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1800 - L'histoire méconnue de la BANQUE DE FRANCE par l'historien Henri Guillemin (droit à l'essentiel)

1800 - L'histoire méconnue de la BANQUE DE FRANCE par l'historien Henri Guillemin (droit à l'essentiel)

La démocratie & les financiers Unefoisn’estpascoutume,c’estdansl’universdescontesquejevousinviterai,cettefois-ci,àapprofondirlesmystèresdel’Initiation.Cefutautrefois,commevouslesavez,undesmoyensqu’utilisèrentlesanciensinitiéspourtransmettreetinfuserleursconnaissancesdanslesdifférentestraditionspopulairesauxquatrecoinsdumonde,enparticulierpourlessoustraireàlamalveillancedel’Inquisitionlorsqu’elleentrepritdemuselerlesporteursdel’anciensavoirocculte.Envoiciunexemple,parmibiend’autres,extraitdescontesdeGrimm (KHM 133) : Ilestévidentquenousavonsàfaire ici d’entréeàunappelauxforcesdeclairvoyance. Imaginer qu'il puisse s'agir là de pure fantaisie en s'efforçant laborieusement d'en faire une psychanalyse à la mode actuelle c'est tout simplement ne rien connaître à ce qui se trouve ici transmis.

L'économie collaborative s'invente en France : gardons notre avance Consommation collaborative, production distribuée, finance participative, éducation et savoir ouverts: ces mouvements nés de la rencontre de l'innovation numérique et sociale sont les piliers d'une nouvelle économie : l'économie collaborative dont la France est pionnière. Consommation collaborative, production distribuée, finance participative, éducation et savoir ouverts. Ces mouvements nés de la rencontre de l'innovation numérique et sociale sont les piliers d'une nouvelle économie : l'économie collaborative. La France est un pays pionnier en la matière. « Ce n'est pas une crise, c'est un changement de monde », prophétisait le philosophe Michel Serres. Alors que la banque Lehman Brothers s'effondrait et emportait l'ancien monde dans sa chute, quelques poignées d'enthousiastes anonymes, éparpillés un peu partout entre l'Europe et les États-Unis, commençaient à expérimenter des façons inédites de consommer, fabriquer et échanger. 1. 2. 3.

Magie : 40 caisses d’or disparaissent en Ukraine, 36 tonnes d’or apparaissent en Irak Les Chroniques d'Arcturius Comment 40 caisses d’or sont emportées mystérieusement en Ukraine et 36 tonnes d’or apparaissent par magie en Irak peu de temps après ? Le mois dernier, deux nouvelles d’apparence anodine sont passées dans la presse sans toutefois soulever peu de poussière derrière elles. Mais lorsqu’on les mets côte à côte, il y a de quoi se poser des questions. Merci à Dantec du Forum-Gold de m’avoir aidé à faire le rapprochement. Tout d’abord, le 7 mars, il y a cette rumeur qui a connu une grande publicité du côté Russe de l’Europe et qui a complètement été passé sous couvert du côté de l’Europe-OTAN : l’Ukraine aurait évacué de l’or de ses réserves nationales dissimulé dans 40 caisses non marquées dans le plus grand secret, de nuit, via un avion banalisé et sous grande escorte armée. L’Ukraine craignant une invasion russe aurait, dit-on, mis ses réserves d’or en sécurité avec l’aide des américains. Déjà à ce stade on se demande où l’avion aurait bien pu aller. L’Irak double ses réserves d’or

L'argent sale "Treasure Islands", le livre-révélation du journaliste britannique Nicholas Shaxson qui intervient dans le documentaire s’appelle en français "Les Paradis fiscaux : enquête sur les ravages de la finance néolibérale". Vous pouvez confronter à votre vision du monde à son enquête : Shaxson, "Pour la Grande-Bretagne, la Seconde Guerre mondiale fut en réalité deux guerres : l’une mettant aux prises Winston Churchill et l’Allemagne nazie, et l’autre, derrière la façade de l’alliance occidentale, opposant l’Empire britannique mené par John Maynard Keynes, aux Etats-Unis. Le principal objectif de guerre de l’Amérique après la défaite des puissances de l’Axe était de détruire l’Empire britannique. (…) Pendant la guerre, Keynes fut envoyé à Washington pour négocier avec les Américains. Il réalisa alors qu’il avait fort à faire : la plupart des Américains étaient en réalité plus hostiles à la Grande-Bretagne que ce qu’il pensait.

Cour des comptes : quand Sarkozy liquidait un cinquième du stock d'or de la France La Banque de France (BDF) a décidément des progrès à faire. Après avoir essuyé un « constat sévère » de la Cour des comptes en 2005, l’institution a une nouvelle fois été passée au scanner par les Sages de la rue de Cambon. Dans leur rapport annuel 2012, ceux-ci reconnaissent des progrès, mais s’inquiètent toujours d’un réseau territorial trop étendu et recommandent une rationalisation accrue des activités. La Cour dénonce notamment une baisse des effectifs - rendue incontournable après l’entrée de la banque dans l’Eurosystème - en trompe-l’oeil : selon les Sages, le mouvement s’est accompagné d’un recours accru à des prestataires externes, soit l’équivalent de 699 postes équivalents temps plein. Au-delà de ses griefs, la Cour des comptes s’intéresse à un épisode méconnu qui a coûté cher à la puissance publique. Nous sommes en 2004, Nicolas Sarkozy dirige le ministère de l’Économie. Moins lucide que ses partenaires Sauf que l’opération est tout sauf une bonne affaire. L’or au FMI

Le travail et les territoires Taux d’équipement des 12 ans et plus en 2012 Contre respectivement57 %pour les portables et17 %pour les smartphones en 2011COMMUNIQUER, S’INFORMER, TRAVAILLER EN SITUATIONDE MOBILITÉ65%des 3.000 Français interrogésqui possèdent un smartphone sont connectésdurant leur trajet domicile - travail/école. Des salariésfranciliens sedisentintéressés parle télétravail Taux de satisfactionparmi les télétravailleurs,manageurs et employeursde 20 grands groupesfrançais De la population activefrançaise pratique letélétravail au moins unejournée par semaine 72% des actifs Français interrogéspar Regus considèrent les em-bouteillages et les métros bondéscomme la plus grande nuisanceliée à leurs trajets professionnels. Scandale de l’assurance emprunteur : comment récupérer l’argent que votre banque vous doit Atlantico : Qu'est-ce qu'une assurance emprunteur et quel est son mode de fonctionnement ? Pourquoi la banque doit-elle de l'argent à l'emprunteur ? Maxime Chipoy : C'est une assurance que le consommateur qui souhaite emprunter dans le cadre par exemple d'un projet immobilier doit souscrire. Elle couvre le souscripteur en s'engageant à payer ses mensualités si celui-ci n'est plus en mesure de rembourser en cas d'invalidité, de perte d'autonomie voire même de décès. Certaines assurances peuvent même couvrir en cas de perte d'emploi, dans une situation de chômage. Le client paie chaque mois une somme qui représente en général un pourcentage du montant emprunté mais qui est également calculée en fonction de l'âge, de la situation personnelle et de la santé du client. La banque doit de l'argent à son client car l'assurance-emprunteur repose sur un mécanisme particulier. L'assurance-emprunteur est souscrite auprès d'un assureur qui est dans 80% des cas une filiale de la banque.

Solidarité & Progrès par William F. Wertz, Jr. La guerre économique et financière menée aujourd’hui par l’oligarchie peut se réclamer essentiellement de trois antécédents historiques : 1) l’empire vénitien au cours de la période précédant la guerre de Cent ans et l’âge des ténèbres du XIVème siècle ; 2) l’empire établi, sur le modèle vénitien, par la Compagnie des Indes orientales suite au traité de Paris qui mit fin à la guerre de Sept ans en 1763 ; et 3) les cartels anglo-américano-allemands mis en place dans les années 20. C’est ce dernier aspect que nous allons examiner ici, car il est l’incarnation la plus récente du danger que représente actuellement une oligarchie financière déterminée à dominer le monde sous couvert de « globalisation ». Dans une lettre au secrétaire d’Etat Cordell Hull, datée du 8 septembre 1944, le Président américain disait : « L’histoire de l’utilisation par les nazis du trust IG Farben se lit comme un roman policier. Le président américain Dwight D. La formation des cartels

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