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Corée Sud

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Attaque des talibans contre une école de Peshawar. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Frédéric Bobin (New Delhi, correspondant régional) Un commando rebelle taliban a attaqué, mardi 16 décembre au matin, une école de Peshawar, principale ville du nord-ouest du Pakistan, faisant plus de 130 morts dans l’établissement, selon les derniers bilans rendus publics par les médias pakistanais. « Beaucoup d’élèves et de professeurs ont été évacués », a annoncé un responsable militaire local, sans préciser combien étaient encore prisonniers des combats.

Attaque des talibans contre une école de Peshawar

L’école scolarise plusieurs centaines d’enfants de militaires âgés de 10 à 18 ans. Suivez l’évolution de la situation en direct Selon les premiers récits, six rebelles talibans habillés en militaires, portant des vestes munies de ceintures d’explosifs et lourdement armés, seraient entrés dans l’école par un cimetière voisin, tirant au hasard sur les écoliers. L’armée est intervenue sur place une demi-heure après le début de l’attaque, et des échanges de tirs se poursuivaient à la mi-journée. Le dossier des Japonais enlevés il y a 40 ans par la Corée du Nord rouvert. C'est un dossier vieux de plus de trente ans : celui des enlèvements, dans les années 70 et 80 de plusieurs Japonais afin de former des espions nord-coréens aux us et coutumes japonais, leur permettant alors de mieux s'infiltrer et de mettre en place des réseaux performants.

Le dossier des Japonais enlevés il y a 40 ans par la Corée du Nord rouvert

Lire notre enquête (édition abonnés) : Les fantômes de Pyongyang. Le Japon va lever certaines sanctions contre la Corée du Nord. Le Japon va lever une partie des sanctions unilatérales contre la Corée du Nord. « Nous allons lever une partie des mesures prises par le Japon » contre le régime de Pyongyang en représailles aux enlèvements de plusieurs ressortissants japonais durant la guerre froide, a indiqué le premier ministre, Shinzo Abe.

Le Japon va lever certaines sanctions contre la Corée du Nord

Cette décision fait suite à une récente réunion bilatérale après que, fin mai, la Corée du Nord a accepté de rouvrir ce dossier en échange de la promesse d'une levée de certaines sanctions par Tokyo. M. Abe n'a pas précisé quelles sanctions étaient concernées mais, selon certains médias japonais, il serait question de lever des restrictions sur les voyages des Nord-Coréens au Japon. Les navires enregistrés en Corée du Nord ne se verraient également plus interdits d'entrer dans les ports japonais en cas de force majeure, croit également savoir la presse nippone. Les capacités balistiques de la Corée du Nord. La Corée du Nord tire une centaine d'obus en 30 minutes. La Corée du Nord a tiré une centaine d'obus en mer lundi 14 juillet, lors de manœuvres à tirs réels près de la frontière maritime entre les deux Corées, des exercices militaires qui font suite à plusieurs tests de missiles.

La Corée du Nord tire une centaine d'obus en 30 minutes

Les tirs ont duré une trentaine de minutes, et une centaine d'obus ont été lancés, avec une portée de quelque 50 kilomètres. Ils sont tous tombés au nord de la frontière intercoréenne. Les manœuvres ont été conduites par des unités de soldats situées sur la pointe orientale de la zone démilitarisée – qui en dépit de son nom est l'une des bandes de terrain les plus lourdement armées au monde – entre les deux pays, a déclaré le chef d'état-major sud-coréen. Les forces sud-coréennes sont en alerte depuis une série de tirs d'essais de missiles à courte portée conduits par le Nord ces dernières semaines. La Corée du Nord conduit souvent des tirs de missile ou des exercices militaires pour souligner son mécontentement. Pyongyang propose à Séoul de mettre fin aux hostilités. Le Monde.fr | | Par Philippe Pons (Tokyo, correspondant) et Philippe Mesmer (Tokyo, correspondants) A la veille de la visite du président chinois, Xi Jinping, à Séoul, jeudi 3 juillet, la République populaire démocratique de Corée (RPDC) a proposé l'arrêt des actes d'hostilité entre les deux Corées dès la fin de cette semaine.

Pyongyang propose à Séoul de mettre fin aux hostilités

Dans un communiqué diffusé lundi par l'agence officielle KCNA, la Commission nationale de défense, la plus haute instance du pays présidée par Kim Jong-un, s'est déclarée prête à cesser toutes provocations verbales et actions militaires dans la zone maritime qui prolonge la ligne de démarcation entre les deux pays en mer Jaune. La Corée du Nord tire trois missiles au moment de l'arrivée du pape à Séoul. Le pape François va découvrir une Corée du Sud en plein doute. Lorsqu'en 1984, le pape Jean Paul II se rendit en Corée du Sud, le pays était muselé et meurtri par une dictature.

Le pape François va découvrir une Corée du Sud en plein doute

Quatre ans auparavant, le général-président Chun Doo-hwan avait recouru aux unités d'élite de l'armée pour mater dans le sang une émeute à Kwangju, dans le sud-ouest du pays, causant la mort de centaines de civils. Trente ans plus tard, le pape François arrive jeudi 14 août pour une visite de cinq jours dans une démocratie, mais dans un pays également meurtri : le naufrage, le 16 avril, du ferry Sewol, qui a fait près de 300 morts, pour la plupart des enfants, a affecté profondément le pays.

Cinq mois après, la Corée du Sud reste sous le choc. Les Coréens ont assisté à la catastrophe en direct à la télévision. De leurs mobiles, les enfants prisonniers du ferry couché sur le flanc qui flottait encore envoyaient à leurs parents des messages, photos et vidéos, amusés, affolés puis désespérés.