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The Pirate Bay déménage en Guyana et prépare un hébergement distribué. Un Suédois condamné à 476 000 euros de dommages-intérêts pour avoir partagé un film. Un habitué du site de partage de fichiers bittorrent Swebits vient d'être condamné à payer 4,3 millions de couronnes suédoises (460 000 euros) pour le partage d'un seul et unique film.

Un Suédois condamné à 476 000 euros de dommages-intérêts pour avoir partagé un film

La condamnation inclut des heures de travail d'intérêt général lié au partage de plusieurs centaines d'autres œuvres. Si le tracker suédois Swebits a fermé ses portes en 2011, les dossiers liés à certains de ses membres actifs n'ont, de leur côté, pas été délaissés par la justice du pays. Le plus notable d'entres eux est sans doute celui d'un homme de 28 ans, ancien modérateur du site, qui a partagé entre avril 2008 et novembre 2011 pas moins de 518 films et programmes télévisés à travers le tracker. Hadopi enterre son label PUR et passe à "offre légale Hadopi" La Hadopi déploie à nouveau ses efforts afin de mettre en avant l'offre légale de contenus.

Hadopi enterre son label PUR et passe à "offre légale Hadopi"

Dans ce cadre, elle annonce le lancement d'un nouveau site recensant des plateformes « pouvant être regardées comme étant légales » et enterre ainsi son label PUR. En juin 2011, la Hadopi annonçait le lancement du label PUR (Promotion des usages responsables) afin de mettre un coup de projecteur sur certaines offres légales de contenus vidéo, musique ou de livres numériques. Ce dernier n'a désormais plus vocation à être utilisé et sera remplacé dès ce mercredi 11 décembre par un nouveau moyen de centraliser ce type d'offres. offrelegale.fr reprend désormais ces mêmes plateformes labellisées (entre 50 et 70), celles-ci apparaissant en premier dans les résultats de recherche du moteur interne du site.

The Pirate Bay s'envole dans le cloud pour éviter les saisies de serveurs. Après avoir troqué les torrents pour les liens Magnet, les administrateurs de The Pirate Bay viennent de déménager la plateforme dans le cloud : en hébergeant le site chez plusieurs fournisseurs à travers le monde, l'équipe compte réduire les coûts de fonctionnement et se protéger contre les mises hors ligne. « Tout d'abord, nous avons abandonné les trackers.

The Pirate Bay s'envole dans le cloud pour éviter les saisies de serveurs

Puis nous nous sommes débarrassés des torrents. Et maintenant ? Maintenant, nous avons réussi à nous débarrasser des serveurs. The Pirate Bay : nouveau nom de domaine péruvien, le 6e en 2013. C'est reparti pour un tour pour le jeu du chat et de la souris entre The Pirate Bay et l'industrie du divertissement.

The Pirate Bay : nouveau nom de domaine péruvien, le 6e en 2013

Le dernier nom de domaine sur lequel le site d'échange de torrents opérait a été saisi aujourd'hui, mais ce dernier en a aussitôt adopté un autre. La bataille entre The Pirate Bay et les ayants-droits ou leurs représentants se joue au tour par tour cette année. L'Hadopi expliquée aux nuls et à ceux qui piratent sans le savoir. Que risque-t-on en allant sur un site de streaming illégal ? Le risque d’être poursuivi pour avoir regardé en streaming un film piraté est quasi-inexistant. « Quasi », car certains juristes tatillons estiment que, même s’il n’y a pas de téléchargement, les internautes se montrent bel et bien complices de piratage.

Que risque-t-on en allant sur un site de streaming illégal ?

D’abord, se demande Watashi_baka, « comment savoir si un site de streaming est légal ? » Comme le note G-Y.M, « un peu de bon sens » suffit. Il y a des « règles évidentes », confirme Stephanemot : la qualité de l’image, les logos tronqués ou les liens vers lesquels renvoie la vidéo peuvent être autant d’indices. Des sites légaux avec des contenus illégaux La subtilité, comme le note Guyome, c’est que l’essentiel n’est pas la légalité du site : c’est celle de ses contenus. D’un côté, des sites de streaming qui violent clairement le droit d’auteur en ne proposant que des films ou des séries piratés. Hadopi/CSA : le gouvernement présentera une loi sur la "création" début 2014. Menacée, la Hadopi fait le dos rond. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Julien Dupont-Calbo et Guénaël Pépin Trois ans après sa création, l'Hadopi tient son cap.

Menacée, la Hadopi fait le dos rond

“Tant que la loi existe, je remplis mes missions”, assume fermement Marie-Françoise Marais, la présidente de l'Autorité qui remettait, jeudi 10 octobre, son bilan annuel. Lire : Au Sénat, la Hadopi tente de freiner son intégration au CSA Son sort reste suspendu à la prochaine loi "culture et création", prévue pour 2014, qui donnera probablement une bonne partie des prérogatives de la Hadopi au Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA). En septembre, le boulet était déjà passé tout près, lors du vote de la loi sur l'audiovisuel. Aujourd'hui, elle calme le jeu : “J'attends la loi de 2014. En juin 2014, la "Hadopi existera toujours" La Hadopi vient de présenter son rapport d'activité pour l'année 2012/2013.

En juin 2014, la "Hadopi existera toujours"

A cette occasion, elle a évoqué son avenir et les rapprochements avec d'autres autorités, en particulier le CSA. Depuis janvier 2013, la Commission de protection des droits a envoyé 80 000 premières recommandations puis 10 000 rappels par mois dans le cadre de la procédure de riposte graduée. Hadopi : fiches pratiques. La Hadopi analyse le fonctionnement des sites illégaux de téléchargement. 01net le 19/09/13 à 17h01 Si la chasse aux pirates est l’activité la plus populaire de la Hadopi, ce n’est pas sa seule mission.

La Hadopi analyse le fonctionnement des sites illégaux de téléchargement

Elle doit aussi, comme le note le Code de la propriété intellectuelle, observer l'utilisation licite et illicite des œuvres culturels. C’est dans ce cadre que le Drev, son département recherche études et Veille, a réalisé une enquête auprès de 5000 internautes pour mieux connaître leur pratique en matière d’usage de produits culturels. Pas d'amendement Hadopi en vue au Sénat. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Alexis Delcambre Le transfert des missions de la Haute Autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur Internet (Hadopi) au Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA) ne sera finalement pas ajouté au texte de loi sur l'audiovisuel public actuellement étudié au Sénat.

Pas d'amendement Hadopi en vue au Sénat

Alors que les auditions menées cette semaine par le rapporteur (PS) David Assouline avaient donné à penser que l'ajout d'un amendement proposant ce transfert était imminent, le sénateur de Paris a précisé au Monde, vendredi 13 septembre, que cet arbitrage n'était pas fait – et il a clairement fait comprendre qu'il ne le serait pas. Téléchargement direct : la Hadopi étudie RapidGator, 1Fichier et SpeedyShare. La Hadopi a étudié les contenus disponibles sur 3 plateformes de téléchargement direct : RapidGator, 1Fichier et SpeedyShare.

Téléchargement direct : la Hadopi étudie RapidGator, 1Fichier et SpeedyShare

Elle en conclut que les contenus vidéo sont les plus représentés. Dans le cadre de sa mission d'observation des usages des internautes, notamment en matière de téléchargement en ligne, la Hadopi publie un rapport portant sur trois plateformes de téléchargement direct. Pour ce faire, l'autorité a généré aléatoirement des liens « afin de constituer un échantillonnage uniforme et représentatif de ces plateformes ». Elle ajoute avoir ainsi été en mesure de collecter des métadonnées en janvier 2013 pour RapidGator, en mai 2013 pour SpeedyShare et entre février et mai 2013 pour 1Fichier. Pas moins de 1 200 fichiers ont ainsi été collectés. En étudiant ces plateformes, l'autorité précise que les contenus vidéo sont de loin les plus représentés. En conclusion, le rapport rappelle que les fichiers les plus consultés sur ces plateformes sont des vidéos. Pour aller plus loin.