background preloader

Des séries... et des hommes

Des séries... et des hommes
À défaut d’une presse écrite spécialisée, c’est désormais vers les revues de cinéma, ou d’art, qu’il faut se tourner pour trouver trace d’une étude appliquée des séries télévisées dans nos kiosques. Signe de la crise profonde que traverse la presse nationale, cela témoigne aussi d’une acceptation progressive de la série (plus toujours) télévisée dans le champ des arts contemporains, aux côtés du cinéma, de la littérature, de la musique, du théâtre. En juillet-août 2010, les Cahiers du Cinéma déclaraient leur flamme à Mad Men, Breaking Bad, The Wire, autant de « sagas exaltantes sur l’Amérique d’aujourd’hui, d’une ampleur sans précédent ». Puis c’était au tour de Positif de consacrer, dans son numéro de septembre 2011, un dossier aux séries américaines « qui restaurent l’importance de la fiction et des personnages, ce que ne cessent de rappeler des metteurs en scène aussi novateurs qu’Alain Resnais ou Chris Marker ».

http://feuilletons.blogs.liberation.fr/

Têtes de séries » séries: critiques, analyses et commentaires Voilà, c’est fini. Après 4 ans, 763 posts et plus de 2800 commentaires, « Têtes de Séries » s’en va. Je déménage, à partir de dimanche, sur Télérama.fr, pour ouvrir Sérierama, où j’espère avoir le plaisir de vous retrouver.

Lost, fiction vitale Lost (ABC, 2004-2010), série d’interrogations et de révélations, a révolutionné la construction narrative télévisuelle. L'ouvrage Lost n’est pas seulement l’histoire d’un avion qui s’écrase sur une île (pas si) déserte.Phénomènes surnaturels, retours dans le passé, bonds dans l’avenir, voyages dans le temps : fresque épique et tragique de 121 épisodes, Lost nous fait vivre la désorientation de ses personnages, met au défi notre compréhension et invite aux visionnages répétés et à l’interprétation en continu. Elle pense notre rapport à autrui, au temps, à la vérité, à la croyance et à la fiction.Cet ouvrage explore comment la série réconcilie postmodernisme et sincérité, distance critique et émotion pure, visions du monde multiples et expérience universelle de vie et de mort.

Gros plan sur Série Series 2017 – Les 5 séries que l’on attend le plus Les nombreuses projections d’épisodes et de bandes-annonces du festival nous ont permis d’avoir un aperçu de dizaines de séries européennes, en cours de production ou de diffusion dans leurs pays d’origine. Lesquelles a-t-on le plus envie de retrouver sur nos écrans ? Hassel (Suède – Viaplay) Spin-off.fr : Actualités, audiences, critiques, notes et calendrier de vos séries TV ! Sans grande surprise la série à succès Game Of Thrones s'est vu accorder deux nouvelles saisons supplémentaires. Le première épisode de la saison 4 a déchaîné les passions aussi bien chez les membres de Spin-off qui sont déjà 144 à l'avoir noté que sur HBO où la série a signé un record d'audience (6,6 millions de téléspectateurs). Soit une augmentation de 52% sur un an, c'est également la meilleur audience de HBO depuis le final de The Sopranos qui avait réuni 11,90 millions d'américains en 2007. Au niveau de la chronologie, le début de la saison 4 se situe à la fin du troisième livre de George R.R. Martin.

"Mentalist", "NCIS", "Les Experts": pourquoi les séries américaines cartonnent en France Les séries américaines cartonnent en France, mais ce n'est pas le cas dans d'autres pays européens ("Mentalist"/TF1). Les séries américaines ont un tel succès en France que nous avons du mal à imaginer que nous sommes une exception européenne et que cette situation n’a pas toujours existé. Une enquête récente du CSA montre, en effet, que nous sommes le seul pays d’Europe dans lequel deux séries américaines sont en tête des audiences des fictions ("Mentalist" et "Dr House") et où six séries du top 10 sont américaines. Le goût pour les séries américaines, une exception culturelle En Italie, les dix premières sont italiennes (avec "Maria de Nazaret" en tête, qui ne nous est pas parvenu), en Espagne "Aquila Roja", en Allemagne "Tatort".

Le Blog de Pierre Sérisier Séries télévisées pour public cultivé, par Dominique Pinsolle et Arnaud Rindel « Aujourd’hui, en France, il est encore impossible de dire qu’on aime les séries télévisées. » Tel était le constat amer que formulaient, il y a un peu plus d’une décennie, Alain Carrazé et Martin Winckler. deux de leurs plus ardents défenseurs français. Depuis, la situation semble s’être inversée. Les séries ont envahi la presse, font l’objet de colloques universitaires et d’ouvrages soulignant leur profondeur philosophique. Comment expliquer ce soudain « recul des préventions des milieux diplômés à l’égard de la télévision » ? Les origines de ce qu’il est désormais convenu d’appeler la « télévision de qualité » aux Etats-Unis remontent au début des années 1970, lorsque l’apparition du magnétoscope, des chaînes du câble et du satellite met fin au monopole des grands réseaux américains (Columbia Broadcasting System [CBS], National Broadcasting Company [NBC] et American Broadcasting Company [ABC]) sur la diffusion à domicile. Taille de l’article complet : 2 394 mots.

Philoséries : "Philosopher avec les séries télévisées" Vendredi 24 juin 2011, 9h-18h15, Salle Jules Ferry 29 rue d’Ulm 75005 Paris Téléchargez le programme en PDF Dans le cadre du cycle « Philosopher avec les séries télévisées », ouvert en juin 2009 par un colloque sur Buffy contre les vampires et poursuivi en 2010 par la journée d’études « Séries d’élite, culture populaire : le cas HBO », nous proposons de faire porter notre troisième épisode sur la série 24 heures chrono. Produit par Joel Surnow et Robert Cochran, ce feuilleton diffusé entre 2001 et 2010 met en scène l’agent spécial Jack Bauer en lutte contre le terrorisme, au sein (et parfois en dehors) de la cellule anti-terroriste de Los Angeles. Légèrement postérieure à Buffy, et particulièrement célèbre pour son caractère addictif, la série est tout aussi marquante pour l’ensemble des années 2000, et présente nombre d’aspects passionnants et controversés, que nous souhaiterions voir abordés.

Entretien avec une sériephile : Marjolaine Boutet Même si vous êtes à peine sériephile, vous connaissez Marjolaine Boutet. Vous avez entendu sa voix à la radio ou dans un podcast, vous avez déjà lu l’un de ses livres ou l’un de ses articles ou bien vous êtes l’un de ceux et celles qui ont la chance de suivre ses cours à l’Université de Picardie où elle est maître de conférence (elle est historienne et spécialiste des mondes anglo-saxons). Enfin bref, elle a dû tomber dans la marmite quand elle était petite. L’occasion faisant le larron, nous profitons de la sortie récente de son dernier ouvrage pour la soumettre à l’un de nos (désormais fameux) entretiens.

Des séries… Et des meufs ! DSDH : Tout d’abord, les Meufs, pourriez-vous vous présenter chacune à nos lecteurs ? F.D. : Je suis le quota belge. C’est important d’avoir une belge dans son équipe, cela permet d’oser plein de chose et de se dédouaner si ça ne fonctionne pas. « Elle est belge vous comprenez, donc… ». Sans blague, être belge est sans doute la nationalité la plus pratique au monde.

Related: