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Responsabilités des organisations dans l'utilisation des TIC

Comment lutter contre les spams ? Qu'est-ce qu'un spam ?

Comment lutter contre les spams ?

Le spam, courriel indésirable ou pourriel, est une communication électronique non sollicitée. Les relations entre numérique et énergie. «Smart city» et «smart village» : quel numérique dans les territoires ?

Les relations entre numérique et énergie

Le numérique s’implante profondément dans un nombre croissant de services publics, au niveau des villes et des territoires. Beaucoup de ces applications ont des impacts directs en matière d’économies d’énergie. Rémi Martial, vice-président de Chartres Métropole en charge du numérique, présente ici quelques lignes directrices pour un développement réaliste. L’irruption du numérique dans la vie citoyenne a conduit au concept de « smart city ». Il doit avoir un objectif essentiel : rendre de meilleurs services aux habitants à moindre coût. Cette nécessité de viser une réduction des coûts implique de réfléchir à des services au plus juste des besoins, c’est-à-dire des systèmes à flux tendus dans de nombreux domaines. Cette idée de gérer au plus juste les consommations trouve un domaine d’application très vaste dans les réseaux en général, par exemple les réseaux électriques avec les compteurs intelligents type Linky. COP21 : l’informatique qui sauve la planète. Pourquoi les Français aiment le télétravail ?

Pour 71% d'entre eux, le travail à distance est une véritable révolution que les entreprises françaises devraient s'empresser de développer, selon une première étude sur le sujet, publiée cette semaine.

Pourquoi les Français aiment le télétravail ?

Les Français préfèrent travailler chez eux. C'est ce que révèle le baromètre du télétravail 2015, réalisé par Zevillage et le cabinet Inférence, spécialiste dans l'analyse du langage. Durant les mois de février et mars derniers, 10.000 échanges entre les internautes ont été passés au peigne fin. «Flexibilité», «productivité», «équilibre», «créativité», «performance», … sur Facebook et Twitter, les superlatifs employés par les internautes ne manquent pas. Pour 71% d'entre eux, le télétravail est une véritable révolution que les entreprises françaises devraient s'empresser de développer.

«Nous ne sommes pas si loin de nos voisins européens et américains, la France compte environ 15% de salariés qui ont un contrat de télétravail.» Empreinte écologique. Cela fait plus de 40 ans que la demande de ressources naturelles de l’humanité dépasse la capacité de notre planète à les reconstituer.

Empreinte écologique

Aujourd’hui, nous avons ainsi besoin de la capacité régénératrice de 1,5 Terre pour disposer des services écologiques dont nous profitons chaque année. Empreinte écologique. Calculer son empreinte écologique. Le cloud éco-responsable : Est ce possible ? Eco-responsabilité et technologies informatiques La réduction des émissions de CO2 est au coeur de l’actualité depuis de nombreuses années.

Le cloud éco-responsable : Est ce possible ?

Cependant, le secteur des technologies informatiques restent fortement consommateur d’énergies. Vers un numérique éco-responsable. Qui n’a jamais pensé avec un certain contentement, en s’installant confortablement dans son fauteuil en fin de journée pour y lire sur sa tablette les derniers livres blancs téléchargés, aux sommes de papier ainsi quotidiennement économisées ?

Vers un numérique éco-responsable

Suffit-il de passer au tout numérique pour alléger d’autant l’empreinte carbone de ses activités ? Le numérique offre de réelles possibilités de réduire l’impact de nos activités sur l’environnement mais à la condition d’employer l’outil dans une perspective éco-responsable. Le numérique recèle en effet un fort potentiel en terme d’économies d’énergie et de réduction d’émissions de CO2. Nombreux sont les secteurs d’activités qui ont vu ces dernières décennies leur structure évoluer vers des formes d’organisation moins énergivores grâce au numérique. Encore souvent oublié des bilans carbones, le numérique représente pourtant 13,5% de la consommation d’électricité en France et 5% des émissions de gaz à effet de serre nationales. Conférence : vers une informatique éco-responsable. Par Frédéric Bordage - 16/03/2015 Cette année, le groupe EcoInfo fête ses 10 ans et Paris accueille la conférence sur le climat.

Conférence : vers une informatique éco-responsable

A cette double occasion, EcoInfo vous invite à venir écouter des chercheurs et experts qui viendront illustrer les différentes étapes du cycle de vie des équipements informatiques en présentant les enjeux actuels et les recherches les plus récentes sur le sujet. Informatique écologique : Votre entreprise est-elle prête à se « mettre au vert » ? Étudiez un instant les priorités et la stratégie de votre entreprise et découvrez comment écologie peut rimer avec économies.

Informatique écologique : Votre entreprise est-elle prête à se « mettre au vert » ?

Don Jones L'expression informatique écologique est apparue il y a sept ou huit ans de cela. La plupart des Américains se sont familiarisés avec cette expression via la récente campagne de publicité télévisée d'IBM qui semblait tout droit sortie des studios Disney. Le problème repose sur le fait que l'informatique écologique n'a pas pris aussi rapidement que les experts et ses défenseurs l'avaient espéré à l'origine. L'intention est bien présente, mais les actes se font attendre. De nombreuses entreprises expriment un réel intérêt pour l'environnement, mais peu d'entre elles remodèlent leurs centres de données ou entreprennent des actions importantes en vue d'adopter une technologie plus écologique. Informatique verte : huit bonnes pratiques mariant écologie et économie. Pour réaliser des économies dans une démarche de respect de l'environnement, la virtualisation des systèmes est une bonne option, permettant d’augmenter le taux d’utilisation des serveurs.

Informatique verte : huit bonnes pratiques mariant écologie et économie

Et même si ceux-ci consomment alors davantage, la réduction de leur nombre génère un gain qui peut dépasser 50 %. Ce processus peut même être automatisé, par exemple, par l’outil Distributed Power Management de VMware. « DPM rassemble en temps réel les machines virtuelles sur certains serveurs, et éteint ceux qui ne sont plus utilisés », explique Sylvain Siou, directeur technique de VMware. La consolidation des postes de travail passe quant à elle par la centralisation sur une infrastructure de type client léger, sur un environnement virtualisé, ou encore sur un châssis de PC lames. Choisir et utiliser un équipement informatique écologique et durable. L’équipement informatique fait parti du quotidien des entreprises.

Choisir et utiliser un équipement informatique écologique et durable

Le parc est renouvelé régulièrement, souvent sans tenir compte des conséquences écologiques. Choisir son matériel informatique, ordinateurs, imprimantes, serveurs…, selon des critères éco-durable c’est aussi faire des économies substantielles sur sa facture électrique. Concernant votre équipement actuel, vous pouvez aussi agir efficacement et simplement en changeant certaines mauvaises habitudes… Repère : On estime que 60% des utilisateurs n’éteignent jamais leur PC. Cela peut couter jusqu’à 200 euros par an sur la facture d’électricité. Votre plan d’action en 3 étapes Choisissez les équipements informatique les moins gourmand en énergie. Réduction de votre empreinte écologique. Idée reçue : L’informatique, c’est forcément écologique !

L'informatique et Internet peuvent-ils permettre de réduire notre empreinte écologique ? Ou au contraire la font-ils empirer ? Quelle place pour l'informatique sur une planète en équilibre, où toutes les ressources seraient renouvelées ? Figurez-vous que si tous les humains avaient le niveau de vie d'un Français moyen, la Terre s'épuiserait en quelques mois. Actuellement, l'humanité consomme 4 à 6 fois plus de ressources que ce que la planète peut fournir de manière renouvelable (énergie, ressources agricoles) sans compter les ressources non renouvelables comme les minerais.

L'informatique, une approche écologique... Quels sont les impacts écologiques des TIC ? Les TIC ont un impact écologique sur notre planète rendu publique par l’ Adème, l'Agence de l'environnement et de la Maîtrise de l'Energie. GreenIT.fr › Toute l'actualité du Green IT. L'impact environnemental de nos usages digitaux. eMag SUEZ Alors que 40% de la population mondiale a aujourd’hui accès à Internet, et que l’on estime à 90% cette proportion d’ici 20 ans , les médias en ligne e-rse et greenIT ont récemment publié une infographie qui rappelle que ces nouveaux usages ne sont pas neutres pour l’environnement.

Retour sur les données clés en la matière et sur les perspectives de responsabilisation. Des forêts préservées grâce à une baisse de la consommation de papier, moins d’essence consommée puisqu’avec les commandes en ligne il n’est plus nécessaire de se déplacer : les bénéfices pour l’environnement de l’utilisation d’internet dans notre vie courante semblent évidents. Pourtant, la fabrication et l’utilisation de nouvelles technologies ont un impact bien souvent ignoré. On estime l’empreinte d’internet au niveau mondial à 1 037 TWh d’électricité , soit 40 centrales nucléaires, et 609 millions de tonnes de gaz à effet de serre . Quel est l'impact environnemental d'Internet ? L’utilisation d’Internet est-elle bonne pour l’environnement ? Aujourd’hui, le Web et les nouvelles technologies digitales font partie intégrante de nos sociétés.

À tel point qu’il est aujourd’hui difficile de se passer du net, des moteurs de recherche, et de son ordinateur. Mais quel est l’impact de ces nouvelles pratiques (et d’Internet) sur l’environnement ? La réponse dans notre infographie. En 1990, à peine quelques millions d’individus sur la planète avaient un accès à Internet. Le syndrome de l’obésiciel : des applications énergivores. Toujours plus d’appareils connectés, toujours plus de données collectées… les logiciels n’échappent pas non plus aux besoins en énergie toujours croissants. Cet article est le 4e volet de Sciences du numérique et développement durable : des liens complexes. Dessin : Éric Drezet. Une enquête de 2014 montre que les possesseurs de smartphones ont en moyenne 35 applications installées, dont 11 seulement sont utilisées toutes les semaines et 12 ne le sont jamais (ce nombre est en augmentation par rapport à 2010). Les autres applications ne sont utilisées qu’occasionnellement.

Cependant, toutes ces applications installées consomment des ressources de calcul et de stockage.