Colloque 2014 Archéologie de la violence. Une experte britannique façonne l'avenir de la recherche sur la Shoah. A 21 ans, Caroline Sturdy Colls a jeté son dévolu sur ce qui lui semblait un objectif impossible à réaliser : mener des recherches archéologiques à Treblinka, l’ancien camp d’extermination nazi en Pologne, où plus de 900 000 Juifs ont été assassinés.
Recevez gratuitement notre édition quotidienne par mail pour ne rien manquer du meilleur de l'info Inscription gratuite! Etudiante diplômée en archéologie, Sturdy Colls considérait Treblinka comme le summum de la scène de crime in situ pour sa thèse de maîtrise. Une experte britannique façonne l'avenir de la recherche sur la Shoah. Caroline Sturdy Colls. Caroline Sturdy Colls (born 1980) is a lecturer in forensic investigation at Staffordshire University specializing in identification of human remains, forensic archaeology and crime scene investigation.
She serves as Research Lead for the Centre of Archaeology there, but also undertakes consultancy for the UK Police forces. Her main area of interest is the methodology of investigation into the Holocaust and genocide murder sites with special consideration given to ethical and religious norms associated with the prohibition of excavating a grave.[1][2][3][4] Archaeological studies[edit] Selected Publications[edit] Books. Solution finale Expression et. Solution finale : expression et projet - Histoire-géographie - Éduscol. L'Encyclopédie en ligne des violences de masse initiée par l'historien Jacques Semelin, accueille un texte très abordable de Johann Chapoutot qui rappelle la genèse étymologique et idéologique de l'expression « question juive » au XIXe siècle en Europe.
Cette « question » est avant tout celle de l'intégration et de l'accès des juifs à la citoyenneté dans les différents États européens. C'est à cette « question» qu'au fur et à mesure les idéologues de l'antisémitisme apportent une « solution » qui revient à éloigner les juifs et à refuser toute possibilité d'intégration, pourtant de fait bien réelle. Johann Chapoutot développe dans un second temps l'évolution de l'antisémitisme nazi et sa concrétisation dans la politique de destruction de masse. Ce texte, que les enseignants pourront soumettre à leurs élèves, notamment au lycée, permet de replacer la « Solution finale » dans le temps long du XIXe et de la première moitié du XXe siècle.
« Solution finale ». Expression et projet. Cet article a été publié avec le soutien de la Fondation pour la Mémoire de la Shoah.
L’expression « solution finale de la question juive » (Endlösung der Judenfrage) désigne, dans la langue nazie, le traitement des populations juives européennes, promises à la disparition. Cette disparition a revêtu, selon une chronologie fine, plusieurs modalités : l’émigration, l’expulsion-déportation, puis l’assassinat. Avant d’entrer dans la chronologie des politiques nazies, enjeu central de l’historiographie en ce qu’elle engage une interprétation globale du nazisme et du IIIème Reich, il est indispensable de revenir sur l’histoire de cette expression, née en Europe au XIXème siècle. Georges-Henri Soutou. La guerre de cinquante ans. Les relations Est-Ouest 1943-1990. De Cent Ans) aux conflits postérieurs à la Réforme (guerre de Trente Ans), puis à l'instauration du concert européen après les troubles liés à la Révolution française et à l'Empire.
Une interrogation fondamentale est formulée dès l'introduction : « Pourquoi la guerre froide n'est-elle pas devenue chaude ou, du moins, n'a-t-elle pas débouché sur une guerre mondiale1 ? » La seconde interrogation porte sur l'issue de cette guerre, objet d'interprétations plus divergentes que convergentes. L'auteur, qui connaît une grande partie des archives disponibles, propose ici un ouvrage de synthèse intégrant les nombreux apports de l'historiographie récente et prenant en compte des travaux scientifiques encore souvent inédits, tels les Working Papers du Woodrow Wilson Center.
26 janvier 2015 - Le nazisme entre fonctionnalisme et intentionnalisme. L'historien François Delpla vient de publier Une Histoire du IIIe Reich (Perrin, 2014).
Il revient pour Herodote.net sur le débat qui agite les historiens depuis un demi-siècle... Hitler a-t-il agi selon un projet intentionnel ou s'est-il laissé guider par les circonstances, tant dans ses agressions extérieures que dans l'extermination des Juifs ? La rhétorique diabolique des Le Pen. Mythologie du discours frontiste. Sebastian Vettel - David Lettermans The Late-Show. Les fantômes de l'Histoire au cinéma. Le nazisme : controverses et interprétations. Himmler : Extraits des discours de Poznan [Nazisme : les Einsatzgruppen (2ième guerre mondiale)->Témoignages] Actualités. Les Bienveillantes. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Discours Hitler. Le-crime-occidental-8-02-2010. Mers el-Kébir - par François Delpla. Www.memorialdelashoah.org/upload/medias/en/JS_A3_EuropeCLR05ModifMer.pdf. FORUM LE MONDE EN GUERRE - Bibliothèque "déportation et solution finale" Bibliothèque "déportation et solution finale" de JARDIN DAVID » 02 Oct 2010 - 14:22.
Le_siecle_des_religions_politiques. Site philosophique de Pierre Cellier. On trouve dans Mein Kampf un extraordinaire aveu de Hitler, en général négligé des biographes : ce qui l’a porté vers l'extrême droite et rendu antisémite, c’est le fait suivant.
Lorsqu'il expliquait des choses à des syndicalistes et des gens de gauche (à Vienne, durant sa période de quasi clochardisation), sa parole avait de l'effet.
Le charisme en politique : idée séduisante ou concept pertinent ? Site de François Delpla :La première guerre de Hitler. Édition française : Perrin, 2012 Disons-le d’emblée : cet ouvrage présente des défauts, mais ses qualités justifient largement son achat par toutes les bonnes bibliothèques, publiques ou privées, spécialisées en histoire ou prétendant comporter, dans cette discipline, un rayon convenablement fourni et actualisé.
Il s’agit à la fois du premier livre d’historien sur le comportement de Hitler pendant la Première Guerre mondiale, et d’une monographie de qualité sur un régiment allemand ordinaire au cours de cette guerre. Mathias Beer : Les camions a gaz. Mémorial de la SHOAH - Musée, centre de documentation juive contemporaine. Le « noyau irrationnel » de l'œuvre de Nolte. Résultats de recherche. Nazisme : les Einsatzgruppen (2ième guerre mondiale) L’antisémitisme mortifère d’Hitler. L’antisémitisme tient une place centrale dans l’idéologie nazie. Son principal promoteur en est Hitler lui-même. Les discours, documents, déclarations qui en illustrent le caractère fanatique sont abondants. LES EINSATZGRUPPEN (Groupes d'intervention) Un essai de Yale F. Edeiken, traduit et adapté en français par Gilles Karmasyn.
Introduction à la version française La version originale de cet essai intitulé An Introduction to the Einsatzgruppen. Elle se trouve sur internet, sur le site web de l'Holocaust History Project, à l'adresse suivante : Le traducteur de ce texte a remplacé les références anglo-saxonnes par les références des versions françaises lorsqu'elles existent et a précisé et complété certains aspects abordés par Yale F. Edeiken. Ce texte est donc bien une traduction-adaptation, dont le contenu relève de la seule responsabilité du traducteur. Le rapport Jaeger. Rédigé par le SS-Standartenführer Karl Jäger, commandant de l'Einsatzkommando 3 de l' Einsatzgruppe A, ce rapport fournit une comptabilité sanglante et détaillée des sorties meurtrières de ces « unités spéciales » dans l'URSS occupée par les Nazis.
La plupart du temps, les chiffres des Juifs assassinés sont divisés en trois catégories, « les hommes juifs », « les femmes juives », et « les enfants juifs ». Pendant les cinq mois couverts par ce rapport, l'E.K.3 a assassiné 137 346 personnes, presque toutes juives, dont un tiers d'enfants, et un tiers de femmes. La méthodologie et les arguments de Philippe Marguerat, dans son article « Le IIIe Reich, l’invasion de l’URSS et le génocide juif »