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Architecture

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La ville d’après. Avec Patrick Jouin, Alexandre Chemetoff, Brigitte Giraud… Que vont devenir nos villes ?

La ville d’après. Avec Patrick Jouin, Alexandre Chemetoff, Brigitte Giraud…

«Se sentir chez-soi, c'est pouvoir se créer des espaces d'intimité où l'on se sent à son aise» - tema.archi. Outils indispensable à l’intégration sociale, véritable apparat et prolongement de l’être, l’habitat renvoie au concept d’appropriation par l’homme, d’un lieu qu’il a fait sien, par sa capacité à l’occuper et à l’aménager. « L’appropriation permet la maîtrise de l’espace, autant privé que public » appuie l’architecte et associée de l’atelier Plan sphère Nadège Leroux, « habiter, c’est "être" tous les espaces à la fois afin qu’ils prennent sens ».

«Se sentir chez-soi, c'est pouvoir se créer des espaces d'intimité où l'on se sent à son aise» - tema.archi

Intimité et appropriation Dans l’article Qu'est-ce qu'habiter ? Bien loin de s’arrêter au pas de notre porte, le sens d’habiter désigne tous les usages que nous faisons de notre environnement et évolue à mesure que l’on investit un lieu. « Nous habitons un appartement ou une maison, mais aussi notre rue puis notre quartier à mesure que nous nous créons des repères spacio-temporels, d’activité et de commerces » précise Nadège Leroux.

Une relation homme/demeure. La ville ré-ensauvagée, nouvel horizon de l'urbanisme punk. Tribune.

La ville ré-ensauvagée, nouvel horizon de l'urbanisme punk

Les cartes publiées à partir de la géolocalisation des téléphones portables montrent une armature urbaine française sous le «grand confinement» comparable à celle des régions désindustrialisées de la «ceinture de la rouille» nord-américaine ou du nord de l’Angleterre : un urbanisme en donut, avec des cœurs métropolitains évidés et paupérisés, un périurbain provisoirement densifié et des campagnes surpeuplées, notamment sur la côte Atlantique. « Après le confinement nous devrons reconfigurer aussi bien la ville que nos appartements.

RÉPARER LA VILLE <br /> pour un urbanisme des transitions: <br /> les workshops du Cycle à Lampedusa, Salonique, Buenos Aires et Berlin. Ce livre est un voyage de retour qui a la tâche de composer les expériences amenées par les workshops du Cycle, le Master d'Urbanisme de SciencesPo, et d'inclure ces observations aux pratiques de l'urbanisme en France et en Europe.

RÉPARER LA VILLE <br /> pour un urbanisme des transitions: <br /> les workshops du Cycle à Lampedusa, Salonique, Buenos Aires et Berlin

«Reconstruire la ville par le bas» Il y a sans doute des débats post-corona intéressants.

«Reconstruire la ville par le bas»

A propos de l’ouverture et de la fermeture des frontières et à quelle échelle. Sur le nationalisme autoritaire ou la solidarité internationale renouvelée. Sur les nouvelles règles en matière de voyage, de mobilité et de comportement. Débats Manèges 2013 : Créativité et Environnement - pratiques croisées - IV Plasticité des formes de vie et de création. DÉBATS MANÈGES 2016 - art/architecture : Jonctions & disjonctions - III Zones Blanches et interstices. Cet automne le cycle de débats Manèges invite artistes, architectes et théoriciens à explorer les connexions, les correspondances et les fractures, entre art contemporain et architecture contemporaine.

DÉBATS MANÈGES 2016 - art/architecture : Jonctions & disjonctions - III Zones Blanches et interstices

Art/Architecture : jonctions et disjonctions Cycle de débats "Manèges" 7 et 23 novembre, 7 et 14 décembre 2016 Certains artistes fusionnent leur recherche à la réalisation architecturale, d’autres inscrivent leur lecture critique au sein même de l’espace architectural construit, certains architectes élaborent quant à eux des bâtiments à la frontière du concept ou du geste artistique ; le cycle Art/Architecture : jonctions et disjonctions propose de créer des moments de dialogue entre disciplines et disciples travaillant sur des thématiques proches de leurs champs respectifs ; ou de générations différentes impliqués dans une démarche contraire ou complémentaire.

Mercredi 7 Décembre 2016 • 18h00. DÉBATS MANÈGES 2016 - art/architecture : Jonctions & disjonctions - II L'art dans la formation des Architectes. Débats Manèges 2013 : Créativité et Environnement - pratiques croisées - II le partage du sensible urbain. Débats Manèges 2013 : Créativité et Environnement - pratiques croisées - I Architecture et participation habitante. Les tonalités affectives dans la perception du milieu ambiant en architecture et en urbanisme : Bollnow, Bachelard, Zumthor. Cette communication a été filmée lors du colloque intitulé Saisir le rapport affectif aux lieux qui s'est déroulé du 15 au 22 juin au CCIC de Cerisy sous la direction de Georges-Henri LAFFONT et Denis MARTOUZET.

Les tonalités affectives dans la perception du milieu ambiant en architecture et en urbanisme : Bollnow, Bachelard, Zumthor

Se dirige-t-on vers une fabrique affective des lieux ? Qu'il s’agisse d’architectes, de designers, d’économistes, de géographes, de paysagistes, de sociologues, d’urbanistes, d’artistes ou d’habitants, nombreux sont ceux qui, au niveau conceptuel ou pratique, manifestent un intérêt vis-à-vis du rapport affectif aux lieux. Toutefois, si les discours en ce sens se multiplient, les difficultés rencontrées sont importantes lorsqu’il s’agit de capter, comprendre, mobiliser ou encore susciter les émotions et les sentiments tant — entre aimer et ne pas aimer, témoigner de l’indifférence ou de la détestation — l’éventail est large et les mécanismes complexes.

Résumé de la communication Vous pouvez retrouver les autres communication sur Canal U. Henri Lefebvre – Le droit à la ville. Un film de Jean Louis Bertuccelli, 1974 – ETEROTOPIA FRANCE. Ludger Schwarte : « L'architecture est à la base du politique » 15 octobre 2019 Entretien inédit pour le site de Ballast Des ronds-points trans­formés en assem­blées popu­laires, un centre com­mer­cial occu­pé par des mani­fes­tants éco­lo­gistes : la révolte se sai­sit par­fois de lieux inat­ten­dus.

Ludger Schwarte : « L'architecture est à la base du politique »

Ludger Schwarte, dans sa récente Philosophie de l’ar­chi­tec­ture, tente de sai­sir ce moment pré­cis où les formes archi­tec­tu­rales qui nous entourent per­mettent à la révo­lu­tion de se réa­li­ser. Le res­tau­rant, les bains publics ou le théâtre, affirme-t-il, sont des espaces poli­tiques, et mon­ter sur la table d’un café pour y faire un dis­cours est un acte archi­tec­tu­ral majeur. Si le point de départ n’est pas neuf — les grands chan­tiers poli­tiques s’é­tant tou­jours sai­sis de l’ar­chi­tec­ture pour orga­ni­ser le contrôle ou l’é­man­ci­pa­tion des popu­la­tions —, la thèse l’est davan­tage : il s’a­git de pen­ser une « anar­chi­tec­ture » qui ne pla­ni­fie plus mais invente des espaces ouverts sus­cep­tibles d’ac­cueillir les luttes.