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La Résistance s'Organise

La Résistance s'Organise

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Faire face à "L‘Effondrement" avec Les Parasites La web-série L'Effondrement est à découvrir ici ou sur youtube, le court-métrage Jeu de Société est visible en cliquant là. Le collectif de réalisateurs et de comédiens Les Parasites, composé de Bastien Ughetto, Guillaume Desjardins et Jérémie Bernard, est à l’origine de l’excellente série L’Effondrement, disponible sur Canal . Cette épopée apocalyptique et haletante, sortie fin 2019, condense tout le talent de cette équipe de jeunes cinéastes. Mais bien avant cette consécration, Les Parasites ont réalisé des dizaines de courts-métrages, notamment Jeu de Société, une petite pépite disponible gratuitement sur YouTube, qui comptabilise près de 4 millions de vues !

Nous ne renoncerons à rien Devant la catastrophe écologique, de plus en plus d’écologistes de salon appellent à renoncer : renoncer à prendre l’avion, renoncer à la viande, renoncer aux douches longues, etc. Pour Désobéissance Ecolo Paris, cette écologie du renoncement, très à la mode, ressemble un peu trop à de la résignation. Au fond, on ne renonce qu’à ce qu’on aime ; mais aime-t-on vraiment ce monde et le « mode de vie » qu’il nous impose, auquel on nous enjoint si vivement de renoncer ? Ne faudrait-il pas plutôt le renverser et le transformer ?

Revoir les étoiles, naissance d'une revendication, par Razmig Keucheyan (Le Monde diplomatique, août 2019) Il ne figure pas dans la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789, ni dans la Déclaration universelle des droits de l’homme de 1948. Et pourtant, le droit à l’obscurité pourrait devenir un nouveau droit humain. L’obscurité, un droit ? La pollution lumineuse compte au nombre des fléaux de l’époque. Elle désigne l’omniprésence grandissante dans nos vies de la lumière artificielle, qui induit en retour la disparition de l’obscurité et de la nuit. Comme les particules fines, les déchets toxiques et les perturbateurs endocriniens, la lumière, passé un certain seuil, devient une pollution. La fin du monde n’aura pas lieu, par Jean-Baptiste Malet (Le Monde diplomatique, août 2019) Dérèglement climatique, extractivisme effréné, déforestation, érosion de la biodiversité, multiplication des catastrophes environnementales… L’accumulation de ces faits chaque jour mieux documentés par les scientifiques a fait émerger dans le débat public une préoccupation brûlante : sous l’effet de certaines activités humaines, des bouleversements imminents ou en cours conduisent à l’effondrement de la civilisation. Certains partisans de cette thèse conçoivent la peur de l’apocalypse comme un catalyseur pour l’action ; d’autres prennent acte de l’indolence du personnel politique et pensent l’après-catastrophe. « Le succès inattendu des théories de l’effondrement » (Le Monde, 5 février 2019) ; « Effondrement, le début de la fin » (Libération, 8 novembre 2018) ; « Collapsologie : le pari de l’effondrement » (France Culture, 16 mars 2019) ; « Yves Cochet : “L’humanité pourrait avoir disparu en 2050” » (Le Parisien, 7 juin 2019) ; « Collapsologie : la fin du monde, une opportunité ?

Rebel sans frontières ! Comme vous le savez, en octobre, le mouvement mondial Extinction Rebellion mènera une rébellion internationale. De nombreuses villes dans le monde seront le théâtre de mobilisations d’ampleur en faveur du monde vivant. En avril dernier à Londres, des milliers de personnes s’étaient réunies et avaient occupé l’espace public durant une dizaine de jours, mettant la destruction du monde vivant au coeur du débat public.

Ce rapport alerte sur la "forte probabilité que la civilisation humaine touche à sa fin" dès 2050 Encore plus tôt que prévu : à partir de 2050, il existerait une “forte probabilité que la civilisation humaine prenne fin”. C’est en tout cas ce qu’avance l’analyse conjointe d’un ancien responsable des énergies fossiles et d’un ancien dirigeant de l’industrie du pétrole, du gaz et du charbon australien. Plusieurs causes viendraient corroborer leur thèse d’un scénario extrêmement préoccupant. Explications. Les changements climatiques en cause L’analyse alarmante a été publiée par le Breakthrough National Centre for Climate Restoration, un groupe de chercheurs basés à Melbourne en Australie.

Liberticide, l’écologie ? le vrai débat est ailleurs Ce texte est issu du travail de l’Atelier toulousain d’écologie politique, qui réunit des chercheur.es de toutes disciplines réfléchissant à la situation écologique actuelle. Il a été écrit par Guillaume Carbou, avec les contributions de Frédéric Boone, Julian Carrey, Andreas Eriksson, Florian Simatos et Marie-Anne Verdier. Les adversaires de l’écologie déplorent la dictature des « Khmers verts » ou des « ayatollahs écolos ». Dans le grand public, bien des gens se plaignent des différentes normes « écologiques » qui ne cessent de contraindre leurs activités, même quotidiennes. La question semble donc légitime : l’écologie, en tant que projet politique, implique-t-elle de réduire les libertés individuelles ? Une telle question est pourtant fondamentalement mal posée pour au moins deux raisons.

En Alaska, les glaciers fondent 100 fois plus vite que prévu S'il y a trop de glace devant le glacier, alors « le bateau ne peut pas se frayer un chemin, » explique Rignot. Parfois, le bateau était contraint de s'éloigner du front glaciaire pendant que les scientifiques croisaient les doigts pour que l'équipement ne soit pas trop maltraité ou finisse par tomber à l'eau. Parallèlement, une équipe de glaciologues était postée sur une crête surplombant le glacier. Elle surveillait un instrument radar fragile destiné à mesurer le mouvement naturel du glacier. Des caméras time-lapse étaient utilisées pour mesurer le flux du glacier et la vitesse d'avancement de la glace sur l'océan, détaille Jason Amundson, glaciologue et coauteur de l'étude rattaché à l'université de l'Alaska du Sud-Est. La glace de glacier accélère à mesure qu'elle approche du front glaciaire où elle tombe dans l'océan, explique Moon.

(20+) Effondrement : l’humanité rongée par la fin C’est le pape François qui exhorte les Etats à agir pour lutter contre le changement climatique «parce que notre survie et notre bien-être dépendent de cela». Ou bien le secrétaire général des Nations unies, António Guterres, qui pose en costard, de l’eau jusqu’aux cuisses, en une du magazine Time fin juin, appelant à sauver le monde «face à une menace existentielle directe». Et en France, c’est Edouard Philippe qui cite comme l’un de ses livres de chevet Effondrement : comment les sociétés décident de leur disparition ou de leur survie (1) de l’Américain Jared Diamond, l’un des principaux penseurs actuels de l’effondrement écologique. Depuis quelques mois, les théories de l’effondrement enflamment le débat public (lire Libé du 8 novembre ), ravivées aujourd’hui par les deux épisodes caniculaires que nous venons de vivre et l’accélération de l’épuisement des ressources de la planète. «Préparer le déclin»

Petit guide pour plus d'autonomie, de créativité, d'efficacité, de radicalité et de solidarité dans la lutte Cliquez pour télécharger le petit guide Version feuille A4 noir et blanc Version affiche A2 Version A4 couleur Version anglaise noir et blanc Version anglaise couleur Le Petit Guide pour plus d'autonomie, de créativité, d'efficacité, de radicalité et de solidarité dans la lutte comprend deux feuilles: La première constate l'existence de mécanismes dont il faut se méfier car ils cadrent nos réflexions et nous poussent à reproduire les mêmes stratégies et méthodes : ensemble, ils forment un logiciel militant. Arrêtons-nous, prenons le temps et faisons un pas de côté pour dépasser et/ou de déconstruire notre cadre !

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