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Stiegler

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Les pages de Bernard Stiegler. Bernard Stiegler, philosophe. Bernard Stiegler aux JEL, vers l’université numérique… L’introduction du numérique dans le système académique, comme l’appelle Bernard Stiegler, doit se faire par le haut. il est évident que les technologies numériques doivent aujourd’hui être mises en oeuvre massivement dans le champ académique mais que le champ académique doit s’en saisir, ce qui ne signifie pas acheter la dernière version de technologie de tel ou tel constructeur.

Bernard Stiegler aux JEL, vers l’université numérique…

Dans cette déclaration, Bernard Stiegler ne tient pas du tout à dévaloriser ces solutions mais il tient juste à donner son point de vue par rapport aux géants tels que Microsoft, Google ou autres qu’ils nomment « les cavaliers de l’apocalypse » pour dire que ce ne sont pas eux qui doivent prescrire. Il conseille même aux grands éditeurs scolaires de travailler avec les jeunes start-up et surtout en collaboration avec les universitaires… car il ne faut pas laisser le marché piloter mais bien la science ; ce qui suppose de créer une nouvelle « Taskforce ». Discours à suivre dans la vidéo ci-contre. lu : 2096 fois. Bernard Stiegler : l'automatisation et la fin de l'emploi. "Le Front national sera majoritaire", prédit le philosophe Bernard Stiegler. L’enfant, ennemi à abattre. Après lecture de Books du mois de juin, voici quelques réflexions.

L’enfant, ennemi à abattre.

L’article de Tilmann Moser sur le livre d’Alice Miller montre que ce monsieur non seulement ne comprend pas bien l’auteure dont il parle, ni ses concepts, ni ceux de la psychanalyse en général. Il mélange un peu tout à « sa sauce ». Parler le soi « comme centre actif de tous les processus de défense », c’est ne rien comprendre au soi tel qu’il fut parlé par Donald Winnicott, et repris entre autres par Alice Miller. Par ailleurs, sa définition de la névrose en début d’article laisse songeur. Ainsi, les conflits intérieurs vecteurs de névroses prendraient « leur source dans le tiraillement de l’enfant entre ses pulsions et les interdits sociaux et parentaux. La «pédagogie noire» en toutes ses variantes réinvente sans cesse de nouvelles méthodes de terreur éducative pour détruire la vitalité créative de l’enfant, de l’enfant perçu par l’adulte comme un ennemi à assujettir ou abattre. L’enfant, ennemi à abattre. « Travail et temps libre. Tous intermittents ?

C’est la première fois que je tape Politis sur google et j’ai écouté la conférence sur les intermittents du spectacle ou plutôt le débat à partir de la lutte des intermittents qui donne à réfléchir au travail temporaire, au temps libre, et à l’humain.

« Travail et temps libre. Tous intermittents ?

Cet ensemble de compétences réunies dans cette conférence écoutée presque jusqu’à la fin, est pour moi du plus haut niveau. Je ne peux dire que mon expérience comme personne ordinaire : je suis infirmière, vacante depuis toujours et disponible depuis toujours, je suis infirmière ..Bon je pense avoir oeuvré pour la restauration des êtres humains , car sans les soins médicaux, nous ommes au Moyen aGE, AVEC DES ESTROPIÉS du sport. Déjà 14000 suicides en France depuis trente cinq ans, touchant les plus jeunes.. mais aucun gouvernement n’a pris à bras le corps cette souffrance .. un suicide ou une tentative de suicide coûte 100 000 euros au plus bas prix, en solde. Bernard Stiegler : «Avec le numérique, nous sommes dans l’obligation de repenser l’éducation»

*Bernard Stiegler enseigne la philosophie aux universités de Compiègne et de Londres, président du l’association Ars Industrialis, directeur de l’Institut de Recherche et d’Innovation du Centre Georges Pompidou (IRI), membre du Conseil National du Numérique.

Bernard Stiegler : «Avec le numérique, nous sommes dans l’obligation de repenser l’éducation»

Pourquoi l’éducation devrait-elle changer ? L’éducation doit changer parce que le savoir a changé. Ce changement profond est visible dans des sciences comme les mathématiques, l’astrophysique ou les nanosciences pour n’en citer que quelques-unes... Mais c’est également vrai dans le domaine de la langue et des savoirs, où Google est en train de bouleverser les cadres traditionnels comme l’a montré Frédéric Kaplan notamment. Et il n’y a pas que les savoirs académiques qui se trouvent ainsi changés : les savoir-faire sont revisités, notamment par l’écosystème des fablabs (1), et quant aux savoir-vivre, ils se trouvent à la fois détruits par les réseaux sociaux et construits sur de nouvelles bases...

Algorithm and Contingency.