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Contrôleuse de gestion

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Après le bac STMG Les bacheliers STMG peuvent aussi faire le choix d’une école qui leur permet de préparer, en 2 à 5 ans, des diplômes professionnels dans divers domaines : commerce, comptabilité, santé, social, tourisme … Recrutement sur dossier ou sur concours, avec une inscription en début d’année de terminale pour certaines écoles spécialisées (Commerce, gestion, comptabilité ; Santé, social ; Tourisme, hôtellerie). Commerce, gestion, comptabilité● Une cinquantaine d’écoles de commerce en 4 ou 5 ans proposent un recrutement dès le bac. Elles accueillent volontiers les STMG quelle que soit leur spécialité. Deux langues étrangères peuvent être exigées, notamment dans les écoles à vocation internationale (par exemple, les écoles du concours Sésame). Santé, socialLes bacheliers STMG peuvent aussi être attirés par les secteurs de la santé ou du social. Tourisme, hôtellerieNombre de formations spécialisées existent dans ce domaine.

Expert-comptable / Experte-comptable Pour exercer, l'expert-comptable doit être titulaire d'un diplôme spécifique, lequel demande au total 8 années d'études. Il est possible d’accéder à cette profession en suivant soit un cycle classique universitaire, soit une formation en école privée (type École Supérieure de Commerce), soit une formation continue en alternance ou en apprentissage. Comme formations supérieures courtes, le BTS comptabilité et gestion des organisations (CGO) ou du DUT gestion des entreprises et des administrations (GEA) option finance-comptabilité est adapté. A l’université, une licence (bac + 3) mention économie-gestion, gestion et sciences de gestion ou sciences économiques de gestion constituele point de départ. A bac + 5, le master pro CCA (comptabilité, contrôle, audit) permet de préparer le DSCG (bac + 5) puis d’accéder à la formation du DEC. La voie classique consiste à préparer les diplômes nationaux.

Directeur administratif et financier / Directrice administrative et financière Différentes formations, d’un niveau très élevé, permettent de devenir directeur administratif et financier. Les diplômes des grandes écoles de commerce sont très prisés par les recruteurs. Il faut en général 5 années d'études après le bac : 2 ans de préparation au concours d'entrée et 3 ans pour la formation au sein de l’école et les stages en entreprise. Les diplômes de la filière d'expertise comptable (dont le cursus de formation est divisé en trois parties : diplôme de comptabilité et gestion – DCG -, niveau bac + 3 ; diplôme supérieur de comptabilité et de gestion – DSCG -, niveau bac + 5 ; et, après stage professionnel rémunéré de 3 ans, diplôme d'expertise comptable - DEC -, équivalent à un bac + 7), permettent d'accéder au métier de directeur administratif et financier. Enfin, les grandes écoles de commerce proposent, après un bac + 5, des mastères spécialisés tels que le mastère spécialisé management de la performance opérationnelle et financière de l'ESCP Europe.

Audit-Gestion Contrainte légale, toute structure, privée ou publique, possède une comptabilité et doit le plus souvent certifier ses comptes (bilan). La comptabilité est souvent externalisée dans le cas des toutes petites structures. Avec la complexification législative grandissante, les entreprises sont de plus en plus en demande de services comptables. De quoi assurer une place aux jeunes diplômés. De son côté, le marché de l’audit et du conseil est dominé par de très grands cabinets, les « big four » (Ernst & Young, PricewaterhouseCoopers, KPMG et Deloitte) qui regroupent 25 300 consultants en 2012. Par ailleurs, environ 10 000 cabinets de conseil, la plupart de petite taille, proposent leur expertise en finance, fiscalité, management, stratégie d’entreprise, logistique… Cette activité représente le premier employeur des jeunes diplômés des grandes écoles de management (enquête CGE 2012).

Comptable Que fait-il ?Le comptable contrôle et enregistre toutes les opérations financières de l'entreprise. Il rend compte des flux d'argent en provenance ou à destination des salariés, des clients, des fournisseurs, du Trésor public, etc. Comment travaille-t-il ? Où exerce-t-il ? Les +Le comptable est au contact de tous les services de l'entreprise et participe concrètement à la mise en place de la stratégie et des projets de développement. Les -Pas de grain de folie !

Leçon n° 4 : les coûts complets Cours de Comptabilité analytique - niveau L2 < retour au sommaire Leçon n° 4 : les coûts complets, principes et fondements Exposé : La méthode des coûts complets est fondée sur le principe d’une prise en compte complète des coûts directs et des coûts indirects de l’entreprise, par le biais d’une répartition préalable pour les seconds, dans des « centres d’analyse ». La méthode des coûts complets repose sur le principe d’une affectation de toutes les charges de la comptabilité analytique au coût des produits fabriqués. 1.1 Principe général Le principe général de calcul du coût d’un produit repose sur l’affectation de l’ensemble des charges incorporables de la comptabilité générale et s’il en existe, des charges supplétives, au coût du produit. Tableau 1.1‑1 : principe général d’affectation des charges incorporables de la comptabilité générale au coût des produits En revanche, l’allocation (c'est-à-dire la répartition) des charges indirectes exige un traitement préalable.

Unité d'œuvre Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les unités d'œuvre (UO) permettent en comptabilité analytique de répartir des charges indirectes en fonction de critères tel que le volume d'heures utilisé, le volume de chiffres d'affaires, le nombre de salariés... pour les imputer par la suite dans un calcul de coût de revient d'un bien ou d'un service. Histoire[modifier | modifier le code] Jean Parenteau directeur du Cegos a contribué à la définition de l'unité d’œuvre. En 1939, la revue Le Génie civil publie un document qui fait apparaître la notion d'«unité d’œuvre»[1]: « Dans son rapport sur le prix de revient, M. En 1965, le concept se comprend comme « Méthode de l'unité d'oeuvre, consistant à ramener le prix de revient total à une unité caractéristique de la production (par exemple, l'heure du travail, l'heure de transport, etc. ) : ce prix de revient ne peut, évidemment, être qu'un prix moyen »[3] En 1973, Larousse considère l'unité d’œuvre dans la comptabilité analytique. Exemple :

L'organisation de la comptabilité d'une entreprise Toutes les entreprises doivent s’organiser sur le plan comptable ; non seulement dans le but de respecter les obligations auxquelles elles sont soumises mais également pour connaître en temps réel l’état de leur santé financière. Compta-Facile vous propose une fiche complète répondant à la question : comment procéder à l’organisation de sa comptabilité ? Organisation générale de la comptabilité d’une entreprise La comptabilité générale est un système d’organisation de l’information financière ayant pour objectif de traduire en termes chiffrés les différents échanges d’une entreprise avec son environnement et de fournir une synthèse concernant ces derniers. Une entreprise peut s’organiser de deux façons différentes en matière de comptabilité : la gérer en interne (l’entreprise assume seule l’ensemble des travaux comptables et s’organise en conséquence)la déléguer à un tiers (elle confie la gestion de sa comptabilité en tout ou partie à un expert-comptable) Modalités d’organisation

Plan Comptable Général - www.plancomptable.com Audit, conseil, comptabilité : indispensables aux entreprises Clé du développement de l’entreprise, les métiers de la gestion et de la comptabilité ne connaissent pas la crise. Avec des réglementations en constante évolution, les entreprises ne peuvent se passer de ces professionnels. À bac +2/3 et surtout à bac +5, ils connaissent de belles évolutions de carrière. © ALTO - Consultants en mission Comptabiliser, analyser, conseiller Contrainte légale, toute structure, privée ou publique, possède une comptabilité et doit le plus souvent certifier ses comptes : c’est le bilan. La comptabilité est souvent externalisée dans le cas des toutes petites structures. De son côté, le marché de l’audit et du conseil est dominé par 4 grands cabinets, les "big four" (Ernst & Young, PricewaterhouseCoopers, KPMG et Deloitte) qui regroupent 25 300 consultants en 2012. Par ailleurs, des milliers de cabinets de conseil, la plupart de petite taille, proposent leur expertise en finance, fiscalité, management, stratégie d’entreprise, logistique… Des comptables… aux experts

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