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Hong kong 2014

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Police clear Hong Kong protest camp – in pictures. Attaque d'hommes masqués contre «Occupy Central» à Hong Kong - Asie-Pacifique. Les premières attaques ont commencé à la mi-journée ce lundi relate notre correspondante à Hong Kong, Florence De Changy.

Attaque d'hommes masqués contre «Occupy Central» à Hong Kong - Asie-Pacifique

Hong Kong : des policiers passent un manifestant à tabac. Le 15 octobre, la police a continué à démonter les barricades d'Occupy Central, à Hong Kong, dans un climat de violence.

Hong Kong : des policiers passent un manifestant à tabac

La vidéo du passage à tabac d'un manifestant par les forces de l'ordre a entraîné la mise à pieds des policiers impliqués. Courrier international 15 octobre 2014 | Partager : L'homme s'appelle Ken Tsang. Le conflit avec Pékin est aussi économique. Occupy Central : une révolution ou un mouvement ? Au cinquième jour de l'occupation des rues de Hong Kong pour demander à Pékin un mode de scrutin démocratique afin d'élire l'exécutif, retour sur l'hésitation des manifestants quant au meilleur terme pour désigner le mouvement.

Occupy Central : une révolution ou un mouvement ?

"Comment qualifier ce qui se passe dans la cité : vivons-nous une révolution ? Ou seulement un mouvement ? " peut-on lire sur le fil d'information Reddit des étudiants d'Occupy Central. Hong Kong : les manifestants ciblés par une application espion. L'entreprise Lacoon Mobile Security a repéré une fausse application pour iPhone et Android qui, sous couvert de faciliter l'organisation du mouvement Occupy Central à Hong Kong, recueillerait en réalité les données personnelles des manifestants. 2 octobre 2014 | Partager : "Regardez cette appli créée par Code4HK pour la coordination d'OCCUPY CENTRAL !

Hong Kong : les manifestants ciblés par une application espion

" Voici le message que des manifestants hongkongais ont reçu via l'application WhatsApp, raconte un article du New York Times. Sauf que Code4HK, un groupe de programmateurs qui met son savoir-faire numérique au service du mouvement Occupy Central, dément être à l'origine de cette application, qui se trouverait en réalité être un logiciel espion qui enregistre toutes les données du téléphone de celui qui la télécharge. C'est l'entreprise israélienne spécialisée dans la sécurité numérique Lacoon Mobile Security qui a repéré cette application espion. "De fortes chances que le gouvernement chinois soit derrière"

L’été de la révolte se prolonge à Hongkong, par Nahan Siby (Le Monde diplomatique, octobre 2014) Créé en janvier 2013, le mouvement Occupy Central (« Occupons le centre-ville ») est né de la frustration grandissante des Hongkongais face aux refus répétés de Pékin d’instaurer un régime démocratique sur leur territoire.

L’été de la révolte se prolonge à Hongkong, par Nahan Siby (Le Monde diplomatique, octobre 2014)

Avant sa rétrocession à la Chine en 1997, Hongkong était dirigée par un gouverneur nommé par Londres et gérée par des instances politiques complexes, dont l’héritage reste présent. Aujourd’hui, le chef de l’exécutif, qui nomme le gouvernement, est élu pour cinq ans, mais uniquement par des grands électeurs, désignés lors d’élections au sein de leurs collèges socioprofessionnels et réunis dans un comité électoral de mille deux cents membres (lire « Des institutions sur mesure »).

Il dispose d’un droit de veto sur les lois. Le Conseil législatif (Legco), lui, est composé à parité d’élus au suffrage universel et de représentants des corporations. Taille de l’article complet : 2 016 mots. Hongkong : les manifestants s'invitent aux cérémonies de la fête nationale. Le Monde.fr avec AFP et Reuters | • Mis à jour le Hongkong s'est réveillée dans un climat de tension, mercredi 1er octobre, date symbolique pour la « révolte des parapluies » et pour les autorités chinoises.

Hongkong : les manifestants s'invitent aux cérémonies de la fête nationale

Ce 1er octobre est en effet la date que les manifestants du mouvement « Occupy Central » avaient initialement fixé comme nouveau jour de ralliement pour une grande manifestation réclamant l'annulation d'une réforme – jugée antidémocratique – qui modifie le mode de scrutin pour désigner le dirigeant du territoire. Finalement, les manifestants d'Occupy central avaient accéléré leur mobilisation, le week-end dernier, craignant que les autorités ne les empêchent de se rassembler ce 1er octobre, également jour de fête nationale en Chine. Leur rassemblement s'était soldé par des affrontements, dimanche, faisant craindre de nouveaux débordements, mercredi. Se raser le crâne en solidarité avec les Hongkongais. Comment exprimer sa solidarité avec les Hongkongais malgré la censure ?

Se raser le crâne en solidarité avec les Hongkongais

Des Chinois du continent ont trouvé la solution. Courrier international 1 octobre 2014 | Partager : Malgré la censure des informations sur les manifestations pour la démocratie à Hong Kong, les Chinois du continent s'informent en utilisant des logiciels de contournement. Et au cours des derniers jours, dans les provinces du Guangdong, de l'Anhui et du Hunan, des dizaines de personnes, artistes, intellectuels dissidents ou militants pour la défense des droits de l'homme, ont tenu à marquer leur soutien au mouvement.

Les uns après les autres, ils se sont rasé le crâne. Interrogé par Radio Free Asia, l'écrivain cantonais Ye Du a expliqué : “Sur le continent, tout espace d'expression de l'opinion est bloqué. Occupy Central est "illégal", selon la presse chinoise. Les rassemblements qui paralysent le centre de Hong Kong depuis quatre jours sont "des actes illégaux et menaçants", a déclaré Leung Chun-ying.

Occupy Central est "illégal", selon la presse chinoise

Chargé de faire appliquer la "réforme politique", le chef de l'exécutif de Hong Kong se trouve en première ligne face aux protestations des Hongkongais qui critiquent sa gestion policière des manifestations – avec des tirs de gaz lacrymogène les premiers jours – et demandent sa démission. Et le mouvement Occupy Central semble faire bouger les lignes. Le 29 septembre, les autorités locales ont décidé de ralentir la procédure, et de remettre à plus tard la "consultation publique" pour la réforme électorale qui est à l'origine de la contestation. La secrétaire en chef du gouvernement de Hong Kong, Carrie Lam, a déclaré : "L'ambiance actuelle ne convient pas à une consultation", selon le quotidien hongkongais South China Morning Post.

La presse chinoise reste silencieuse A Pékin, les déclarations officielles se raidissent. Manifestations à Hong Kong: un océan de smartphones pour illuminer les protestataires. INTERNATIONAL – L'atmosphère était festive lundi soir à Hong Kong, qui a pourtant connu le week-end précédant les pires troubles civils depuis son retour dans le giron de la Chine en 1997.

Manifestations à Hong Kong: un océan de smartphones pour illuminer les protestataires

Après une nouvelle journée de confrontation avec la police qui a paralysé la ville, des dizaines de milliers de manifestants pro-démocratie ont transformé le centre de la ville en une grande fête de rues. Alors que la nuit tombait, les milliers de protestataires qui bloquaient l'une des grandes voies principales, ont allumé leurs téléphones portables, formant une vague lumineuse dans le quartier d'affaires d'Admilralty.

#HongKong interdit en Chine. Le mot Hong Kong a disparu des réseaux sociaux en Chine continentale.

#HongKong interdit en Chine

Une manière, pour Pékin, de limiter, notamment, la diffusion des images des manifestations en faveur de la démocratie. Les manifestations en faveur de la démocratie à Hong Kong ne peuvent être suivies en direct par les internautes chinois. Instagram, un site de partage de photos en ligne n'est plus accessible et certains mots clés en lien avec la situation à Hong Kong sont bloqués sur le site Weibo, un site de microblogging chinois, depuis ce week-end. Entre vendredi 26 et samedi 27, le nombre de message weibo censurés ont été multipliés par cinq selon le weiboscope, un programme de l'université de journalisme de Hong Kong, explique le quotidien de Hong Kong le South China Morning Post Les mots police et justice sont ainsi les premiers à avoir été retirés du site de microblogging, explique au South China Morning Post le professeur Dr Fu King-Wa, qui voit un nouveau record dans cette censure récente.