even recognise it as an ideology. Neoliberalism sees competition as the defining characteristic of human relations. Attempts to limit competition are treated as inimical to liberty. We internalise and reproduce its creeds. Never mind structural unemployment: if you don’t have a job it’s because you are unenterprising.

Plus les riches sont riches et moins la croissance est forte. Un document de travail du Fonds monétaire international (FMI) conteste la théorie libérale du « ruissellement », selon laquelle l’enrichissement des plus riches bénéficierait à la croissance.

Plus les riches sont riches et moins la croissance est forte

Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Claire Guélaud. Une 3ème guerre mondiale conséquence de la 2ème globalisation ? Conférence passionnante donnée par Jean-Michel Quatrepoint à l'IHEDN (l'Institut des Hautes Etudes de Défense Nationale) le 10 octobre 2011.

Une 3ème guerre mondiale conséquence de la 2ème globalisation ?

Son dernier livre paru le mois dernier s'intitule Mourir pour le Yuan ? : Comment éviter une guerre mondiale. Dans cette première vidéo Jean-Michel Quatrepoint évoque la première globalisation financière à la fin du XIXème et au début du siècle dernier, ayant débouché sur les 2 guerres mondiales. Les mêmes causes donnant les mêmes effets, la situation actuelle risque de déboucher sur une "3ème guerre mondiale", où la crise économique se "résoudra" par une "économie de guerre"... Cette deuxième vidéo permet de visionner la conférence dans son intégralité, suivie des questions du public :

École autrichienne d'économie. L’école autrichienne d’économie, dite parfois école de Vienne, est une école de pensée économique hétérodoxe qui prend comme point de départ l'individualisme méthodologique ; elle rejette l’application à l’économie des méthodes employées par les sciences naturelles et s’intéresse aux relations causales entre les événements, dont l’origine est l’action des individus, objet d'étude de la praxéologie.

École autrichienne d'économie

Historique[modifier | modifier le code] On considère habituellement que la tradition autrichienne est issue de Carl Menger, généralement associé à Léon Walras et William Stanley Jevons dans l’invention du marginalisme. En réalité, ces trois auteurs ont soutenu des positions différentes sur de nombreux sujets, et sont à l’origine de trois écoles de pensée distinctes. Entretien avec Michel Beaud : la naissance du capitalisme. Le keynésianisme contre le neolibéralisme. Parler d’économie dans podcastscience peut surprendre, surtout pour tous les amateurs de sciences dures.

le keynésianisme contre le neolibéralisme

Néanmoins l’économie s’inscrit dans le cadre des sciences humaines, un domaine des sciences que nous avons déjà abordé à quelques occasions dans ce podcast. L’idée m’est venue de revenir sur les thèses fondamentales de l’économie suite au visonnage d’une série de vidéos passionnantes et réellement inspirantes du professeur espagnol Julián Pavón de l’Université Polytechnique de Madrid. Ces vidéos dont je me suis amplement insiprées pour rédiger ce dossier reviennent sur les principes fondateurs de la macroéconomie qui ont été appliqués dans notre histoire récente du XXème siècle et dans la première décennie du XXIème siècle. Elles nous aident à mieux comprendre quels sont les fondamentaux qui nous ont amené à la situation de crise actuelle et à envisager quels sont les enjeux économiques avenirs. ) qui représente la demande totale dans une économie.

Des sous et des hommes - emission du 29 novembre 2002. Pascale Fourier : Ces derniers temps, quand j’écoute les informations, je suis vraiment rassurée, parce que Raffarin ne laisse vraiment pas pourrir la situation… Après la réforme de la retraite, il va réformer la Sécurité Sociale : je me sens entre de bonnes mains puisque ça veut dire nécessairement progrès et nouvelles perspectives… Donc on ne peut être que tous d’accord… Serge Halimi : Bien sûr...

Des sous et des hommes - emission du 29 novembre 2002

On ne peut être que tous d’accord, surtout quand on a intérêt aux résultats escomptés de ces réformes, et ça, on sait à peu près depuis une vingtaine d’années qui y a plutôt intérêt… Pascale Fourier : Oui, c’est-à-dire ? …Soyons naïfs jusqu’au bout : qui ? Serge Halimi : C’est-à-dire ceux qui en général lancent les réformes, les présentent comme inévitables, et ceux qui en profitent, qui sont essentiellement les détenteurs d’actifs financiers, en quelque sorte le capital plutôt que le travail. Le Grand Bond en arrière.