background preloader

Avis critique ou explication sur l'économie

Facebook Twitter

La Résistance s'Organise. ARTICLE DE SYNTHESE. L'innovation sociale pour impacter positivement la société et l'environnement ... et garantir la croissance de l'entreprise face aux enjeux actuels. - Le vide poches du planneur strategique édité par jérémy dumont. Un blog de veille P. Ce qui caractérise l’innovation sociale c’est son impact positif au sens large : des employés aux clients, de l’économie locale à l’environnement.

ARTICLE DE SYNTHESE. L'innovation sociale pour impacter positivement la société et l'environnement ... et garantir la croissance de l'entreprise face aux enjeux actuels. - Le vide poches du planneur strategique édité par jérémy dumont. Un blog de veille P

L’impact social consiste en l’ensemble des conséquences (évolutions, inflexions, changements, ruptures) des activités d’une organisation tant sur ses parties prenantes externes (bénéficiaires, usagers, clients) directes ou indirectes de son territoire et internes (salariés, bénévoles, volontaires), que sur la société en général. L’impact social recouvre les dimensions politiques, sociétales, environnementales et économiques. S’intéresser à l’impact social généré par une organisation, c’est dépasser la dimension uniquement économique de la valeur créée. Toutes fois, il n’y a pas de consensus sur la mesure de l’impact social et environnemental. L’innovation sociale est devenue une nécessité : L'innovation sociale c'est quoi : Avec l'innovation sociale, il n'y a plus d'antagonisme entre objectifs financiers, marketing, sociaux et environnementaux.

(36) Gaël GIRAUD : Tsunami financier, désastre humanitaire ? [EN DIRECT] Étude sur l'impact économique des migrants en Europe : "Les flux migratoires sont une opportunité et non une charge" Pour Ekrame Boubtane, la co-auteure de l'étude sur l’impact positif de la migration sur l’économie européenne, "les flux migratoires ont contribué à améliorer le niveau de vie moyen".

Étude sur l'impact économique des migrants en Europe : "Les flux migratoires sont une opportunité et non une charge"

Selon une étude du CNRS, les migrants ne sont pas une charge économique pour l’Europe. L’augmentation du flux de migrants permanent produit même des effets positifs. C'est ce que démontre Ekrame Boubtane, économiste, maître de conférence à l’Université Clermont Auvergne, co-auteure de l'étude sur l’impact positif de la migration sur l’économie européenne. Cette étude intervient alors que la Hongrie, dirigée par Viktor Orban, met en place une nouvelle loi travail qui autorise les employeurs à demander à leurs salariés 400 heures supplémentaires par an, payées trois ans plus tard.

La civilisation a atteint son seuil de contre-productivité. Arthur Keller est auteur, conférencier et consultant spécialiste des vulnérabilités des sociétés industrielles et des stratégies de résilience.

La civilisation a atteint son seuil de contre-productivité

Trois ans et environ 110 milliards de tonnes de CO2 après l’historique COP21, le monde a assisté à un meurtre en direct et le monde a laissé faire : la COP24 fut le lieu d’un assassinat prémédité des pays les moins développés et des États insulaires par les États-Unis, la Russie, l’Arabie saoudite, le Koweït, le Brésil et quelques autres nations pétrolières. Spectateurs indolents du carnage : une Pologne flasque, une Europe divisée qui s’enferme dans des tournoiements pathétiques autour d’on ne sait quel pot et un Macron champion de l’absence plus que de la Terre. Certes des règles multilatérales d’application de l’accord de Paris ont été entérinées, par contre on était en droit d’espérer des mesures à court terme et de ce côté, c’est la loi du vide qui s’est imposée. . « Aucune sortie par le haut ne viendra d’en haut » Un sursaut. Je n’irai pas manifester pour le prix de l’essence, mais essayons de comprendre et proposons des alternatives.

[Ajout du 7 novembre : ce billet a une suite via ce lien]

Je n’irai pas manifester pour le prix de l’essence, mais essayons de comprendre et proposons des alternatives

La Relève et La Peste. Basée sur six principes, l’économie symbiotique est un nouveau paradigme économique qui assemble activités humaines, croissance des écosystèmes et liens sociaux pour remplir deux objectifs : restaurer les écosystèmes et diminuer les impacts négatifs de la production humaine.

La Relève et La Peste

Cette économie régénérative renverse notre façon de voir notre place dans la Nature. Economie Symbiotique : Un modèle économique régénératif radicalement nouveau qui affirme la possibilité de développer une relation symbiotique (c.a.d de croissance mutuelle) entre des écosystèmes naturels prospères et une activité humaine intense, et ce dans tous les domaines de l’économie. Dix ans de recherche et d’analyse ont permis à Isabelle Delannoy de porter cette nouvelle vision du monde en un concept : l’économie symbiotique.

. « Le mot symbiose signifie « vivre ensemble ». Initiatives decroissantes. Les 1 % les plus riches concentrent 82 % des richesses mondiales. En 2017, les 1 % les plus riches ont capté 82 % de la richesse créée dans le monde.

Les 1 % les plus riches concentrent 82 % des richesses mondiales

Tel est le constat d'Oxfam dans son rapport "Partager la richesse avec celle et ceux qui la créent" (1). Cette étude, opportunément publiée, à l’occasion du Forum économique mondial de Davos, ne pouvait tomber plus en résonance avec le thème de ce grand rendez-vous : "futur partagé dans un monde fracturé". Ces inégalités se creusent de plus en plus rapidement, s’alarme l’ONG. L’an dernier, le nombre de milliardaires a connu sa plus forte hausse de l’histoire avec un nouveau milliardaire tous les deux jours. Ces douze derniers mois, leur richesse a augmenté de 762 milliards de dollars. Les 1% les plus riches au monde, grands gagnants de l’explosion des inégalités.

Une centaine d’économistes de tous pays, réunis au sein de la World Wealth and Income Database (WID.world) vient de publier un rapport sur les inégalités sociales mondiales.

Les 1% les plus riches au monde, grands gagnants de l’explosion des inégalités

Il permet d’étudier la trajectoire de toutes les catégories de revenus et de patrimoine, et notamment celles des plus riches. Ils ont profité deux fois plus de cette croissance que la moitié la plus pauvre de la population mondiale.La moitié de ces 70 millions d’individus vit en Europe et aux Etats-Unis. Ils possèdent 33% du patrimoine dans le monde aujourd’hui.

C’était 28% en 1980. Ils gagnent 20 % des revenus dans le monde aujourd’hui, soit 330 000 euros par an. Le rapport souligne que les inégalités ont progressé partout dans le monde, mais pas au même rythme. Les 1% les plus riches possédaient 23% du patrimoine total des ménages en 2013 contre 16% en 1982. La décroissance, qu'est-ce que c'est ? - Francetv Éducation. Vivre mieux avec moins !

La décroissance, qu'est-ce que c'est ? - Francetv Éducation

Voilà ce que proposent en substance les partisans de la décroissance. Pour eux, la sacro-sainte croissance érigée en dogme absolu par nos sociétés capitalistes est une course sans fin où l'objectif est de produire, vendre et consommer davantage que l'année précédente. Un système voué à l’échec selon eux. Leur critique de la croissance naît d'un constat : une double crise, écologique et économique, secoue notre planète. Ecologique tout d'abord. Quel modèle proposer ? En matière de pollution de l'air, la France adopte des mesures mais les applique peu. Afin de lutter contre la pollution de l'air, Guillaume Sainteny, maître de conférence à l'Ecole polytechnique, préconise une meilleure utilisation de l'outil fiscal.

En matière de pollution de l'air, la France adopte des mesures mais les applique peu

Défenseur de l'idée de péage urbain, il s'oppose à l'a priori selon lequel les mesures environnementales seraient antisociales. Guillaume SaintenyMaître de conférence à l'Ecole polytechnique Actu-Environnement : La fiscalité environnementale française est-elle trop faible et inefficace ? Que penser des positions du pape François sur l’économie ? DÉBAT - Les sévères critiques du pape François envers le système économique mondial, notamment lors de son voyage en Amérique latine, ont suscité de nombreuses réactions et débats dans l’Église.

Que penser des positions du pape François sur l’économie ?

En témoigne ce débat, proposé par La Croix, entre deux personnalités catholiques de sensibilité différente, le jésuite et économiste Gaël Giraud et l’entrepreneur Geoffroy Roux de Bézieux. La Croix : Comment avez-vous reçu l’encyclique Laudato Si et le discours du pape François sur l’économie à Santa Cruz, en Bolivie ? Geoffroy Roux de Bézieux : Je réagis à la fois comme vice-président délégué du Medef, entrepreneur et chrétien.

Champion, le lobby bancaire, pour torpiller la taxe sur les transactions financières. La taxe sur les transactions financières, la TTF, verra-t-elle le jour en Europe ? Ce prélèvement minime, par lequel l’économiste états-unien James Tobin voulait introduire un « grain de sable » dans les rouages trop bien huilés de la spéculation financière, ne relève plus de l’utopie. La crise de 2008-2009 avait donné une nouvelle vigueur à cette idée, qui était alors passée des cercles militants altermondialistes à l’ordre du jour du G20 Finances à St Andrews, en Ecosse, en novembre 2009. Les chefs d’État et de gouvernement s’en étaient ensuite emparés au G20 de Cannes en novembre 2011.

10 millions de dollars par minute : le montant des subventions aux énergies fossiles dans le monde. 10 millions de dollars par minute. C’est la somme consacrée par les Etats du monde entier à soutenir les entreprises extractrices d’énergies fossiles (charbon, pétrole et gaz). Le chiffre est astronomique : chaque année, cela revient à 5 300 milliards de dollars (4 740 milliards d’euros). C’est plus que le total des dépenses liées à la santé dans le monde. L’estimation vient du Fonds monétaire international (FMI) qui a publié une étude sur le sujet en mai dernier. Quand le FMI et l’OCDE découvrent que les inégalités sont un frein à la croissance.

Le FMI et l’OCDE ont publié en Juin 2015 deux études sur les inégalités individuelles de revenus[1]. Ces deux études portent sur la période qui va du début des années 1980 à 2010. Celle de l’OCDE concerne les 31 pays qui appartiennent à cette organisation (pour l’essentiel les pays les plus développés du monde), celle du FMI une centaine de pays : les mêmes que précédemment, mais aussi les pays émergents, et certains des pays les moins développés du monde. Les deux études confirment, après beaucoup d’autres[2], que les inégalités de revenus après impôts et après transferts sociaux (allocations chômage, familiales, prestations de santé, retraites financées sur fonds publics) ont fortement augmenté, y compris au début des années 2000, et au cours des premières années de la crise (2008-2010). Pap’40, un artiste en croisade contre la Sainte Consommation. Détail d'une affiche de campagne de l'Église de la Très Sainte Consommation Appréhender la rue comme un espace d’expression artistique et politique ?

C’est le pari d’Alessandro Di Giuseppe, alias Pap’40. Membre de l’Église de la Très Sainte Consommation, ce pontife de la décroissance mise sur le rire pour rendre la société plus humaine. Low tech : comment entrer dans l’ère de la sobriété énergétique pour vivre sans polluer. "Préparer l'entrée dans une ère post-croissance choisie plutôt que subie" Face à une croissance actuelle quasi nulle, reste désormais à "affiner les scénarios d'entrée dans une ère post-croissance choisie plutôt que subie".

L'illusion financière. Voici un livre original sur la crise financière puis économique qui secoue le monde occidental depuis cinq ans. L’économie malade de ses modèles. L’économiste Gaël Giraud, coordinateur de la traduction de l’ouvrage «L’Imposture économique», suggère une remise en cause radicale des fondements scientifiques et mathématiques de l’économie «orthodoxe». Il nous explique pourquoi. Capitalisme absolu, conscience et dissidence - Réflexions sur le Grand marché transatlantique (TAFTA) - attac-Rhône.

Dans ce court essai stimulant (disponible en pdf en bas de page), Ingmar Granstedt, auteur de « L’impasse industrielle » en 1980, analyse le système politico-économique actuel, en s’appuyant sur son évolution depuis le grand virage ultra-libéral des années 80. Dans cet espace en construction, les États-providence seraient arasés, législations et réglementations réduites au minimum et alignées au plus bas, pour donner le maximum de flexibilité, de fluidité, voire d’instantanéité aux investissements, aux affaires, aux mouvements commerciaux. Science et climat : sans une mutation de la finance, pas de solution. La crise financière ? Emplois « écolo » : +1 à + 1,5 million d’ici 2030 ?

« La "croissance verte" est une mystification absolue » « La dette publique est une blague ! La vraie dette est celle du capital naturel » Reporterre - Quelle idée principale inspire votre livre, Le Capital du XXIe siècle ? A qui profite la dette ? 12 pistes pour doper les monnaies locales complémentaires. Economie sociale et solidaire 10/04/2015par Martine Kis. Et l’intégrisme économique, on le combat ? Cash Investigation de France 2 en replay. Economistes atterrés : la transition écologique au cœur de leur nouveau manifeste.

Les 1% les plus riches toujours plus riches. Pour réduire le chômage, il faut relancer les 35 heures. Cash Investigation : Les secrets inavouables de nos téléphones portables (04-11-2014) Un autre budget est possible. EDITO - Enquête sur la terreur capitaliste. Les plumés de l’austérité se rebiffent ! Episode : Serge Moscovici raconté par Yves Frémion / Histoire de la révolution écologiste - L'écologie, les Verts, les podcast.

CHRONIQUE - Comme si la guerre était déclarée aux utopies. Les partis politiques ont-ils un problème avec la croissance. Jean Ziegler choisit son camp : « Retournez les fusils ! Entretien avec Marie-Monique Robin - Sacrée croissance. La Cnil s’attaque au cookie : trop tard, pour Google et Facebook, il est mort. Moins de croissance, c’est plus d’emploi. « Toujours plus vite » : ces dissidents pour qui il est urgent de ralentir. Thomas Coutrot : « 59% de la dette publique est illégitime » Que faire de la dette ? Un audit de la dette publique de la France. Comment trouver 50 milliards sans casser les protections sociales ni taxer les classes moyennes : notre plan alternatif. <strong> L’Europe c’est nous, Questions à Edouard Gaudot et Benjamin Joyeux</strong>

Un plan B pour Hollande. La violence des riches. Les limites à la croissance. Davos se soucie des inégalités de revenus et du climat - Gouvernance. Un Nobel d'économie flingue le virage «scandaleux» de Hollande. La crise de la dette : explication simple et détaillée. Perspectives de l'environnement de l'OCDE à l'horizon 2050 : Les conséquences de l'inaction. En finir avec les inégalités extrêmes : Confiscation politique et inégalités économiques - rapport_oxfam_ingalites_extremes.pdf.