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Définitions

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Les différents types de communautés. Causerie avec Marcel sur la difference entre un réseau et un groupe. Guides pratiques du travail collaboratif en communautés virtuelles d’apprentissage. Comme son nom l’indique, le Campus Virtuel de l’Université de Limoges est spécialisé depuis plusieurs années dans les formations à distance dont plusieurs diplômes d’université liés aux métiers du secteur des EPN (espaces publics numériques) et une filière classique universitaire : Bac+2 à Bac+5.

Guides pratiques du travail collaboratif en communautés virtuelles d’apprentissage

Dans l’espace Documentation du site du Campus Virtuel, on peut trouver deux guides du travail collaboratif en libre téléchargement. Dans un contexte professionnel où l’animation de communautés en ligne devient un métier reconnu à part entière, où l’apprendre en ligne se diffuse, ces deux guides du travail collaboratif posent des jalons théoriques sur ce qu’est une communauté de personnes travaillant à distance à plusieurs avec caractéristiques et définitions de référence. * Guide pratique du travail collaboratif en communautés virtuelles d’apprentissage (pdf, 8 pages) : Les communautés virtuelles : Qu’est-ce qu’une communauté virtuelle ?

Les différents types de communautés virtuelles, Licence : Comunity manager ou social strategist. Par Stéphane Diebold, Vice-président du GARF.

Comunity manager ou social strategist

Le responsable de formation deviendra-t-il community manager ou social strategist? Comunity manager et social strategist sont des appellations issues du marketing. Mais qu’est-ce que cela recouvre comme réalité dans la formation? Le community manager est celui qui anime la communauté apprenante, alors que le social strategist est celui qui définit la ligne éditoriale. Le Travail Collaboratif en Ligne selon MAIN CONSULTANTS. Sur un blog qui prétend parler du travail collaboratif, il n'est sans doute pas inutile de parler un peu du... travail.

Le Travail Collaboratif en Ligne selon MAIN CONSULTANTS

C'est même absolument indispensable pour bien cerner le véritable propos de ce que l'on nomme communément le "travail collaboratif". Je vais bien sûr commencer par le traditionnel rappel étymologique sur le travail-souffrance ! On pourra toujours discuter sur la signification des étymologies. Toujours est-il que l'usage des mots dans l'histoire, leur évolution dans le temps et les multiples sens qu'ils portent sont autant de manifestations qui peuvent dénoter l'intelligence, populaire ou savante, d'un terme ou d'un concept. Il est courant d'associer étroitement le terme travail, dans son sens ordinaire et moderne, à l'expérience de la contrainte et de la domination. Revenons à la notion de travail. Extrait_animer_une_communaute_de_pratique.pdf (Objet application/pdf)

Le manifeste du collaborateur en réseau social. L’article de Michael Fauscette , consultant américain en systèmes d’information sur le site smart data collective propose un exercice stimulant de définition des conditions d’épanouissement professionnel des salariés à l’heure où les réseaux sociaux occupent une place « intime » dans l’existence de nos contemporains.

Le manifeste du collaborateur en réseau social

Il se livre à la rédaction du Social employee Manifesto , sous formes de listes, affirmant la nécessité de concevoir de nouvelles organisations du travail pour des collaborateurs hyper-connectés et socialement responsables. Ceci ayant nécessairement une visée pour améliorer la productivité des entreprises et en faire un avantage stratégique vis à vis de la concurrence. Nous avons besoin d’un nouveau paradigme pour faire avancer les choses et intégrer dans les organisations un nouveau type d’employé qui a beaucoup de mal à travailler dans un système hiérarchique, allant du haut vers le bas ; et dans un environnement hautement contrôlé.

Il liste les affirmations suivantes : Communauté d’intérêt. Des individus intègrent une communauté d’intérêt, car ils sont conscients qu’ils ne peuvent pas résoudre leurs problèmes seuls.

Communauté d’intérêt

Ils cherchent donc à comprendre et interpréter leur expérience personnelle en la comparant aux expériences des autres membres. Ils cherchent également des solutions pratiques à leurs problèmes quotidiens, mais ces solutions n’ont aucun processus résolutoire. Ces solutions de problèmes sont presque toujours parcellaires et individualisées; elles sont plus personnelles que collectives. Réseaux contre hiérarchies, liens faibles contre liens forts. Pour le New Yorker, Malcolm Gladwell (blog) a rédigé une brillante mise au point sur les différences entre l’activisme en ligne et l’activisme réel, dans un article intitulé “Petit changement : pourquoi la révolution ne sera pas twittée” où il montre les limites des organisations en réseaux comparés aux structures hiérarchiques classiques.

Réseaux contre hiérarchies, liens faibles contre liens forts

Pour accomplir sa démonstration, Malcolm Gladwell nous plonge dans l’histoire politique des Etats-Unis, pour nous aider à mieux comprendre comment, politiquement, les différences de structuration de la contestation induisent des effets qui n’ont rien à voir les uns avec les autres. Démonstration. Le lundi 1er février 1960, vers 16h30, 4 étudiants étaient assis au comptoir du Woolworth, un bar du centre-ville de Greensboro, en Caroline du Nord. 4 étudiants en première année d’un collège noir à proximité.

Ezell Blair a alors demandé à la serveuse une tasse de café. “Nous ne servons pas les Noirs ici”, a répondu celle-ci. Nous sommes loin de Greensboro. Communautés de pratique : un partage des connaissances idéal. La compétitivité d'une enteprise dépend directement de la qualité des connaissances auxquelles ses employés ont accès : être mieux informé que la concurrence est un objectif majeur pour chaque firme.

Communautés de pratique : un partage des connaissances idéal

Ce qui explique le succès des outils de partage des connaissances - ou KM. Pour Etienne Wenger cependant - l'un des gourous du collaboratif -, les managers ont une idée bien trop restrictive du partage des connaissances, qui se cantonne souvent à des bibliothèques statiques, des répertoires de documents écrits. Pourtant, "ce sont les savoirs dynamiques qui font la différence - explique posément E.Wenger dans une article de Systems Thinker. Ce qui requiert la participation de personnes totalement immergées dans le processus de création, raffinement, communication et utilisation des connaissances".