background preloader

Il était une fois le cinéma - La passion du cinema

Il était une fois le cinéma - La passion du cinema

http://www.iletaitunefoislecinema.com/

Related:  CinémacinemaCritique

analyses de films, analyse de films Voyages, 1999 Space Odyssey (A), 1968 In the Mood for Love, 2000 Elephant, 2003 L'économie du cinéma français entrave la diversité de la création Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Quentin Jagorel, Paul Grunelius et Gilles Verdiani L'économie du cinéma français est aujourd'hui traversée par un paradoxe. Conçue pour défendre l'exception culturelle, donc la diversité de la création, en sortant notamment l'industrie du cinéma des logiques classiques du marché, elle entrave pourtant l'émergence de formes innovantes de création cinématographique.

Histoire du cinéma 1 Rouleaux narratifs Le principe du « rouleau narratif », grand dessin panoramique déroulant sur papier ou sur soie, fut largement utilisé en Chine et au Japon à partir du Xe siècle par des conteurs comme support narratif. Ces grands dessins cinétiques, servaient à planter le décor, à suivre la progression de l'intrigue et permettait aux spectateurs de voir les déplacements du héros dans les dédales des palais ou des villes… Il pouvait bien sûr y avoir un rouleau pour chaque « plan séquence » du récit, et être accompagné ou non par des musiciens. Théâtre d'ombres Le théâtre d’ombres, quant à lui, est un art très ancien représenté dans tous les pays du monde. 2001 Odyssée de l'espace : 17 minutes inédites Alors que le prix Arthur C. Clarke a récemment envoyé un appel massif à ses fans, pour aider les organisateurs à le moderniser, l'une des grandes oeuvres du romancier revient sur le devant de la scène. 2001 : l'Odyssée de l'espace est un bouquin assez insolite et particulièrement contemporain dans sa rédaction. Contemporain, parce que la novellisation d'un film est aujourd'hui monnaie courante - on a pu encore le vérifier avec le film de Besson, Adèle Blanc Sec, dont la novellisation fut confiée à Benjamin Legrand (publié chez Casterman en mars puis chez Magnard en septembre). Or, 2001, donc, c'est avant tout un film, qui s'inspire que plusieurs nouvelles écrites par Arthur C. Clarke, et dans lesquelles Stanley Kubrick a puisé pour réaliser son chef-d'oeuvre, qui sortit en 1968.

Histoire du cinéma 2 Le cinéma n'est pas capable, en lui même, de reproduire un mouvement continu Une des observation qui participa à la création du cinéma, est cette particularité physiologique de l'œil humain connue sous le terme de « persistance rétinienne ». Lorsque nous regardons un objet, son image se forme sur la rétine, « surface sensible » à la lumière qui tapisse le fond de l'œil. L'image ainsi captée par la rétine met une fraction de seconde à disparaître. De nombreux instruments furent construit sur ce principe, du simple thaumatrope (2 images tournant autour d'un axe) au praxinoscope à miroirs d'Émile Reynaud. En 1831, le Belge Joseph Plateau, commercialisera avec un certain succès, un « jouet optique » le phénakistoscope :

L'Expérience-cinéma Metropolis : l'invention du décor Pour retrouver les collections relatives au film L'Expérience-cinéma Metropolis : l'invention du décor, vous pouvez consulter Ciné-ressources, le premier catalogue collectif des bibliothèques et archives de cinéma. Constitué d'un moteur de recherche permettant au public de prendre connaissance des collections non film conservées par la Cinémathèque française et les institutions partenaires, le catalogue indique la localisation de chaque élément conservé. Il est possible de rechercher des documents simultanément à travers toutes les collections, à partir d'un titre de film ou d'un nom de personne physique ou morale.

« Parasite » : Analyse du film de Bong Joon-ho « Parasite », un film de Bong Joon-ho (2019) « Le monstrueux s’est installé à la place du divin. C’est la raison pour laquelle la forme valide de l’anthropodicée ne peut plus être une forme anthropo-théologique, mais uniquement une forme monstrueuse. »(Peter Sloterdijk, L’Heure du crime et le temps de l’œuvre d’art, éd. Calmann-Lévy, 2000, p. 164) « Il s’agit alors de comprendre comment le monstre vit, se modifie et se singularise – en même temps comme consistance et comme résistance.»(Toni Negri, « Le monstre politique. Woody Allen : “La vie n'a aucun sens” On a bavardé avec Woody dans son hôtel parisien. Courtois, prolixe, manifestement content de discuter, le cinéaste-acteur n’en a pas moins de sombres obsessions qui ne s’arrangent pas avec l’âge. Il était midi à Paris, minuit dans la tête de Woody, cet angoissé affable, ce dépressif vivace, cet irréductible athée. Dans Magic in the Moonlight, vous opposez la croyance et le scepticisme. On a l’impression que vous vous reconnaissez dans les deux personnages, la médium (Emma Stone) et le rationnel (Colin Firth). Où vous situez-vous ?

«Je suis nostalgique de l'esthétique cinématographique des années 50-60» Le concept de Peter Stults : faire voyager dans le temps par l’image. Depuis 2012, l’artiste américain recrée les affiches de films célèbres (V for Vendetta, Superman, le Cinquième Elément, etc.) dans le style de la première partie du XXe siècle. Long travail de recherche et de réflexion qui fait naître un nouveau monde où les époques se confondent et où les personnalités se retrouvent. James Dean en James Franco dans Springbreakers, Clint Eastwood ou Al Pacino en Hugh Jackman dans Wolverine ou encore Sean Connery en Daniel Craig dans Skyfall… L’enjeu est double : captiver l’attention du spectateur en restant cohérent sur le plan esthétique et sur le casting de l’affiche. Pour Libération, Peter Stults revient sur son singulier projet. D’où vient cette idée de transposer ces affiches de films récents au style cinématographique du XXe siècle ?

Ce webzine français, fondé par Jean-Michel Deroussen en 2004 et géré par l'association du même nom, se présente comme un « magazine en ligne d'opinions et de réflexion » sur le cinéma. Il propose des critiques de films et de DVDs, plus de 900 fiches sur les films (par ordre alphabétique ou « les incontournables » par période) mais aussi des chroniques et des textes réflexifs, très construits et d'un haut niveau, appelés « mémoires » ou « chroniques ». by redingote Nov 29

Related: