Alternative Santé L'Impatient. L'une des causes des accidents du vaccin hépatite B a été découverte par des chercheurs français.
Ce sont les adjuvants vaccinaux à base d'aluminium. La responsabilité de l'aluminium est reconnue depuis 1999 par l'OMS et l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé. Mais rien n'a été rendu public. Pourquoi ? "J'ai été vaccinée contre l'hépatite B en 1996. C'est aussi la même maladie qui frappe Didier. Traînements. Une nouvelle maladie musculaire… Cette maladie se caractérise par des douleurs musculaires et articulaires diffuses, touchant particulièrement les membres inférieurs, souvent déclenchées ou aggravées par un effort musculaire important (la maladie touche des adultes jeunes et souvent sportifs), devenant progressivement chroniques et invalidantes, accompagnées dans de nombreux cas d'une fatigue persistante et, éventuellement, de fièvre ou d'autres symptômes.
. … provoquée par un dérivé de l'aluminium des vaccins " Le vaccin hépatite B est le plus suspecté "
Breaking News: Gardasil Fingerprints Found in Post-Mortem Samples. By Norma Erickson, President For the first time in history, a biologically plausible mechanism of action has been discovered linking a vaccine to a serious adverse event. Gardasil has left behind its genetic fingerprint in post-mortem central nervous system samples of two girls who took this vaccine. Two teenage girls from opposite ends of the world – both dead before their time have two additional things in common. Les 7 ingrédients les plus répugnants dans la fabrication des vaccins. Les parents ont le droit de comprendre ce qui est injecté dans le corps de leurs enfants.
La production de vaccins fait appel à plusieurs ingrédients répugnants. En outre, les composants utilisés au cours du processus de fabrication peuvent blesser les convictions personnelles, religieuses ou éthiques. Il convient en outre de ne pas oublier le langage coloré utilisé par la communauté scientifique (qui utilise des mots comme « purifié » etc.), comme le coût de certaines de ces substances. En lisant cette liste, il convient aussi de savoir que les lignées cellulaires et les vaccins sont souvent contaminés. La chose est souvent camouflée sous l'expression : « agents adventices ». 1. Sur les notices de vaccins, les cellules de fœtus avortés sont désignées par l'expression : « cellules diploïdes fœtales humaines ». Ces cellules sont utilisées pour cultiver des virus qui sont ensuite récoltés et traités pour produire les vaccins. De quels vaccins s'agit-il ?
2. Comment récolte-t-on le sang ? Adjuvant immunologique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Dans le domaine médical et vétérinaire, un adjuvant[1] immunologique (appelé aussi adjuvant vaccinal, immunoactivateur, immunoadjuvant, immunopotentialisateur, immunostimulant) ou immunomodulateur (ce terme est plus précis que celui d'adjuvant car une même substance peut selon le sujet, les doses, l'antigène et le moment où elle est administrée, provoquer une immunostimulation ou une immunosuppression[2]) est une substance qui - quand elle est administrée (avalée, inhalée, injectée, etc.) conjointement avec un antigène - stimule, active, prolonge, renforce ou module le système immunitaire, bien que cette substance n'ait pas elle-même et en soi de vertu antigénique[3],[4].
Par rapport aux adjuvants stricto-sensu, les immunostimulants ont une action plus générale sur le système immunitaire et peuvent modifier simultanément plusieurs réponses immunologiques[5]. Histoire[modifier | modifier le code] Principe[modifier | modifier le code] Risk of narcolepsy in children and young people receiving AS03 adjuvanted pandemic A/H1N1 2009 influenza vaccine: retrospective analysis.
Abstract Objective To evaluate the risk of narcolepsy in children and adolescents in England targeted for vaccination with ASO3 adjuvanted pandemic A/H1N1 2009 vaccine (Pandemrix) from October 2009.
Design Retrospective analysis. Clinical information and results of sleep tests were extracted from hospital notes between August 2011 and February 2012 and reviewed by an expert panel to confirm the diagnosis. Vaccination and clinical histories were obtained from general practitioners. Setting Sleep centres and paediatric neurology centres in England. Participants Children and young people aged 4-18 with onset of narcolepsy from January 2008. Main outcome measures The odds of vaccination in those with narcolepsy compared with the age matched English population after adjustment for clinical conditions that were indications for vaccination. Results Case notes for 245 children and young people were reviewed; 75 had narcolepsy (56 with cataplexy) and onset after 1 January 2008.
Introduction Methods.