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Bande dessinée

Bande dessinée
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La bande dessinée (communément abrégée BD ou bédé) est une forme d'expression artistique, souvent désignée comme le « neuvième art[Note 1] », utilisant une juxtaposition de dessins (ou d'autres types d'images fixes, mais pas uniquement photographiques), articulés en séquences narratives et le plus souvent accompagnés de textes (narrations, dialogues, onomatopées). Will Eisner l'a définie (avant l'émergence d'Internet) comme « la principale application de l'art séquentiel au support papier[W 1]». Définitions[modifier | modifier le code] Il est de coutume de distinguer « la » bande dessinée et « les » bandes dessinées. Cette distinction est mise en lumière par Francis Lacassin[L 1]. « La » bande dessinée est le concept, c'est-à-dire l’Art — le 9e — et la technique permettant la réalisation de cet art. « Les » bandes dessinées sont les médias par lesquels est véhiculé cet art[D 1],[B 1]. Médium bande dessinée[modifier | modifier le code] Related:  Bande dessinée

Spirou Historique[modifier | modifier le code] Prémices[modifier | modifier le code] Création (1938-1939)[modifier | modifier le code] Années de guerre (1939-1945)[modifier | modifier le code] En janvier 1941, Paul Dupuis est libéré et rentre à Marcinelle[29]. Âge d'or (1946-1968)[modifier | modifier le code] Mutation du journal[modifier | modifier le code] Pendant ces années, un personnage discret, le Fureteur, possède une chronique rédactionnelle dans le journal. Années Delporte[modifier | modifier le code] Place à l'humour[modifier | modifier le code] Entrée des anciens locaux des éditions Dupuis et de la rédaction du journal Spirou dans la Galerie du Centre à Bruxelles. Anciens locaux des éditions Dupuis et de la rédaction du journal Spirou dans la Galerie du Centre à Bruxelles. Le numéro 1000[modifier | modifier le code] Il comprend aussi une ébauche des futurs mini-récits[85]. Après le numéro 1000[modifier | modifier le code] Nouvelle génération d'auteurs[modifier | modifier le code]

BD Gest' - Le portail BD de référence Le vocabulaire de la bande dessinée Une planche de B.D.: une planche : page entière de B.D., composée de plusieurs bandes.une bande : (aussi appelée un “strip”) succession horizontale de plusieurs images.une vignette : (aussi appelée une case) image d’une bande dessinée délimitée par un cadre.une bulle : (aussi appelée un phylactère) forme variable qui, dans une vignette, contient les paroles ou pensées des personnages reproduites au style direct.un appendice relié au personnage : permet d’identifier le locuteur. Dans les bulles : une onomatopée : mot qui imite un son ; les onomatopées constituent le bruitage de la bande dessinée.un idéogramme : icône, symbole ou petit dessin exprimant une pensée ou un sentiment.la typographie : manière dont le texte est imprimé : caractères, forme, épaisseur, disposition...le lettrage : réalisation à l’encre de Chine des textes et dialogues d'une bande dessinée. Plans: Angles de vue : Traduction des mouvements : Procédés d’enchaînement des vignettes :

Tabladessin (@Tabladessin) sur Twitter À propos de la bande dessinée dite féminine Réunies à l’occasion de la fête départementale du Livre du Var en septembre dernier, Tanxxx et Chantal Montellier s’expriment sur la réception de leur travail dans un milieu toujours majoritairement soumis à la décision masculine. Toutes deux ont signé la Charte des créatrices de bande dessinée contre le sexisme, après la constitution au printemps dernier d’un collectif visant à « dénoncer les formes que prend le sexisme dans ce champ littéraire, tout en avançant des façons de le combattre ». Entretien réalisé dans l’arrière salle d’une brasserie toulonnaise par Émilie pour la revue Émancipation et Gilles (Contrebandes), le 26 septembre 2015. Émilie : On peut trouver pas mal d’infos sur le site bdegalite.org, mais vous avez peut-être d’autres choses à dire sur cette charte dont vous êtes toutes les deux signataires ? Chantal : Je trouve que l’initiative est plutôt bonne. Chantal : Il y a un “créneau porteur” pour le Marché côté “BD de filles”, ça semble évident. Gilles : Ah !

Seconde Guerre mondiale dans la bande dessinée Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. BD dans les pays en guerre[modifier | modifier le code] La Seconde Guerre mondiale est intéressante, à bien des égards, puisqu’elle a touché tous les pays dans lesquels la bande dessinée existait : les États-Unis, Le Japon, la France et la Belgique. Ce conflit a été traité de manières différentes selon le rôle joué pendant ces années terribles. Propagande au service de l’Oncle Sam[modifier | modifier le code] Le vainqueur américain ne s’embarrasse d’aucune nuance dans la description des faits et dépeint ses ennemis sans ambages. Le 7 décembre 1941, Pearl Harbour est attaqué par surprise. Dans Spirit[1], on trouve des allusions à la guerre dès les premiers numéros : le justicier masqué donne l’exemple et s’engage volontairement dans l’US Army. Guerre dans le Pacifique[modifier | modifier le code] Guerre en Europe[modifier | modifier le code] Nazisme en tant qu'incarnation absolue du Mal[modifier | modifier le code]

Enquête sur la BD et ses lecteurs Le département des études, de la prospective et des statistiques (DEPS),en collaboration avec la Bibliothèque publique d'information, publie en mars dans la collection « Culture études » une nouvelle enquête de huit pages sur la lecture de bandes dessinées en France. Trois français sur quatre… Avec plus de 16 millions de lecteurs en France, la bande dessinée, longtemps considérée comme un genre mineur, bénéficie désormais d’une large diffusion dans la société française : plus de trois Français sur quatre déclarent avoir déjà lu des bandes dessinées, dont plus d’un quart (29 %) au cours des douze derniers mois. La production éditoriale a bénéficié d’un essor sans précédent depuis les années 1990, le nombre de titres édités est en constante progression, tandis que les genres se diversifient. Le Département des études, de la prospective et des statistiques (DEPS).

Angoulême 2017, «une grande cuvée» malgré une affluence en baisse C'était l'année de l'apaisement en Charente. Aucun soubresaut, pas de controverse et une excellente programmation. Malgré cela, cette 44e édition enregistrerait une baisse de fréquentation de 6 à 10%. L'ombre des attentats plane-t-elle toujours sur le Festival d'Angoulême? La manifestation a tenu ses promesses, celles de retrouver son statut de rendez-vous incontournable du 9e art. Éditeurs et auteurs n'ont pas tari d'éloges, soulagés de vivre un festival éloigné des soubresauts de l'année dernière qui, on le rappelle, avait été marquée par l'absence de dessinatrices dans la liste des sélectionnés au grand prix 2016, un appel au boycott des auteurs et une cérémonie de remise des prix affligeante (avec une blague de mauvais goût). «Une grande cuvée, remarquable à tout point de vue», s'est exclamé Serge Ewenczyk des éditions indépendantes Çà et Là. Sans oublier Benoît Mouchart, directeur éditorial chez Casterman, et ancien directeur artistique du festival pendant dix ans de 2003 à 2013.

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