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Les autochtones du Québec

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Press release October 9, 2013 – La ministre Élizabeth Larouche rencontre le Rapporteur spécial des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones. Québec, le 9 octobre 2013. – La ministre déléguée aux Affaires autochtones, Mme Élizabeth Larouche, a rencontré, hier soir, à Ottawa, le Rapporteur spécial des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones, M.

Press release October 9, 2013 – La ministre Élizabeth Larouche rencontre le Rapporteur spécial des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones

James Anaya, actuellement en mission pour dresser un portrait de la situation des Autochtones à l’échelle canadienne. Lors de cette rencontre, la ministre Larouche a fait part au Rapporteur spécial des différentes initiatives du gouvernement du Québec visant à soutenir les communautés autochtones. « Nous pouvons être très fiers de nos collaborations fructueuses avec les Premières Nations, les Inuits et la société civile pour favoriser le rapprochement entre nos peuples. Le Rapporteur spécial a particulièrement été intéressé par la question des ressources naturelles et de la consultation. Les Rapporteurs spéciaux sont des experts indépendants nommés par le Conseil des droits de l’homme des Nations Unies. Les Hurons-Wendats. Secrétariat aux affaires autochtones La nation huronne-wendate est l’une des nations autochtones les plus urbanisées du Québec.

Les Hurons-Wendats

Quelque 1 300 Hurons-Wendats habitent à Wendake, une municipalité adjacente à Québec, et 1 700 vivent à l’extérieur de celle-ci. Les Hurons-Wendats ont adopté le français comme langue d’usage, au détriment de la langue huronne-wendate. Avant l’arrivée des Européens, les Hurons-Wendats menaient une vie semi-sédentaire aux environs de la baie Georgienne, en Ontario. SITE TRADITIONNEL HURON : réserve indienne des Hurons-Wendat, village-des-Hurons Québec Canada. Accueil. Les Mohawks. Secrétariat aux affaires autochtones La nation mohawk, qui compte plus de 16 200 membres, est la plus populeuse des nations autochtones du Québec.

Les Mohawks

Environ 2 700 Mohawks vivent hors réserve, alors que 13 500 se répartissent entre trois communautés : Kahnawake (7 300), Akwesasne (4 900) et Kanesatake (1 300). La langue d’usage des Mohawks est l’anglais; certains parlent leur langue maternelle et quelques-uns s’expriment en français. Les Mohawks font partie des nations iroquoises qui, avant l’arrivée des Européens, formaient la Confédération des cinq nations. Leur société était traditionnellement matrilinéaire, les femmes y transmettant la parenté et l’identité clanique. À partir du XIXe siècle, des Mohawks ont exercé des métiers recherchés, comme celui de pagayeurs dans les embarcations qui franchissaient les rapides de Lachine. Établis à proximité de Montréal, les Mohawks de Kahnawake ont pris en charge, depuis plusieurs années, la plupart des secteurs de leur activité communautaire. Les Algonquins. Secrétariat aux affaires autochtones Près de 5 500 Algonquins vivent dans neuf communautés situées en Outaouais et en Abitibi-Témiscamingue, et plus de 4 000 habitent ailleurs au Québec.

Les Algonquins

La langue d’usage est l’anglais dans six communautés et le français dans le cas des trois autres. Toutefois, l’algonquin est une langue vivante, parlée par de nombreuses personnes. Jusqu’au début du XXe siècle, la majorité des Algonquins ont conservé leurs pratiques religieuses ancestrales et un mode de vie nomade qui s’est articulé autour de la chasse, de la pêche, du piégeage et de la cueillette. Par la suite, leur sédentarisation s’est accentuée, plus particulièrement après l’ouverture de l’Abitibi à la colonisation. Aujourd’hui, l’activité économique gravite autour de l’exploitation forestière, du tourisme, de l’artisanat et des services gouvernementaux, que les Algonquins administrent eux-mêmes généralement.

Histoire des Algonquins. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Histoire des Algonquins

L'histoire des Amériques, à fortiori des Algonquins, commence souvent avec sa découverte par l'Italien Christophe Colomb en 1492, mais pourtant, les premières traces de vies sur le continent remontent à environ 25 000 ans avant notre ère. C'est petit à petit que des vagues d'autochtones se succédèrent et au fil des glaciations peuplèrent l'Amérique. Au Québec, on relate l'arrivée des premiers occupants vers 15 000 ans avant notre ère à la suite du retrait tardif du glacier. Au nord-ouest du Québec, en Abitibi-Témiscamingue, « ce n'est que vers 10 500 ans avant notre ère que débute la libération des glaces qui emprisonnent jusqu'alors le territoire[a 1] » et le peuplement. Traditionnellement, les Algonquins ou Anishinaabeg en langue algonquine, vivaient d'un mode de vie nomade, de chasse et de pêche ainsi que de la cueillette de petits fruits.

Origine[modifier | modifier le code] Contact avec les « Blancs »[modifier | modifier le code] Civilisations.pdf (application/pdf Object) AKI - Soci&eacutet&eacutes et territoires autochtones.

Les Inuits

Les Abénaquis. Secrétariat aux affaires autochtones Appartenant à la grande famille linguistique et culturelle algonquienne, les Abénaquis du Québec sont originaires des États actuels du Maine, du New Hampshire et du Vermont.

Les Abénaquis

En 1700, ils se sont établis définitivement à Odanak et à Wôlinak, sur la rive sud du Saint-Laurent, près de Trois-Rivières. Aujourd’hui, plus de 2 000 Abénaquis vivent au Québec, dont près de 400 à Odanak et à Wôlinak, dans le Centre-du-Québec. Le français est la langue d’usage de la majorité d’entre eux, l’anglais étant la langue de quelques Abénaquis seulement. Les Malécites. Secrétariat aux affaires autochtones Près de 800 Malécites vivent sur le territoire québécois.

Les Malécites

Les Cris. Les Innus (Montagnais) Innu.ca. Innu.ca. Innu stories from the land. Une langue est menacée à Mashteuiatsh. La situation préoccupe les autorités de la communauté, qui mettent tout en oeuvre pour garder leur langue bien vivante.

Une langue est menacée à Mashteuiatsh

Située en bordure du lac Saint-Jean, la réserve de Mashteuiatsh est entourée des municipalités de Roberval, Saint-Prime et Saint-Félicien, où la population parle presque exclusivement le français. La communauté autochtone compte 2213 habitants. De ce nombre, seulement 190 personnes ont déclaré avoir le nehlueun comme langue maternelle au dernier recensement, alors qu'il y en avait 235 cinq ans auparavant. Cela représente une diminution de 20 %. La culture innue - Innu Aitun. Sylvie Vincent, les innus et la tradition orale : Le blogue du Musée. Les Naskapis. Secrétariat aux affaires autochtones Les membres de la nation naskapie sont au nombre de 850 environ.

Les Naskapis

Il y a un seul village naskapi au Québec, Kawawachikamach, situé à une quinzaine de kilomètres au nord de Schefferville. La population parle naskapi et utilise l’anglais comme langue seconde. À l’arrivée des Européens, les Naskapis vivaient de la chasse au caribou et en tiraient leur nourriture, leurs vêtements et leurs outils. Contraints à vivre en nomades et à se déplacer au gré de la migration de cet animal et forts de l’autosuffisance qu’il leur procurait, ils furent longtemps réfractaires à l’idée de participer au commerce des fourrures. À partir de 1893, plusieurs famines décimèrent les Naskapis. En 1978, les Naskapis signent la Convention du Nord-Est québécois (CNEQ) en vertu de laquelle ils sont propriétaires exclusifs d’un territoire de 326 km2.

Page précédente - Page suivante. Les Attikameks. Secrétariat aux affaires autochtones On compte environ 6 300 Attikameks, lesquels font partie de la grande famille linguistique et culturelle des Algonquiens.

Les Attikameks

Près de 85 % d’entre eux habitent à Manawan, à Wemotaci et à Obedjiwan, les autres étant disséminés dans le reste du Québec. La communauté de Manawan est située dans la région de Lanaudière, Obedjiwan sur la rive nord du réservoir Gouin, en Haute-Mauricie, et Wemotaci, quant à elle, se trouve au nord-ouest de La Tuque. L’ensemble de la population parle attikamek et utilise le français comme langue seconde. Les Micmacs. Secrétariat aux affaires autochtones La péninsule de la Gaspésie compte trois communautés micmaques totalisant plus de 5 000 personnes : Listuguj (3 300 personnes, dont 1 900 résidents); Gesgapegiag (500 personnes, dont 1 200 résidents) et Gespeg, dont les quelque 500 habitants vivent hors réserve.

Les Micmacs de la Gaspésie font partie d’une nation présente également dans les provinces du Nouveau-Brunswick et de la Nouvelle-Écosse. La langue micmaque est enseignée à l’école et elle est encore parlée dans les communautés de Listuguj et de Gesgapegiag. Plan du site - Secrétariat aux affaires autochtones. Convention de la Baie-James et du Nord québécois. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Nord du Québec (territoire visé par la CBJNQ de 1975) Les deux conventions prévoient une large autonomie politique et administrative pour les communautés autochtones et leur accordent des droits exclusifs de chasse, de pêche et de piégeage sur des territoires de 170 000 km², ainsi que des compensations financières à court et à moyen termes d’environ 234 millions de dollars.

En contrepartie, le gouvernement du Québec obtient le droit de développer les ressources hydrauliques, minérales et forestières du Nord du Québec et de leurs droits ancestraux. Les principales signataires de la convention de la Baie-James sont le Grand Conseil Cris, les Inuits du Nunavik, le gouvernement provincial et fédéral, Hydro-Québec et la Société de développement de la Baie-James. La CBJNQ a été signé le 11 novembre 1975[1]. Historique[modifier | modifier le code] Administration régionale crie. Jbnq_f. Nouvelles: La paix des braves est signée. La paix des braves est signée Mise à jour le vendredi 8 février 2002, 20 h 31 . Le premier ministre Bernard Landry et le grand chef du Conseil des Cris, Ted Moses, ont signé à Waskaganish, au sud de la baie James, l'entente annoncée en octobre et qui porte sur le développement des ressources du Nord québécois.

L'entente prévoit l'aménagement du complexe hydroélectrique Rupert-Eastmain. Québec s'engage à associer les Cris au développement du Nord et leur versera quatre milliards et demi de dollars au cours des 50 prochaines années. En retour, les Cris se sont engagés à abandonner toute poursuite contre le gouvernement du Québec. L'entente a été ratifiée par huit des neuf communautés cries du Nord. Une entente très large L'entente prévoit que les communautés cries seront associées à l'aménagement du complexe Eastmain-Rupert, mais elle porte aussi sur une variété d'aspects du développement du Nord, comme l'établissement d'un régime forestier adapté et la gestion de la faune locale.

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