background preloader

Prêt et échanges entre consomateurs

Facebook Twitter

Le troc en ligne pour renouveler sa garde-robe. «J’ai un placard qui déborde, et je n’ai jamais rien à mettre!»

Le troc en ligne pour renouveler sa garde-robe

: c’est ce refrain, qu’elle répétait avec ses copines, qui a amené Truc Mai Vohong à lancer le site trocvestiaire.com en juin dernier. Cette «passionnée de mode», passée par HEC puis l’Institut français de la mode, avait pris l’habitude d’échanger ses habits avec ses amies. «Mais avec internet, on décuple» les possibilités, souligne-t-elle. Le site compte 12.000 membres et il y a eu environ 10.000 échanges depuis le lancement, explique-t-elle. Que met-on sur son site? Benjamin Augros a lui lancé le site pretachanger.fr fin 2011, alors qu’il venait de terminer son école de commerce et un mémoire sur le troc et la consommation collaborative. Du win-win Le premier intérêt du troc, pour Benjamin Augros: «échanger une robe qui vaut 100 euros contre une robe qui vaut 100 euros». «Les gens veulent bien sûr faire des économies, éviter de dépenser de l’argent, mais pas seulement», avec le troc sur internet, dit Benjamin Augros.

La consommation collaborative, mode ou révolution ? - FUTUREMAG - ARTE. Le troc : comment ça marche. Troc et partage : les bonnes idées anticrise des Français. Échanger du temps Jeudi 19 h 30.

Troc et partage : les bonnes idées anticrise des Français

Quelques notes de piano s'élèvent dans l'appartement de Didier Bertram. Penché sur le clavier, le retraité de 58 ans suit attentivement les indications de son professeur, Aurélia Vinh, 31 ans. À la fin du cours, une heure plus tard, la jeune femme repart avec un chèque... de temps, qu'elle pourra utiliser pour recevoir un autre service. (...) Semer du lien social Connaissez-vous le « seed dating », ou « rencontre de graines » ? Créer un système financier « humain » Au sarment, magasin bio de Cavaillon (Vaucluse), Mélaze Millet se présente à la caisse les bras chargés de pizzas, de yaourts et d'un pain de seigle. S’habiller sans se ruiner Rester chic malgré la crise. . ► Notre sélection de sites de troc Troc en tous genres ■ My recycle stuff se présente sous la forme d’un réseau social regroupant des recycleurs qui échangent, négocient leurs objets en ligne puis se rencontrent.

Lave-linge Covoiturage ■ Covoiturer sur Covoiturage.fr, c'est simple. Vêtements. D finition Consommation collaborative : Le glossaire illustr du marketing. Les Français sont fans de consommation collaborative, parfois sans le savoir. Le marché mondial de l'économie de partage pourrait atteindre près de 270 milliards d'euros d'ici à 2025, contre 12 milliards aujourd'hui, selon PwC.

Les Français sont fans de consommation collaborative, parfois sans le savoir

En France, près de la moitié des consommateurs y ont eu recours cette année. Aujourd'hui, tout ou presque peut se louer, s'échanger ou se partager via Internet. Voitures, maisons, canapés, frigos, machines à laver, journaux ... Poussés par la crise, les consommateurs s'adonnent de plus en plus au «CtoC» (c'est-à-dire «consumer to consumer», un terme qui désigne les transactions entre particuliers) comme alternative au commerce traditionnel. Consommation collaborative. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Consommation collaborative

La consommation collaborative désigne un modèle économique où l'usage prédomine sur la propriété : l'usage d'un bien, service, privilège, peut être augmenté par le partage, l'échange, le troc, la vente ou la location de celui-ci. Cette optimisation de l'usage est une réaction à la sous-utilisation classique supposée des : biens ;services ;privilèges ; principalement permise par l'échange d'information via Internet et à l'essor, dans un cadre légal, sécurisé, dans la transparence, de cette tendance depuis les années 2000 est donc fortement lié à l'essor des échanges en ligne ; des immenses places de marché, publiques, telles qu'eBay, aux secteurs émergeant de : La consommation collaborative bouscule les anciens modèles économiques en changeant non pas ce que les gens consomment mais la manière dont ils le consomment[1]. Origines[modifier | modifier le code] Le terme avait été introduit par Ray Algar dans la revue Leisure Report d'avril 2007.