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8 – Débats et controverses

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1 – Manifeste des digital humanities. Contexte.

1 – Manifeste des digital humanities

2 – Michel Wieviorka : « Mettre le numérique au service des humanités » Le sociologue Michel Wieviorka, directeur d’études à l’Ecole des hautes études en sciences sociales (l’EHESS), est à la tête de la Fondation Maison des sciences de l’homme depuis 2009.

2 – Michel Wieviorka : « Mettre le numérique au service des humanités »

A la veille d’un colloque international «Penser global» marquant les 50 ans de l’institution, et le lancement de la revue Socio,Libération l’a interrogé sur l’état des sciences sociales et sur la figure de l’intellectuel aujourd’hui. A l’occasion des 50 ans de la fondation, vous signez un manifeste pour les sciences sociales. C’est leur grand retour ? Nous entrons dans une nouvelle époque. 3 – Serge Noiret : la digital history, histoire et mémoire à la portée de tous. 4 – Olivier Ertzscheid : Et si on enseignait vraiment le numérique ? 5 – De la diversité des humanités numériques : une exploration des pratiques. Lundi 25 mars 2013 de 9h à 18h45, à l’EHESS, journée d’étude organisée par la CUTICE dans l’amphithéâtre François-Furet.

5 – De la diversité des humanités numériques : une exploration des pratiques

Depuis une dizaine d’années, les humanités numériques se sont développées dans les différents centres de l’EHESS, en rendant manifestes des changements assez profonds dans les rapports aux textes, aux archives, aux images, aux données, et en favorisant l'usage de nouveaux instruments, de l’émergence des outils collaboratifs en ligne jusqu’aux nouvelles formes de modélisation pour les enquêtes de sciences sociales. 6 – Jean-Gabriel Ganascia : l'informatique transforme en profondeur les humanités. L'informatique transforme en profondeur les humanités, explique Jean-Gabriel Ganascia (UPMC), informaticien et philosophe, spécialiste d'intelligence artificielle et de sciences cognitives.

6 – Jean-Gabriel Ganascia : l'informatique transforme en profondeur les humanités

Mais pour autant, histoire, anthropologie ou encore littérature restent des sciences interprétatives. Né outre-Atlantique il y a une dizaine d’années, un nouveau champ fait son apparition en France et en français : les « humanités numériques » (Digital Humanities en anglais). 7 – Implications philosophiques des digital humanities. 8 – Humanités numériques : le guide des égarés. Les humanités numériques sont une des tendances fortes du moment.

8 – Humanités numériques : le guide des égarés

Il reste qu’elles constituent encore un territoire parfois obscur qui ressemble nettement à une forme d’auberge espagnole puisque chacun semble pouvoir y projeter ses propres désirs voire ses propres fantasmes scientifiques. Je ne pense pas y faire exception moi-même. Parfois, je me demande si ce terme ne correspond pas à un prolongement de l’effet web 2.0 mais dans la recherche. Cette dernière reprenant toutefois le contrôle en étant à nouveau le public prioritaire dans la recherche et le traitement de l’information. L’intégration des fonctionnalités sociales du web 2.0 s’avérant intéressantes mais insuffisantes, les humanités numériques refondent les intérêts pour de nouvelles formes de données peu exploitées ou sous-exploitées jusque-là. « Autant dans l’étude des productions culturelles que dans les propos sur la diffusion du savoir, la technologie tend à obnubiler les commentateurs. 1. 2. 3.

9 – Matthew K. Gold : Whose Revolution ? What follows is the text of a talk I gave at the 2012 MLA as part of the Debates in the Digital Humanities panel, which grew out of the just-published book of the same name (more about that in a forthcoming post).

9 – Matthew K. Gold : Whose Revolution ?

Many thanks to my fellow panelists Liz Losh, Jeff Rice, and Jentery Sayers. 10 – Pourquoi les noces de la démocratie et du numérique posent problème. LE MONDE | | Par Paul Mathias, expert des lab Hadopi et ex-directeur de programme au Collège international de philosophie Inextricablement lié aux réseaux sociaux et à Facebook, le "printemps arabe" a frappé les consciences, mais n'a pas été le premier événement à résulter d'un usage expert et constant des réseaux.

10 – Pourquoi les noces de la démocratie et du numérique posent problème

Les manifestations de Gênes contre le G8, en 2001, consacraient l'idée que des "foules intelligentes", composées d'individus interconnectés et mobiles, formaient un dispositif de contestation très efficace et capable de neutraliser les techniques de confinement mises en oeuvre par les forces de police.

Pourtant, les noces de la démocratie et des technologies du numérique, des réseaux, posent problème. Seulement la médiation ne se fait pas ici comme au moyen de l'encre et du papier, de la voix et de l'image et de leur diffusion analogique. Les réseaux, ce sont des protocoles, des applications, des calculs, des automatismes, des algorithmes. 11 – Geoffrey Rockwell : The Digital Humanities and the Revenge of Authority. That has always been my aim, and the content of that aim — a desire for pre-eminence, authority and disciplinary power — is what blogs and the digital humanities stand against.

11 – Geoffrey Rockwell : The Digital Humanities and the Revenge of Authority

Stanley Fish in his blog post on The Digital Humanities and the Transcending of Mortality starts by setting himself up as an example of what the digital humanities stands against. We know that his tongue is in his cheek because he prefaces this aim for authority by mentioning David Lodge’s character Morris Zapp “whose ambition, as his last name suggests, is to write about a topic with such force and completeness that no other critic will be able to say a word about it.”

12 – Debates in the Digital Humanities, sous la direction de Matthew K. Gold. Encompassing new technologies, research methods, and opportunities for collaborative scholarship and open-source peer review, as well as innovative ways of sharing knowledge and teaching, the digital humanities promises to transform the liberal arts—and perhaps the university itself.

12 – Debates in the Digital Humanities, sous la direction de Matthew K. Gold

Indeed, at a time when many academic institutions are facing austerity budgets, digital humanities programs have been able to hire new faculty, establish new centers and initiatives, and attract multimillion-dollar grants. Clearly the digital humanities has reached a significant moment in its brief history. But what sort of moment is it? Debates in the Digital Humanities brings together leading figures in the field to explore its theories, methods, and practices and to clarify its multiple possibilities and tensions. 13 – How we think, Katherine Hayle.

14 – A Companion to Digital Humanities, Susan Schreibman. 15 – Pourquoi le numérique est-il une culture ? Milad Doueihi. Invité du CIGREF en tant que Grand Témoin, Milad Doueihi interpelle les acteurs de l’Entreprise Numérique !

15 – Pourquoi le numérique est-il une culture ? Milad Doueihi

Ses questions permettent de planter le nouveau décor qui s’impose aux dirigeants d’entreprises aujourd’hui, comme à la société en général. En effet, si le numérique est à la fois une science et une culture qui introduit de nouvelles valeurs, de nouveaux critères sur nos héritages culturels, l’entreprise peut-elle garder ses modèles d’affaires, ses options de création de valeur hérités de la culture précédente ? Milad Doueihi, auteur de « Pour un humanisme numérique », philologue et historien, titulaire de la Chaire des Cultures Numériques à l’Université de Laval au Québec.

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