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Rasoir d'Ockham

Rasoir d'Ockham
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le rasoir d'Ockham ou rasoir d'Occam est un principe de raisonnement philosophique entrant dans les concepts de rationalisme et de nominalisme. Son nom vient du philosophe franciscain Guillaume d'Ockham (XIVe siècle), bien qu'il fût connu avant lui. On le trouve également appelé principe de simplicité, principe d'économie ou principe de parcimonie (en latin lex parsimoniae). Il peut se formuler comme suit : Pluralitas non est ponenda sine necessitate« Les multiples ne doivent pas être utilisés sans nécessité. » L'énoncé Entia non sunt multiplicanda praeter necessitatem, littéralement « Les entités ne doivent pas être multipliées par delà ce qui est nécessaire », est une variante souvent attribuée à Guillaume d'Ockham sans cependant qu'il y en ait trace dans ses écrits. Une formulation plus moderne est que « les hypothèses suffisantes les plus simples sont les plus vraisemblables ». Historique[modifier | modifier le code]

http://fr.wikipedia.org/wiki/Rasoir_d%27Ockham

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Théorie de la pertinence Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La théorie de la pertinence a été introduite par l'une des maximes gricéennes, selon laquelle il y aurait à l'œuvre un principe d'économie dans le langage, visant à ne dire que ce qui est pertinent. Le philosophe Paul Grice est connu pour sa distinction entre deux formes de communication : le sens naturel et le sens non-naturel. Un signe signifie de lui même lorsque sa seule production a du sens (comme le rougissement définit la honte), et de façon non-naturelle lorsque le sens de celui-ci est le résultat d'une convention. Également, il est un des premiers à développer la théorie inférentielle, qui définit la communication comme régulée par le principe d'inférence : un signe signifie lorsque, combiné avec le contexte, un interlocuteur peut déduire/inférer le sens de ce dernier.

« Dans un couple, il est extrêmement important de laisser l’autre respirer » Pierre Zaoui, né en 1968, enseigne la philosophie à l’université Paris-VII-Denis-Diderot. Auteur de La Traversée des catastrophes. Philosophie pour le meilleur et pour le pire (Seuil, 2010), il a publié en juillet « Théorie du couple » dans la Revue du crieur (160 pages, 15 €), analyse philosophique de la relation à deux qu’il prolonge dans un entretien au Monde. Pourquoi l’homme est-il, selon vous, « cet animal qui vit en couple et ne rêve que d’y échapper » ? Je ne parle évidemment que de l’homme et de la femme modernes. Car, pendant très longtemps, l’homme fut un animal d’un tout autre type – et il l’est encore dans maintes régions du monde, même en France : un animal qui vit en clan ou en famille, un animal politique qui vit dans une cité, voire un animal solitaire dans les périodes de haute spiritualité.

Allégorie de la grenouille Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'allégorie de la grenouille se fonde sur une observation concernant le comportement d'une grenouille placée dans un récipient d'eau chauffée progressivement pour illustrer le phénomène d'accoutumance conduisant à ne pas réagir à une situation grave. Comportement de la grenouille[modifier | modifier le code] Cette thèse se fonde sur l'idée que si l'on plongeait subitement une grenouille dans de l'eau chaude, elle s'échapperait d'un bond. Alors que si on la plongeait dans l'eau froide et qu'on portait très progressivement l'eau à ébullition, la grenouille s'engourdirait ou s'habituerait à la température et finirait ébouillantée.

Vérité Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La vérité (du latin veritas, « vérité », dérivé de verus, « vrai »)[1] est la qualité de ce qui est vrai. C’est l’adéquation de l’idée, la pensée, avec son objet, adéquation de ce que l’on dit ou pense avec ce qui est réel. On distingue vérité et sincérité, cette dernière n’étant que la volonté de dire ce que l’on croit être vrai[2].

Zététique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour la définition de la zététique comme partie des mathématiques, voir Algèbre nouvelle. La zététique est définie comme « l'art du doute » par Henri Broch[1]. La zététique est présentée comme « l'étude rationnelle des phénomènes présentés comme paranormaux, des pseudosciences et des thérapies étranges ». La zététique est destinée aux théories scientifiquement réfutables, c'est-à-dire respectant le critère de discrimination de Popper (1902-1994). Holisme Holisme (du grec ancien ὅλος / hólos signifiant « entier ») est un néologisme forgé en 1926 par l'homme d'État sud-africain Jan Christiaan Smuts pour son ouvrage Holism and Evolution[1]. Selon son auteur, l'holisme est : « la tendance dans la nature à constituer des ensembles qui sont supérieurs à la somme de leurs parties, au travers de l'évolution créatrice[1]. » L'holisme se définit donc globalement par la pensée qui tend à expliquer un phénomène comme étant un ensemble indivisible, la simple somme de ses parties ne suffisant pas à le définir. De ce fait, la pensée holiste se trouve en opposition à la pensée réductionniste qui tend à expliquer un phénomène en le divisant en parties. Différentes acceptions[modifier | modifier le code]

Euthymie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'euthymie (du grec eu, bien, heureux et thymia, l'âme, le cœur) constitue le concept central des pensées morales de Démocrite qui la présente comme une disposition idéale de l'humeur correspondant à une forme d'équanimité, d'affectivité calme et de constance relative des états d'âme. Démocrite (-460..-370) préconise l'euthymie comme règle de vie, comme idéal de constance sereine, de santé psychique.

Portail:Linguistique En linguistique, ce type de distinction de politesse est appelée plus généralement distinction T-V, d'après les initiales des pronoms personnels impliqués dans plusieurs langues romanes ou slaves : en effet, dans ces langues la personne du tutoiement débute par un t, et celle du vouvoiement par un v (tu, tu, tu, ti ~ você, vous, voi, vi en portugais, français, ancien italien et slovène). Lire la suite Autres articles sélectionnés

Logique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Gregor Reisch« La logique présente ses thèmes centraux », Margarita Philosophica, 1503/08 (?). Les deux chiens veritas et falsitas courent derrière le lièvre problema, la logique se presse armée de son épée syllogismus.

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