Usages. La création de l’Observatoire du numérique répond au besoin des acteurs économiques et des pouvoirs publics de disposer d’un outil d’analyse et de comparaison avec les autres pays dans tous les aspects liés aux technologies numériques et à leurs usages.
Les principaux indicateurs sont répartis et commentés selon 3 thématiques : Les usages professionnelsLes usages grand publicLes administrations Pour diagnostiquer les points forts et points faibles, des radars synthétiques sont présentés, qui regroupent une sélection d’indicateurs significatifs du numérique et permettent d’établir des comparaisons entre pays ou avec la moyenne des pays de l’UE 28. L’usage des TIC par les entreprises, les ménages et l’administration (%) Source : Eurostat, enquêtes communautaires sur les TIC et le commerce électronique 2013. Télécharger les données au format tableur.
Insee – L’usage d’Internet par les sociétés en 2013. L’Insee analyse les résultats de l’enquête sur les TIC et le commerce électronique réalisée auprès des sociétés et entreprises en début d’année 2013.
Insee Première n°1495 – Avril 2014 Sommaire Une société sur cinq d’au moins 10 personnes utilise les médias sociauxLes plus grandes sociétés investissent les médias sociauxLes médias sociaux avant tout pour promouvoir l’image ou les produits d’une sociétéDeux sociétés sur trois d’au moins 10 personnes ont un site webLa vente web est plus fréquente que par messages de type EDI, mais avec des montants moindresLe coût de mise en place et les problèmes logistiques limitent la vente web.
Insee – Le commerce électronique en 2012. L’Insee publie une analyse et un chiffrage du commerce électronique (BtoC) et de ses principaux acteurs en 2012.
Zoubir Bouziani et Aline Ferrante, département Synthèses sectorielles, Insee Sommaire En France métropolitaine, 57 % des 16-74 ans ont réalisé des achats sur Internet en 2012En 2012, 53 milliards d’euros de ventes webLe commerce de détail domine le commerce électroniqueDans l’hébergement, la moitié des sociétés est présente sur InternetEn 2011, les dix premières entreprises du commerce de détail réalisent 40 % des ventes en ligne du secteurLe rôle prépondérant des pure-playersHabillement-chaussure et produits culturels, produits phares des pure-players du commerce de détailLes pure-players : surtout des microentreprises indépendantes En 2012, 53 milliards d’euros de ventes web Le marché de la vente en ligne est également servi par un grand nombre d’entreprises de moins de dix personnes occupées (103 000). Bruno Bonnell, droïde de bonhomme. Adolescent, il dévorait Asimov et bricolait des moteurs de machines à laver pour créer des golems mécaniques.
A 55 ans, il se demande toujours avec K. Dick si les androïdes rêvent de moutons électriques. Du 19 au 21 mars, Bruno Bonnell, organise à Lyon la 3e édition du salon Innorobo : un «défilé de robots» unique en Europe. Il y en aura de toutes sortes. Le petit humanoïde Nao d’Aldebaran Robotics qui raconte des histoires et joue au football ; le chien Genibo du coréen Dasa Robot qui sait rapporter la baballe ; le robot majordome Jazz (Gostaï) ; ou encore le robot aspirateur Roomba (iRobot)… Entouré de son petit peuple cybernétique, Bruno Bonnell sera heureux comme un gosse. Schtroumpfs. «Bruno, c’est un hyperactif qui rêve en permanence l’avenir et qui a une incroyable capacité à rebondir. «Avoir été viré de mon groupe, c’est la meilleure chose qui me soit arrivée, comme à Steve Jobs», rigole Bonnell. Petits pains. Photo Sébastien Érome. 80 millions d'euros pour la robotique en France : "ces petites entreprises françaises vont bientôt devenir grandes" (Arnaud Montebourg)
« Il y aura plus de créations de sociétés dans la robotique dans les dix prochaines années qu’il n’y en a eu dans l’Internet ces dix dernières » parie Bruno Bonnell, l’associé fondateur de Robolution Capital (et ancien fondateur de la société historique Infogrames, spécialisée dans le jeu vidéo, avant la relance de la gamme de la marque Atari), venu présenter le premier fonds français entièrement dédié à la robotique de service, ce matin au ministère de l’Economie et des Finances.
Avec un premier jet de 80 millions d’euros rassemblés, contre un objectif initial de 60 millions, « nous avons dépassé nos espérances » s’est enthousiasmé Arnaud Montebourg, le ministre du Redressement productif. Le cap est désormais de franchir les 100 millions d’euros. C’est en juin 2012 que M. . « En 1850, il y a eu la révolution industrielle. L’objectif affiché est également celui de la création d’emplois. » Ces petites entreprises françaises vont devenir grandes, s’exporteront et créeront des emplois.