L'émergence de la Consommation collaborative - Economie
La régulation de l’économie collaborative en question
En septembre, rapporte Ron Lieber pour le New York Times, Nigel Warren a loué la chambre qu’il occupe dans son appartement à New York sur Airbnb pour 100 $ la nuit. Mais à son retour quel ne fut pas sa surprise d’être convoqué par son propriétaire et les agents de la ville de New York pour avoir enfreint plusieurs interdictions et se retrouver condamné pour plus de 40 000 $ d’amendes ! En effet, les lois locales ou votre contrat de location peuvent interdire la sous-location voir la location de courte durée. A New York, par exemple, vous ne pouvez pas louer d’appartements ou de chambres pour moins de 30 jours, sauf si vous vivez dans les locaux en même temps. L’économie collaborative dans la tourmente Bien sûr, Nigel Warren s’est retourné contre Airbnb accusant le site de ne pas suffisamment alerter les utilisateurs des risques qu’ils encourent en mettant leurs appartements en location, selon les différentes juridictions locales existantes. Wu rappelle ce que nous avons déjà évoqué.
Connecting the Collaborative Economy
La montée de la consommation collaborative
Pour ses défenseurs, la consommation collaborative est en passe de devenir un mouvement, qui va des places de marchés mondiales comme eBay à des secteurs de niches comme le prêt entre particuliers. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Hubert Guillaud "La consommation collaborative correspond au fait de prêter, louer, donner, échanger des objets via les technologies et les communautés de pairs", explique le site éponyme lancé par Rachel Botsman et Roo Rogers, les auteurs de What’s mine is yours, the rise of collaborative consumption (Ce qui est à moi est à toi, la montée de la consommation collaborative). Ceux-ci affirment d’ailleurs que cette pratique est en passe de devenir un "mouvement". Un mouvement qui va des places de marchés mondiales comme eBay ou Craiglist à des secteurs de niches comme le prêt entre particuliers (Zopa) ou les plates-formes de partage de voitures (Zipcar). Les fans du partage ont déjà leur magazine : Shareable.net.
La montée de la consommation collaborative
« La consommation collaborative correspond au fait de prêter, louer, donner, échanger des objets via les technologies et les communautés de pairs », explique le site éponyme lancé par Rachel Botsman et Roo Rogers, les auteurs de What’s mine is yours, the rise of collaborative consumption (Ce qui est à moi est à toi, la montée de la consommation collaborative). Ceux-ci affirment d’ailleurs que cette pratique est en passe de devenir un « mouvement ». Un mouvement qui va des places de marchés mondiales comme eBay ou Craiglist à des secteurs de niches comme le prêt entre particuliers (Zopa) ou les plates-formes de partage de voitures (Zipcar). « La consommation collaborative modifie les façons de faire des affaires et réinvente non seulement ce que nous consommons, mais également comment nous consommons », affirment ses défenseurs. Vidéo : la vidéo promotionnelle du livre de Rachel Botsman et Roo Rogers. Les fans du partage ont déjà leur magazine : Shareable.net.
Apéruche #2 La consommation collaborative
Retour sur l’Apéruche du 6 janvier sur la consommation collaborative… Merci à Régis Chatellier de l’association BUG pour ce compte-rendu très complet de son intervention. Consommez qu’ils disaient La deuxième moitié du XXème siècle fut celle de la création d’un idéal collectif : le poussé de caddie, la communion du parking, la joie de la caisse enregistreuse. L’ère de l’hyperconsommation, consommer plus pour consommer plus, jeter plus pour consommer plus. Le germe du mal est né avec la fin du siècle, l’Internet s’est propagé dans le monde offrant aux champions de caddie un nouvel horizon, celui de la consommation collaborative. En 2008, dans son film Us Now, Ivo Gormley imaginait un monde ou le web permettrait de pallier les carences du service public par l’organisation des citoyens au travers des réseaux sociaux. le capital est la « réputationnel », la monnaie est sociale Tout Rennes collabore Dans ce mouvement mondial vers la consommation collaborative, Rennes tient très bien son rang.
Partage, P2P… bienvenue dans l’économie collaborative!
Boostés par les outils web et la crise, la consommation collaborative émerge comme une véritable alternative à une société propriétaire. De la voiture partagée au booksurfing, Antonin Léonard dissèque les nouvelles tendances. Un jour, nous regarderons le XXe siècle et nous nous demanderons pourquoi nous possédions autant de choses affirmait récemment Bryan Walsh dans TIME Magazine qui consacrait la Consommation Collaborative comme l’une des dix idées amenées à changer le monde. L’économie du partage se propage : du transport aux voyages en passant par l’alimentation, le financement de projets et la distribution, tous les secteurs ou presque voient cette nouvelle économie émerger. Pourquoi acheter et posséder alors que l’on peut partager semblent dire des millions d’individus. Tandis qu’Airbnb annonçait il y a quelques mois avoir dépassé le million de nuits réservées sur son site, en France, c’est covoiturage.fr qui a récemment franchi la barre du million de membres inscrits. Sterneck ;
Outils collaboratifs Web 2.0, le passage d’un web statique à un web dynamique |
Participer, coopérer, collaborer : ces trois termes sont abondamment utilisés mais les idées qu'ils recouvrent, quoique proches, divergent. Dans tous les cas, l'activité et l'intelligence collective sont au cœur du dispositif d'apprentissage. > On doit se demander quels sont la place et le(s) rôle(s) de(s) l'enseignant(s) ? Après cette réflexion une sélection de sites collaboratifs : Aujourd’hui le web 2.0 permet le passage d’un web statique à un web dynamique, c’est-à-dire à une gestion de contenu plus dynamique, chaque acteur du web y étant en interaction. Si vous souhaitez contribuer avec vos adresses web envoyez vos suggestions. Pour aller plus loin : La collection « Patrimoine » permet d’appréhender le patrimoine en inscrivant son étude dans une démarche éclairée par l’histoire, l’histoire de l’art, la géographie et les autres sciences humaines.
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