La psychologie humaniste. La genèse La psychologie humaniste est née dans l'opposition d'une psychanalyse, jugée trop pessimiste, et contre le béhaviorisme, jugée trop mécaniste.
La séparation de Carl Gustav Jung avec son maître Sigmund Freud entraîna celui-ci dans une nouvelle dimension, une dimension plus spirituelle. Parallèlement à cette approche, Carl Rogers cherchera dans l'activité humaine névrotique, une désadaptation temporaire de l'individu qu'il suffit d'aider à trouver son vrai être, le SOI. L'avènement de la psychologie humaniste En 1954, Abraham Maslow commence à constituer un fichier de 150 noms de psychologues qui ne se reconnaissent dans aucun des deux courants dominants et seront à l'origine de la création de l'American Association for Humanistic Psychology dont les principaux chefs de file seront: Gordon Allport, Rollo May, Carl Rogers (des psychologues), Paul Tillich et Victor Frankl.
Le mouvement du potentiel humain Le courant de la psychologie cognitive et de la psychologie culturelle. Origine de la psychologie humaniste. L'Etre Humain est au centre de cette approche.
La visée de l’approche humaniste concerne une réorganisation, dans les profondeurs du psychisme, des processus de pensée. Son action n’est pas immédiatement visible. L’approche humaniste ne propose aucune garantie de réussite car elle considère le symptôme comme une mise en sens que doit s’approprier la personne afin d’accéder à une meilleure connaissance d’elle-même. Dans cette approche, la disparition du symptôme n’est qu’un bénéfice parmi d’autres résultant d’une réappropriation de soi. Le concept de « non-directivité » a été progressivement élaboré par C.
La non directivité, par opposition à la directivité (qui n’est pas à confondre avec l’influence ou la non influence) implique la participation de la personne au processus thérapeutique. Cette approche s’étaye avant tout sur l’attitude du thérapeute vis-à-vis de son client, qui le considère comme foncièrement digne de confiance, autonome et responsable.
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L'Approche humaniste est une psychologie fondée sur une vision positive de l'être humain. C'est aussi un modèle de psychothérapie qui cherche à relancer chez la personne (le patient) sa tendance innée à s'auto-actualiser, à mobiliser les forces de croissance psychologique et à développer son potentiel. Appelée aussi « la troisième force » (Third Force Psychology), la psychologie humaniste (Humanistic Psychology) est apparue à partir des années 40 aux États-Unis, surtout sous l'impulsion d'Abraham Maslow[1], les deux autres grands courants étant la psychanalyse et d'autre part le comportementalisme (behaviorisme) de John B. Watson et Skinner.[2] On associe souvent l'approche existentielle-humaniste au Mouvement du potentiel humain.
Historique[modifier | modifier le code] Les prémisses de cette vision de l'être humain et de la relation psychothérapeutique sont posées dès 1923 par Jacob Levy Moreno, proche du philosophe Martin Buber. . ↑ (en)A. Les grands principes de la psychologie humaniste. Le psychologue humaniste:<br> caractéristiques essentielles. La conscience Pour un humaniste, la compréhension du fonctionnement humain et l’intervention psychologique s’appuient sur la capacité de chaque individu d’être conscient de ce qui se passe en lui et dans son environnement.
Pour être efficace, cette conscience doit se servir de certains outils qui font partie des capacités fondamentales de chaque être humain. Voici quels sont les principaux outils de la conscience. La subjectivité L’exercice de la liberté doit s’appuyer sur une connaissance suffisante de soi-même et de son environnement. Les cinq sens servent à recueillir les données brutes à partir desquels nous construisons notre connaissance. En interprétant ces sensations fondamentales, nous leur donnons un sens. Les humains ont également la capacité de créer des concepts. Un système d’orientation Notre système d’orientation est celui qui nous sert à exercer notre liberté en faisant des choix d’objectifs. Psychologie humaniste : comprendre la psychologie humaniste. L'approche humaniste - Prendre soin.
Une nouvelle branche de la psychologie humaniste. Les schémas intégrateurs sont des outils importants de la psychothérapie intégrative. Les schémas intégrateurs aident à structurer, à articuler, à rendre plus cohérent, l'intégration des différentes techniques psychothérapeutiques, cela sans rentrer dans des théorisations complexes voire impossibles entre des techniques, dont souvent les paradigmes théoriques sont trop éloignés.
Voici quelques schémas intégrateurs : Le Yin et le Yang : C'est le schéma intégrateur, symbolique le plus ancien, d'origine taoïste Il permet de travailler en psychothérapie sur les polarités opposées et de les intégrer, pour faire émerger une forme, une identité nouvelle libératrice, plutôt qu'un conflit ou le refoulement d'une polarité. - le modèle Corps / Cœur / Esprit et ses diverses déclinaisons C'est aussi un schéma très ancien, légué par les grandes traditions, se présentant le plus souvent sous la forme d'une échelle, dont les échelons au nombre variable représentent les différentes dimensions de l'être humain dans son évolution.
Les résultats possibles d'une psychothérapie humaniste d'approche "Auto-développement" Chacune de ces orientations repose sur des prémises philosophiques de base qui déterminent ce qui lui paraît important au plan du cheminement humain.
C'est suite à ces prémises que chacune à développé par la suite ses méthodes permettant d'atteindre les objectifs privilégiés. Il faut souligner en plus qu'à l'intérieur de chacune de ces orientations , existe des variantes que l'on appelle "approches". Par exemple, parmi l'orientation humaniste, l'on peut retrouver : l'approche Rogérienne, la Gestalt, L'Auto-développement etc. Chacune apportant des nuances diverses dans la philosophie et dans les méthodes utilisées. Pour simplifier mes propos, nous nous en tiendrons surtout aux différences entre les principales orientations, en privilégiant comme orientation humaniste le modèle de l'Auto-Développement, bien sûr pace que c'est celui que je privilégie et connaît le mieux.
Voyons donc pour chacune des orientations, ses prémisses, ses méthodes et les résultats possibles.