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Les Lumières

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Du Deffand, Marie (1697-1780). Correspondance complète de Mme Du Deffand avec la Duchesse de Choiseul, l'abbé Barthélemy et M. Craufurt (Nouv. éd. rev. et considérablement augm.) publ. avec une introd. par M. le Mis de Sainte-Aulaire. 1866. Correspondance complète de Mme Du Deffand avec la Duchesse de Choiseul, l'abbé Barthélemy et M. Craufurt. T. 1 / publ. avec une introd. par M. le Mis de Sainte-Aulaire. Aller au contenu.

Correspondance complète de Mme Du Deffand avec la Duchesse de Choiseul, l'abbé Barthélemy et M. Craufurt. T. 1 / publ. avec une introd. par M. le Mis de Sainte-Aulaire

Correspondance complète de Mme Du Deffand avec la Duchesse de Choiseul, l'abbé Barthélemy et M. Craufurt. T. 1 / publ. avec une introd. par M. le Mis de Sainte-Aulaire. Revue Dix-huitième siècle 2008/1, La République des Sciences. I.

Revue Dix-huitième siècle 2008/1, La République des Sciences

La république des sciences, acteurs, valeurs, institutions Page 5 à 27 La république des sciences. Réseaux des correspondances, des académies et des livres scientifiques Introduction I. Page 29 à 42 Un marginal de la république des sciences : Caspar Cuenz Page 43 à 52 Louis Félix Guynement de Keralio traducteur, académicien, journaliste, intermédiaire Page 53 à 67 Auguste de Keralio : un auxiliaire invisible de la République des sciences Page 69 à 77 Les cinq frères Keralio Page 79 à 82 Devenir un savant par correspondance à la fin du 18e siècle : échanges scientifiques et techniques entre deux jeunes amateurs, Ampère et Couppier.

Revue Dix-huitième siècle 2009/1, Individus et communautés. Chimie et philosophie au 18e siècle. Revue Dix-huitième siècle 2006/1, Dictionnaires en Europe. Page 4 à 16 Les dictionnaires en Europe Présentation Page 17 à 38 De quelques dictionnaires hollandais ayant servi de relais à l'encyclopédisme européen vers le Japon Page 39 à 67 De la quatrième édition du vocabolario de l'académie de la Crusca au Dizionario universale critico enciclopedico della lingua italiana Page 69 à 82 Savants, philosophes, journalistes : l'Italie des dictionnaires encyclopédiques Page 83 à 103 Dictionnaires généraux de l'espagnol Page 105 à 118 Les projets encyclopédiques en Espagne Page 119 à 134 Les dictionnaires Portugais Page 135 à 149 « Laissez-moi l'adelung... » Promenade dans le paysage lexicographique Allemand Page 151 à 160 Becher et les bases théoriques du Dictionnaire roïal (1712-1715) de Matthias Kramer.

Revue Dix-huitième siècle 2006/1, Dictionnaires en Europe

Note sur la lexicographie d'apprentissage du français dans les pays de langue allemande Page 161 à 186 Quand la Russie voulait surpasser ses modèles : l'aventure du Dictionnaire de l'Académie Russe Page 187 à 194 Les dictionnaires biographiques russes. L’Encyclopédie. Texte intégral en libre accès disponible depuis le 28 novembre 2006.

L’Encyclopédie

En 1751 parurent les deux premiers tomes de l'Encyclopédie dont Diderot a défini l'enjeu en des lignes à juste titre mémorables : "Le but d'une encyclopédie est de rassembler les connaissances éparses sur la surface de la terre; d'en exposer le système général aux hommes avec qui nous vivons, et de le transmettre aux hommes qui viendront après nous; afin que les travaux des siècles passés n'aient pas été inutiles pour les siècles qui succèderont; que nos neveux devenant plus instruits, deviennent en même temps plus vertueux et plus heureux; et que nous ne mourions pas sans avoir bien mérité du genre humain".

L'Enyclopédie fut la plus grande entreprise éditoriale du temps en volume, en capital investi, en ouvriers employés. Edité par souscription, l'ouvrage connut un succès attesté par les multiples rééditions et contrefaçons qui accompagnèrent sa parution. Elle est un dictionnaire, certes, mais raisonné. Media_fichier_fr_noces.figaro.pdf. 3.pdf. La naissance de l'encyclopédie. L'Encyclopédie de Diderot et d'Alembert. Taillefer L affaire Calas. Noces.pdf. Mozart, l'Europe et le temps des Lumières. Tzvetan Todorov évoque tout d’abord le caractère à la fois européen et très national des Lumières ; philosophes français, anglais, allemands et italiens se retrouvent autour de quelques idées fortes : émancipation et autonomie par rapport à la tutelle de la religion à laquelle ils veulent substituer la souveraineté du peuple, recherche du bonheur ici-bas (vs.

Mozart, l'Europe et le temps des Lumières

Au-delà) servir le bien-être et l’universel, respecter la science et l’art. Pour Mozart qui est européen de fait (voyages langues, conditions de vie), c’est le passage par la franc-maçonnerie qui réunit ce nouvel idéal : une pensée qui reste déiste mais où la religion ne dicte plus les règles de la vie sociale. Le caractère élitiste des loges confirme aussi pour Mozart sa situation d’ « artiste gentilhomme » ; toutefois il prend avec ses librettistes des options de morale sociale où les serviteurs s’avèrent supérieurs aux maîtres et où le « héros » Don Juan ne se soumet ni à la morale des hommes ni à celle de Dieu.