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André Le Nôtre

André Le Nôtre

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Domaine de Chaumont-sur-Loire A moins de 200 kilomètres au sud de Paris, entre les villes de Tours et de Blois, se cache un trésor de poésie. Oasis naturel, promontoire perché à 40 mètres au dessus de la Loire sauvage, le Domaine de Chaumont-sur-Loire, propriété de la Région Centre, vous ouvre toute l’année les portes de son château, de son parc et, d’avril à fin octobre, de l’incontournable Festival International des Jardins. Le château, qui fut la propriété de Catherine de Médicis, de Diane de Poitiers et de la Princesse de Broglie vous accueille en toutes saisons avec ses intérieurs chaleureux et richement meublés.

André Le Nôtre Biography In the service of the monarchy since 1635, Le Nôtre began his career as gardener of Gaston d’Orléans, an uncle of Louis XIV. Born into a family of gardeners to the king beginning in the 16th century, he was trained in the Tuileries gardens which he modified between 1666 and 1672, creating the vast perspective of the Champs-Elysées. His work for Fouquet in Vaux-le-Vicomte in 1656-61 brought him glory and fortune. Louis XIV summoned him to Versailles in 1662 when he was working on the gardens of Chantilly for the Grand Condé. Le Land Art (2) ou L’art du gigantisme dans la nature Le mois dernier, iPaginablog vous invitait à découvrir ou redécouvrir le Land Art, tendance artistique de l’art contemporain, apparue dans les années 1960, qui s’épanouit dans la Nature et avec des éléments de la Nature. Cette expression, comme toutes les formes d’art a évolué. Aujourd’hui, les artistes réalisent toujours des œuvres tridimentionnelles qui témoignent de la façon dont le temps et les forces de la nature agissent sur les choses. Mais ils intègrent aussi des éléments manufacturés à leurs créations, utilisent des engins et techniques nouvelles pour faire des œuvres éphémères mais qui marquent les esprits durablement. Nous allons voir comment. Nous avons pu observer dans l’article précédent, des œuvres réalisées et exposées en extérieur, dans des bois notamment.

Les jardins de Bomarzo, monstres & cie en Italie C’est un « Bosco Sacro », un bois sacré où restèrent cachées pendant des siècles d’étranges créatures. Dans le Latium, au nord de Rome, les jardins de Bomarzo, aussi appelés Parc des monstres, fascinent les visiteurs qui franchissent leurs portes. « Toi qui entres ici, réfléchis bien, pèse le pour et le contre et dis-moi si tant de merveilles ont été faites pour tromper ou pour l’amour de l’art », avertissent deux sphinges, à l’entrée. Le jardin ne cesse plus dès lors d’interpeller le promeneur. Mais loin de l’aider à se repérer, les nombreuses inscriptions sibyllines gravées dans la pierre (et inspirées notamment de La Divine Comédie de Dante) font du Sacro Bosco, plus qu’un jardin, un voyage initiatique.

Las Pozas, un jardin surréaliste grandeur nature au Mexique « Je ne retournerai jamais au Mexique. Je ne peux pas supporter l’idée d’être dans un pays plus surréaliste que mes peintures. » La chaleur suffocante serait-elle montée à la tête de Salvador Dalí pour lui faire dire cela ? Ou voulait-il parler des ruines aztèques et mayas rongées par la végétation ? De leurs dieux terrifiants, tels sortis d’un cauchemar ? De la mort célébrée comme une joie ? D’ailleurs, le peintre est-il seulement allé au Mexique ? Le Jardim Botânico, un havre de science à Rio Et soudain, le silence. Rien que le vent qui fait frémir les feuilles à la cime des arbres. Par-ci, par-là, on perçoit le croassement d’un perroquet, le hurlement d’un singe ou le tintement d’une discrète fontaine, tout au bout d’une allée. Il est 16 heures. C’est l’hiver austral.

Le Flérial, un nouvel éden en Bourgogne Au premier regard, le Flérial ne ressemble en rien à l’idée que l’on se fait d’un jardin, tant il a l’air sauvage – presque 2 hectares de prairies et de mares, de haies et de taillis broussailleux, d’arbustes épineux, d’herbes hautes et de graminées en pagaille. Ici, la nature est dense et hirsute, venteuse, revêche. Qui s’y aventure s’aperçoit toutefois qu’il peut s’y frayer un passage en marchant sur les rares sentiers dégagés qui invitent à la promenade et guident les pas, comme par hasard, jusqu’à la grande mare où foisonnent grenouilles et nénuphars, qui engagent à s’asseoir sur une souche d’arbre abritée à l’ombre d’un merisier (le cerisier des oiseaux) ou encore qui poussent à grappiller, sur une branche, quelques amélanches, ces petites baies violettes au goût de pomme, tout en levant les yeux pour apercevoir, soudain, une ligne de fuite, une vue inattendue.

Nature et urbanisme à Paris Le Nôtre, un art si français de la... Plus qu'un jardin…un paysage ! Qu'est-ce...

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