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L'avenir de la technologie d'impression [Infographie] Les défis industriels de l’impression 3D. Techniquement, les possibilités de la 3D semblent infinies.

Les défis industriels de l’impression 3D

Depuis quelques années, il est possible, grâce à une machine dont le coût unitaire diminue rapidement – pour mille dollars, on trouve des imprimantes personnelles performantes – d’ « imprimer » à domicile des objets comme des jouets, des pièces détachées, des armes, des outils, des bijoux, des éléments de mobilier mais aussi de la nourriture. Chaussures, montures de lunettes et d’innombrables objets du quotidien peuvent être fabriqués à domicile avec un plastique biodégradable à base de maïs. La machine, qui peut aussi être alimentée en résine, en diverses poudres ou en pâte alimentaire, obéit aux instructions d’un logiciel et empile des couches de matière, une couche après l’autre. L’impression 3D peut donner lieu à des économies considérables. Les applications médicales – les organes imprimés – sont toutes proches. Quand l'impression 3D change une vie.

Quand l’impression 3D change une vie Je trouve la technologie des imprimantes 3D extraordinaire.

Quand l'impression 3D change une vie

Comme le net (via le p2p) qui a permis de diffuser massivement la culture à ceux qui n'y avaient pas accès, les imprimantes 3D vont permettre d'abolir cette frontière entre les riches, les entreprises et les gens au porte-monnaie plus modeste. Dans un futur que j'espère proche, ces imprimantes deviendront bon marché et permettront à chacun quelque soit ses moyens, de concevoir et de fabriquer des objets qu'il n'aurait jamais pu s'offrir. Bioprintig : mode d'emploi pour construire son imprimante à cellules. Cellule imprimée grâce à l'imprimante HP transformée.

Bioprintig : mode d'emploi pour construire son imprimante à cellules

La fluorescence verte à l'intérieur prouve bien que le colorant a été intégré. © Jove Bioprintig : mode d'emploi pour construire son imprimante à cellules - 2 Photos Le bioprinting est en plein essor. De quoi s’agit-il ? Lee Cronin : Imprimez vos propres médicaments. L'impression 3-D, une révolution médicale? A 3-D Printer Will Soon Print You New Organs. Ils espèrent imprimer en 3-D des tissus et des organes à partir de cellules souches. Imprimée en 3D, elle a tout d’une véritable oreille humaine. En 2011, votre Guru vous présentait le travail des scientifiques de l’Université Cornell sur une imprimante 3-D, une bio-imprimante, capable de fabriquer de la peau et des oreilles humaines.

Imprimée en 3D, elle a tout d’une véritable oreille humaine

Des oreilles artificielles construites grâce à l’impression 3D. Des médecins et bio-ingénieurs américains ont expliqué avoir fabriqué des oreilles artificielles fonctionnelles grâce à la technologie d'impression en trois dimensions (3D).

Des oreilles artificielles construites grâce à l’impression 3D

Testée sur le rat, la technique utilisant des cellules souches pourrait être applicable à l'humain. Mettre au point des oreilles artificielles n’est pas nouveau. Un implant de mâchoire réalisé par une imprimante 3D. Plus on vieillit, plus les organes et composants de notre corps risquent de tomber en panne.

Un implant de mâchoire réalisé par une imprimante 3D

Il faut alors « passer sur le billard ». Le souci est que plus l'opération chirurgicale est longue, plus le risque de survenue d'un problème devient important. Il faut donc autant que possible réduire le temps d'opération. Une petite fille retrouve l’usage de ses bras grâce à une imprimante 3D. (vidéo) Une fillette de deux ans atteinte d’une maladie génétique a pu utiliser ses bras grâce à un exosquelette imprimé en plastique léger, qu’elle a appelé ses « bras magiques ». par Rose Eveleth Emma Lavelle est née avec de l’arthrogrypose, une maladie génétique qui provoque des raideurs dans les articulations et les muscles, les rendant presque inutilisables.

Une petite fille retrouve l’usage de ses bras grâce à une imprimante 3D

A la naissance, Emma ne pouvait bouger que le pouce. Après des années d’entraînement et d’exercice, elle pouvait se déplacer sans déambulateur, mais ses bras restaient sur le côté, trop raides et faibles pour qu’elle s’en serve. Imprimé en 3D, un implant remplace 75 % du crâne d’un Américain. BioPen : un stylo qui imprime des tissus et de l'os directement sur les patients. Les scientifiques de l'Université de Wollongong en Australie viennent de présenter l'outil qu'ils développent depuis quelques années et qui aura pour vocation prochaine de remplacer une partie des outils utilisés par les chirurgiens dans les opérations de reconstruction.

BioPen : un stylo qui imprime des tissus et de l'os directement sur les patients

Le BioPen est en résumé une petite station d'impression 3D portable qui prend la forme d'un stylo et qui peut donc être utilisé pour placer de la matière à main levée par le chirurgien pendant l'opération. Il est actuellement capable d'imprimer de l'os directement sur des patients atteints d'ostéoporose, de cancers ou de fractures complexes. Pour ce faire, il utilise une encre composée de cellules souches qu'il est possible de proposer sous différentes formes afin de reproduire du muscle, de l'os ou des cellules nerveuses. La NASA veut des araignées robotiques capables d'imprimer des vaisseaux dans l'espace. La NASA multiplie les partenariats avec des laboratoires privés dans le but d’accélérer ses recherches et projets, tant en terme de temps que d’argent.

La NASA veut des araignées robotiques capables d'imprimer des vaisseaux dans l'espace

À ce titre, un laboratoire situé au nord de Seattle, Tethers Unlimited, s’est lancé dans un projet assez fou. Pendant de nombreuses années, les rumeurs fleurissaient concernant l’intérêt de l’agence pour l’impression 3D en condition de gravité zéro, une imprimante venant tout juste d’être certifiée pour une intégration dans la liste de l’équipement de bord de l’ISS. Pourtant, un second projet envisagerait l’utilisation de cette technologie depuis bien longtemps, et avec des ambitions d’envergure. La NASA chercherait ainsi à s’équiper de robots fonctionnant comme des imprimantes 3D mobiles, capable de créer et d’assembler un vaisseau directement dans l’espace. Des batteries miniatures fabriquées avec une imprimante 3D. Impression 3D : copier en regardant un objet avec des Google Glass. Lorsque l'on parle d'imprimantes 3D, les réactions sont souvent contrastées.

Impression 3D : copier en regardant un objet avec des Google Glass

Beaucoup trouvent intéressante l'idée de pouvoir produire chez eux n'importe quel objet en plastique (en attendant que d'autres matériaux se démocratisent), mais se demandent aussi ce qu'ils en feront. Ils craignent en particulier de ne pas savoir modéliser un objet qu'ils veulent reproduire. Mais les innovations en la matière ne cessent de progresser, et c'est bien parce que ces obstacles n'en sont pas que Microsoft facilite l'impression 3D dans Windows 8.1.

Si vous ne savez pas modéliser d'objets 3D, il existe déjà de très nombreux modèles 3D partagés par des designers en herbe du monde entier, sur des sites comme Thingiverse,GrabCAD, 3DVia, GitHub ou même The Pirate Bay, qui propose ses physibles. Il existe d'autres méthodes, toujours plus simples, pour cloner un objet que l'on ne trouve pas sur ces services. The audacious plan to end hunger with 3-D printed food. Impression 4D : les objets s’assemblent eux-mêmes. C’est lors d’une intervention à la conférence TED à Long Beach (Californie), le 26 février, que Skylar Tibbits, directeur de recherches au MIT Self Assembly Lab, a dévoilé le 4D printing.

Elaborée en collaboration avec le constructeur israélien d’imprimantes 3D Stratasys, cette technologie permet aux objets imprimés de changer après leur impression, de s’adapter. L'éditeur de logiciel de conception et de visualisation 3D Autodesk est également impliqué dans le projet. Elle introduit une dimension temporelle dans la vie de l’objet.

L’impression n’est plus l’objectif final, c’est une étape dans le processus de fabrication. "C’est comme de l’intelligence naturellement embarquée dans le matériau", déclare Tibbits. Dans la vidéo ci-dessous, une structure tubulaire imprimée dans une combinaison d'un polymère synthétique capable de s’élargir de plus de deux fois son volume et d’un autre polymère qui, lui, reste rigide, est plongé dans l’eau. Imprimer ses vêtements sera possible en 2050. Un vaisseau spatial avec l’épaisseur d’un cheveux humain imprimé en 3D (vidéo) Il y a un an, nous découvrions le travail d’une équipe qui, à l’aide d’une imprimante 3D, avait réussi à imprimer une minuscule voiture de course en seulement 4 minutes (et le pont de Londres, la cathédrale Saint-Étienne de Vienne…) par un processus appelé "lithographie à faisceau d’électrons".

C’était déjà incroyablement rapide, mais désormais une autre équipe en utilisant le même procédé, a imprimé, entre autres, un vaisseau spatial aussi petit en moins d’une minute. C’est une navette de 125 microns x 81μm x 26.8μm sur le modèle de la franchise du jeu vidéo, Wing Commander, que la société appelée Nanoscribe a réalisé. Un laser a été tiré aux bons endroits dans des couches de résine liquide photoactive (résine photosensible) et en réponse le matériau a durci. Cette vidéo montre le processus en temps réel.

Micro-aiguilles : Micro-échafaudage ou “ruche” pour cellules : Échafaudage de cellule comme matrice extracellulaire artificielle : Le site de la société Allemande Nanoscribe. URBEE : la première voiture fabriquée par impression 3D? L’impression 3 D peut aussi servir à produire des véhicules automobiles. Pour preuve, ce véhicule appelé «Urbee», nom signifiant «URBan Electric and Ethanol» produit par un groupe de personnes à Winnipeg au Canada. Petit véhicle urbain à 2 places, il est muni d’un moteur électrique appuyé par un moteur à l’éthanol pour lui assurer une plus grande autonomie. La forme particulière de ce véhicule lui confère un coefficient de trainée (Cx) de 0,15 : en comparaison, la Toyota Prius, véhicule considéré aérodynamique, possède un Cx de 0,25.

La consommation d’essence de cette petite voiture n’a pas d’égal : 1,18 litre/100 km (200 mpg) sur grande route et 2,35 litres/100 km (100 mpg) en ville. Elle peut rouler à une vitesse maximale de 112 km/h. Le groupe de ce projet veut rendre le design de la voiture personnalisable tout en maintenant les coûts de production très bas pour ce véhicule écologique. Urbee. La maison de demain fabriquée à l'aide de l'impression 3D ? Lundi 21 janvier Design - 21 janvier 2013 :: 10:51 :: Par Camille Les usages de l’impression 3D sont divers et quasi infinis : les objets et autres figurines, les meubles, les chocolats et bientôt les bâtiments !

Et oui, il fallait y penser. Cette technique de fabrication innovante est utilisée depuis un certain temps par les industriels mais reste assez abstraite pour le grand public. Le concept est justement de donner la possibilité à tout le monde (ou presque) de fabriquer ses propres objets en les imprimant, à condition d’avoir un minimum de créativité !

A 3D Printed House? You Bet. While 3D printing might be all the tech geek rage right now, the cooler story is what some people are doing with it to make an actual difference. We’ve seen stories of medical uses such as new 3D-printed limbs and that’s incredible but USC professor Behrokh Khoshnevis has just blown my mind. Imagine 3D printing on such a large scale, using a concrete-style material, that could “print” a house in as little as 20 hours. Oh, and that material can withstand over three times the PSI force of standard concrete walls. There can even be larger versions, with multiple “print heads” for use in construction of multi-family dwellings like apartment complexes. Professor Khoshnevis’ TEDx talk goes into more detail, so take a few minutes out of your day to appreciate science.

Construire une maison avec une imprimante 3D, le défi d'un architecte néerlandais. Espace - Une imprimante 3D fabriquera des outils spatiaux à partir de roches. Impression 3D : Un nouveau concept de base lunaire à préparer aux micro-ondes. Comment imprimer une vrai base sur la Lune. Il s’avère que l’Agence spatiale européenne (ASE) et un cabinet d’architecte, Foster + Partners, ont travaillé sur l’idée de construire des colonies lunaires en utilisant de grosses briques fabriquées par une imprimante 3D alimentée par de la poussière de lune. Un abri lunaire construit avec une imprimante 3D en test à l'Esa. En image, le chantier de fabrication du bloc expérimental.