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Les 7 clés de l’économie collaborative. Le philosophe français Bernard Stiegler l’appelle l’économie contributive.

Les 7 clés de l’économie collaborative

Le prospectiviste américain Jeremy Rifkin l’a successivement désignée comme étant l’âge de l’accès, la troisième révolution industrielle et plus récemment la société du coût marginal zéro. L’essayiste et consultante australienne Rachel Botsman défend depuis cinq ans le terme de consommation collaborative et depuis peu celui, plus global, d’économie collaborative, rejoignant en cela le chercheur belge Michel Bauwens, qui parle aussi parfois d’une économie de partage de la connaissance. Tous ces concepts fleurissent d’autant plus facilement que les habitants des pays occidentaux se sentent en situation de crise, en particulier depuis 2008 et l’explosion des désormais fameuses subprimes… L'économie collaborative se manifeste en effet d'abord comme une nouvelle «nouvelle économie», se développant via des communautés connectées. Son credo est d'utiliser sans posséder et de reprendre le contrôle de sa consommation. 1.

Le nombre de financeurs a doublé en 2014 sur les plateformes de crowdfunding. Les fonds collectés via les plateformes françaises de financement participatif (crowdfunding) ont quasi doublé l’an dernier, à 152 millions d’euros, selon l’association Financement Participatif France.

Le nombre de financeurs a doublé en 2014 sur les plateformes de crowdfunding

Après avoir été multipliée par près de 3 en 2013 (+190%, à 78,3 millions en 2013), la collecte de fonds via le crowdfunding a presque doublé (+94%) en 2014, pour atteindre 152 millions d’euros. Réalisée par Compinnov, cette analyse du secteur regroupe les données de 46 plateformes françaises d’investissement en capital, de don et de prêt. Dans le détail, les plateformes de prêt ont collecté 88,4 millions d’euros l’an dernier (+84% par rapport à 2013), suivies par les plateformes de don avec ou sans contrepartie (+97%, à 38,2 millions d’euros), puis celles qui proposent un investissement en capital (+146%, à 25,4 millions). Le montant de la contribution moyenne s’est élevé à 4.470 euros pour l’investissement en capital, 561 euros pour le prêt rémunéré et 60 euros sur les plateformes de don. Légumerie ambulante : la bonne idée toulousaine. Parce que les urbains rêvent de manger des légumes frais mais n’ont pas toujours le temps de les préparer, Karine a inventé une légumerie ambulante qui épluche, lave et prépare choux et navets rien que pour vous.

Légumerie ambulante : la bonne idée toulousaine

Voilà toute l’histoire. Adhérente d’AMAP depuis quelques années, Karine Gallnhafer désespère de voir tant de consommateurs ne pas adhérer au concept des paniers de légumes qui lui est cher. Pourquoi ? Parce qu’ils manquent de temps, parce qu’ils ne savent pas forcément faire la différence entre un scorsonère et un panais. Enfin, parce qu’ils n’ont souvent aucune idée de comment les cuisiner. Karine est une femme pétillante et pleine de vie. Emploi : 600.000 postes à pourvoir dans l'économie sociale et solidaire d'ici 2020. Rarement sous le feu des projecteurs, le secteur de l'économie sociale et solidaire offre pourtant de nombreux débouchés aux cadres.

Emploi : 600.000 postes à pourvoir dans l'économie sociale et solidaire d'ici 2020

Du moins pour ceux qui sont prêts à accepter un salaire inférieur à la moyenne, selon l'Association pour l'emploi des cadres (Apec). L'économie sociale et solidaire offre un gisement insoupçonné d'emplois. Une Scop, c'est quoi ? Les salariés d’une Scop partagent équitablement le pouvoir, les risques, l’information et les profits.

Une Scop, c'est quoi ?

Ils détiennent au moins 51 % du capital social et 65 % des droits de vote. Les grandes décisions stratégiques, comme l’élection de l’équipe dirigeante, les investissements majeurs, la répartition des résultats, sont votées en assemblée générale (AG) selon le principe 1 personne = 1 voix, quel que soit le capital détenu. Les salariés mettent en commun leurs compétences et leurs savoir-faire pour progresser ensemble et faire durer l’entreprise pour eux comme pour les générations futures.

Les bénéfices sont donc répartis équitablement en trois parts : une part « entreprise » pour assurer l’avenir de la Scop, une part « travail » pour tous les salariés, et une part « capital » sous forme de dividendes pour les associés. Si une Scop peut se développer à l’international, son centre de décision reste là où elle est née ; c’est par définition une entreprise du territoire. Comment créer son entreprise sociale et solidaire ? - APCE, agence pour la création d'entreprises, création d'entreprise, créer sa société,l'auto-entrepreneur, autoentrepreneur, auto-entrepreneur, auto entrepreneur, lautoentrepreneur, reprendre une entrep.

Économie sociale et solidaire : de quoi parle-t-on ? L’économie sociale et solidaire (ESS) rassemble les entreprises qui cherchent à concilier activité économique et utilité sociale.

Économie sociale et solidaire : de quoi parle-t-on ?

Donnant la primauté aux personnes sur la recherche de profits, elles sont organisées autour d’une solidarité collective, d’un partage du pouvoir dans l’entreprise, et réinvestissent leur résultat dans les projets et au service des personnes. Coopératives, mutuelles, associations et fondations constituent un acteur économique de poids pour remettre l’humain au cœur de l’économie de demain. Un acteur économique de poids Les entreprises de l’ESS sont en France un acteur économique de premier plan.

Elles emploient plus de 2,35 millions de salariés et distribuent chaque année plus de 50,5 milliards d’euros de masse salariale, soit environ 10 % de l'emploi salarié et de la masse salariale versée chaque année par les entreprises privées. Cinq idées reçues sur l'Economie Sociale et Solidaire (ESS) Idée reçue n°1: "Le profit est un moyen, pas une finalité", c'est le dogme de l'ESS (Economie sociale et solidaire).

Cinq idées reçues sur l'Economie Sociale et Solidaire (ESS)

Une entreprise sociale ne serait donc pas une entreprise comme les autres... Une entreprise sociale est chargée d'assurer sa viabilité économique. Et ça passe par le fait de générer des profits. Ce qui fait la différence entre une " ESS " et une autre entreprise, c'est la manière dont elle va utiliser ces profits, sachant qu'une entreprise sociale est censée, selon la loi de l'ESS votée au Sénat la semaine dernière, réinvestir majoritairement ses profits et donc ne pas les redistribuer aux actionnaires.

Ce qui guide la répartition des bénéfices ce n'est donc pas la satisfaction des actionnaires, mais ce qui est le plus profitable à la pérennité de l'entreprise. Idée reçue n°2: "Un entrepreneur social est forcément "vert"". Ah!