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Music-api-logos.png (Image PNG, 4000x2250 pixels) - Redimensionnée (26%) 7 enseignements pratiques tirés du eye-tracking : les internautes vont-ils sous la ligne de flottaison ? Un des mystères les plus épais du web a été résolu depuis bien longtemps, mais le eye-tracking a permis de mieux comprendre le fonctionnement des internautes lorsqu’il s’agit de plonger profondément dans la page et de s’enfoncer sous la ligne de flottaison.

7 enseignements pratiques tirés du eye-tracking : les internautes vont-ils sous la ligne de flottaison ?

Pour rappel, la ligne de flottaison, c’est cette ligne de démarcation qui sépare ce qui est visible immédiatement à l’affichage d’une page web de ce qui n’est visible que lorsqu’on déroule la page à l’aide de sa molette de souris ou de la scrollbar (barre d’ascenseur). Sous la ligne de flottaison, pensait-on, point de salut, les internautes n’y vont pas. Ce n’est pas que faux, mais pas que vrai, non plus La réalité, c’est que les internautes plongent dessous s’ils en ressentent le besoin. Autrement dit, s’ils pensent qu’ils vont pouvoir trouver de l’information qui les intéresse au delà de la zone visible de la page. Schéma du temps d'attention par tranche de page en hauteur. Où les utilisateurs regardent-ils en premier ? Bon, ne vous attendez pas à une grande surprise, si l’on en croit la dernière AlertBox de Mr Nielsen, c’est bien, et sans aucun étonnement, la partie gauche des pages webs qui reçoit le plus d’attention de la part des utilisateurs.

Où les utilisateurs regardent-ils en premier ?

Ainsi, d’après une étude de eye-tracking effectuée récemment, apprend-t-on que celle-ci reçoit 69% du temps d’attention contre 30% environ pour la droite, le reste allant à ce qui « dépasse » lorsque l’on a un scrolling horizontal (ce qui est très mal d’après Jacob Nielsen, mais que l’on rencontre pourtant parfois sur les sites de luxe qui affectionnent les formats horizontaux. cf Gucci.com).

Quid des grands écrans ? Toujours d’après Nielsen, pour des écrans allant au delà des traditionnels 1024×768, le schéma ne change pas beaucoup, mais est seulement étiré vers la droite. Par ailleurs, la concentration du regard n’est pas homogène dans la partie gauche de la page. Par conséquent, quels enseignements peut-on en tirer ? Des soldes en ligne ATAWAD* et masculines selon la Fevad et l’institut CSA.

jQuery Mobile. Un dossier spécial sur le consommateur-shopper et l’expérience d’achat en point de vente. La combinatoire de parcours d’achat web, mobile, point de vente, réseaux sociaux oblige à se concentrer sur le bénéfice à savoir la satisfaction By Fullsix. Questions pour Jérôme Toucheboeuf, CEO de FullSIX Retail Comment les marques doivent-elles orchestrer leur processus de digitalisation de leurs réseaux de distribution pour augmenter leur attractivité ?

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Le Digital a profondément changé la façon dont les consommateurs choisissent et achètent, mais aussi les moyens à disposition des distributeurs pour faire du marketing et de la communication. Il faut raisonner de façon globale et décloisonner le e commerce et le magasin. Il ne faut plus opposer l’un à l’autre comme cela a été fait ces 10 dernières années. Il faut penser commerce dans son ensemble quelque soient les canaux d’interaction et d’achat. 86% des internautes consultent un site Web avant d'acheter, demain ce sera sur mobile, comment les marques peuvent-ils s’y préparer ? Ce chiffre illustre bien 2 phénomènes. Comment les marques avec le mobile peuvent anticiper le parcours d'achat du consommateur ? Il n’y a plus un seul mais de multiple parcours client. Shiseido. Supermarché virtuel dans le métro. Le nombre de sites de m-commerce va doubler cette année. Le nombre sites mobiles transactionnels en France va croître de 100%, selon une étude CCM Benchmark.

Le nombre de sites de m-commerce va doubler cette année

Les marchands misent sur le mobile. Selon une étude réalisée par CCM Benchmark (éditeur du Journal du Net), le nombre de sites et applications mobiles transactionnels devrait doubler en 2011. Plus d'un marchand sur cinq (22 %) prévoit en effet de lancer un tel service dès cette année. Ils sont aussi nombreux à déclarer proposer déjà d'un site transactionnel conçu pour le mobile. En 2009, ils n'étaient que 12 %. L'intérêt des distributeurs pour le m-commerce est plus important que pour les sites et applications mobiles "vitrines". 17 % prévoient en effet de se doter d'une telle application. 6 % veulent lancer une application non transactionnelle orientée services, proposant notamment le suivi de commande ou le service après-vente.