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Stigmergie

Stigmergie
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La stigmergie est une méthode de communication indirecte dans un environnement émergent auto-organisé, où les individus communiquent entre eux en modifiant leur environnement. La stigmergie a d'abord été observée dans la nature — les fourmis communiquent en déposant des phéromones derrière elles, pour que d'autres fourmis puissent suivre la piste jusqu'à la nourriture ou la colonie suivant les besoins, ce qui constitue un système stigmergique. Histoire[modifier | modifier le code] Le terme fut introduit par le biologiste français Pierre-Paul Grassé en 1959, en référence au comportement des termites. Notes et références[modifier | modifier le code] ↑ Parunak, H. v D. (2003). Annexes[modifier | modifier le code] Articles connexes[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code] Bibliographie[modifier | modifier le code] P.

La stigmergie: un nouveau modèle de gouvernance collaborative | Travail en Réseau - Lilian Ricaud Si le modèle concurrentiel crée des redondances et gâche des ressources sur la protection des idées, la publicité et autre, le modèle coopératif gâche beaucoup de temps et de ressources à discuter et à discuter les discussions. Entre ces deux modèles, la stigmergie, une nouvelle méthode de gouvernance inspirée du mode d’organisation des insectes sociaux, pourrait offrir un modèle alternatif plus adapté à la collaboration dans des grands groupes. C’est quoi la stigmergie ? Définition de la stigmergie par Wikipédia : Application du modèle stigmergique aux organisations La théoricienne Heather Marsh a écrit un article remarquable sur l’application de principes issus de la stigmergie à la collaboration dans des grands groupes et comme une méthode de gouvernance alternative à mi-chemin entre les organisations fonctionnant sur un modèle de compétition celles fonctionnant sur un modèle de coopération. Voici une copie de l’article traduit. Stigmergie Le problème des organisations actuelles Nœuds

Intelligence collective Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'intelligence collective désigne les capacités cognitives d'une communauté résultant des interactions multiples entre ses membres (ou agents). La connaissance des membres de la communauté est limitée à une perception partielle de l'environnement, ils n'ont pas conscience de la totalité des éléments qui influencent le groupe. Des agents au comportement très simple peuvent ainsi accomplir des tâches apparemment très complexes grâce à un mécanisme fondamental appelé synergie ou stigmergie[réf. souhaitée]. l'Intelligence Collective se distingue de l'intelligence collaborative (efficacité des échanges centrés sur une tache) et de l'intelligence projective (synergie des motivations individuelles et collectives, porteuse de sens individuel et collectif). Les formes d'intelligence collective sont très diverses selon les types de communauté et les membres qu'elles réunissent. Intelligence collective humaine[modifier | modifier le code] et

Élément transposable Historique[modifier | modifier le code] La découverte en a été faite au début des années 1950 par Barbara McClintock, une spécialiste de la cytogénétique du maïs, et lui a valu le prix Nobel de médecine en 1983. Structure[modifier | modifier le code] Les transposons, généralement connus pour leur importance dans le transfert de fonctions, sont des éléments mobiles constitués d'une séquence d'ADN. Part dans les génomes[modifier | modifier le code] Relativement peu fréquents dans les petits génomes (bactéries, levures), les éléments transposables y ont toutefois toujours été trouvés en petit nombre (peu de familles différentes et peu de copies par famille). Types[modifier | modifier le code] Éléments à ARN[modifier | modifier le code] Les éléments de classe I sont majoritaires chez de nombreux végétaux (de 10 % chez Arabidopsis thaliana a 95 % du génome de certaines Liliaceae et Triticeae), chez la levure et chez les mammifères. Éléments à ADN[modifier | modifier le code]

integral vision Multiagent Systems (Shoham) Transcriptase inverse Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Transcriptase inverse Transcriptase inverse du VIH-1. La transcription inverse d'ARN est un des mécanismes principaux permettant la génération de séquences répétées dans les génomes, en particulier les répétitions dispersées. Dans le génome des mammifères, les séquences LINE ou les rétrovirus endogènes contiennent ainsi souvent un gène codant une transcriptase inverse permettant la réplication et la multiplication de ces éléments mobiles. La transcriptase inverse est utilisée dans le cadre d'une RT-PCR pour quantifier par exemple de l'ARN. Historique[modifier | modifier le code] Howard Temin et Satoshi Mizutani et indépendamment de David Baltimore, découvrent en 1970 la transcriptase inverse, associée au virus du sarcome de Rous (RSV). Lien externe[modifier | modifier le code] (en) Reverse transcriptase: PDB molecule of the month

Object Oriented Thinking In these early stages of virtual worlds, everything is new and changing. To be creative in this environment requires a special type of thinking that is normally not used in the conventional, mainly predictable real world. As you will no doubt appreciate, the process of thinking is no simple matter; thinking about thinking is especially complicated. Normally we do not have to think about the way we think; the brain seems quite capable of working out its own strategy. However, for many purposes in life it is quite beneficial to work out before hand the best way to think about a situation or solve a problem. To over simplify, we can consider the brain to choose between two possible strategies when a problem presents itself - an object oriented strategy or a structured strategy. The difference between structured thinking and object oriented thinking can be examined by considering how one might design and plan a project. With structured thinking, the results are predictable. December 2007

Mitose La mitose, du grec mitos qui signifie « filament » (référence à l'aspect des chromosomes en microscopie), est la division cellulaire des eucaryotes par laquelle une cellule mère se transforme en deux cellules filles qui lui sont génétiquement identiques. Les mécanismes de la mitose sont très semblables chez la plupart des eucaryotes, avec seulement quelques variations mineures. Les procaryotes sont dépourvus de noyau et ne possèdent qu'un chromosome sans centromère, ils ne se divisent donc pas à proprement parler par mitose, mais par scission binaire, tertiaire, multiple, ou par bourgeonnement. Une cellule se divise un nombre limité de fois, soit entre 50 et 70 fois[1], nombre appelé limite de Hayflick. La mitose est aussi une étape précise du cycle de vie des cellules eucaryotes, dit « cycle cellulaire », qui est l'étape de duplication de chaque chromosome de la cellule mère et de leur répartition égale dans chaque cellule fille. Le cycle cellulaire est divisé en plusieurs phases :

Le FabLab - ThiLab Qu’est-ce qu’un Fab Lab ? Un Fab Lab est un LABoratoire de FABrication (Fabrication Laboratory en anglais) qui offre la possibilité à toute personne de venir expérimenter, apprendre, réparer ou fabriquer par elle-même tous types d’objets (prototype technique, meuble, objet artistique ou design, objet interactif, etc…). Pour cela chaque membre peut venir utiliser les différentes machines du Fab Lab, apprendre des autres membres ou participer aux différents projets collectifs.Le ThiLab est porté par l’association TechTic&Co et est relié au réseau international FabLab du MIT (plus de détails sur les FabLab ici : Les horaires Le fablab est ouvert : tous les mardis de 20h30 à minuiten fonction de la disponibilité des membres : le jeudi de 20h30 à minuitle vendredi de 14h30 à 18h00le samedi de 10h30 à 12h30 Pour vous assurer que le Thilab est ouvert veuillez toujours vous référer à notre agenda ou aux informations postées sur les réseaux sociaux. L’adresse

Chronobiologie La chronobiologie est une discipline scientifique étudiant l’organisation temporelle des êtres vivants, des mécanismes qui en assurent la régulation (contrôle, maintien) et de ses altérations. Cette discipline traite essentiellement de l’étude des rythmes biologiques. Histoire[modifier | modifier le code] Premières observations[modifier | modifier le code] L’Homme préhistorique acquiert déjà une connaissance sommaire de l’organisation temporelle des êtres vivants (maturité des fruits, migration du gibier, frai des saumons, etc.). Au XVIIe siècle, le médecin italien Santorio Santorio met en évidence le rythme circadien chez l’Homme en mesurant la variation journalière de son poids. Premières expérimentations et applications[modifier | modifier le code] Nyctinastie chez la sensitive : A. Recherche contemporaine[modifier | modifier le code] Les premiers laboratoires scientifiques étudiant les oscillations biologiques se mettent en place dans les années 1920[15]. Buijs ,R.

Diurnal and nocturnal feeding activity in Arctic char (Salvelinus alpinus) and rainbow trout (Oncorhynchus mykiss) Cited by 1. Daily rhythms in the behavioural stress response of the zebrafish Danio rerio 2. Horizontal ramping rate framework to quantify hydropeaking stranding risk for fish 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10. 11. 12. 13. 14. 15. 16. 17. 18. 19. 20. 21. 22. 23. 24. 25. 26. 27. 28. 29. 30. 31. 32. 33. 34. 35. 36. 37. 38. 39. 40. 41. 42. 43. 44. 45. 46. 47. 48. 49. 50. 51. 52. 53. 54. 55. 56. 57. 58. 59. 60. 61. 62. 63. 64. 65. 66. 67.

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