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Le boys’ club ou comment le pouvoir appartient aux hommes, ensemble – Salons. Il faut apprendre aux petits garçons qu'ils ne sont pas le centre de l'univers. Temps de lecture: 5 min Le sexisme est-il soluble dans l'éducation positive?

Il faut apprendre aux petits garçons qu'ils ne sont pas le centre de l'univers

Comme le fait très justement remarquer Béatrice Kammerer dans son livre L'éducation vraiment positive, personne n'est capable de définir précisément l'éducation positive. Impact de la féminisation lexicale des professions sur l'auto-efficacité des élèves : une remise en cause de l'universalisme masculin ? Témoignage et chiffres sur le harcèlement de rue en France. Hey, on commence avec un titre racoleur mais bien réel cette fois.

Témoignage et chiffres sur le harcèlement de rue en France

Ma dernière expérience de harcèlement de rue Cela fait à peu près deux semaines que j’ai repris la course à pied. Ce matin je suis donc allée courir dans mon quartier comme à mon habitude. J’ai couru 30 minutes, suite à quoi j’ai décidé de rentrer tranquillement jusqu’à chez moi. Alors que je marchais sur le trottoir le long d’une rue avec beaucoup de passage, ma musique dans les oreilles, une voiture s’est arrêtée près de moi. À l’intérieur de la voiture se trouvaient deux hommes d’une vingtaine d’années. . « Tu te souviens de moi ? On ne naît pas pro-féministe, on le devient. 08 novembre 2019 Aujourd'hui à 12:58 Une carte blanche de David Méndez Yépez, auteur-compositeur-interprète et membre du Groupe du Vendredi.

On ne naît pas pro-féministe, on le devient

Elles s’appellent Adelaida et Pilar. Elles grandissent dans les Andes péruviennes. Toutes deux sont mariées à un homme absent, alcoolique, dépensier, parfois violent. Toutes deux éduquent leurs trois enfants, les éduquent seules. Elles décident de quitter la province pour se rendre à Lima, espérant donner un avenir meilleur à leurs enfants, la seule université publique étant située dans la capitale.

SEXUALITÉ

(7) Féminazies. Depuis que les femmes parlent elles-mêmes, les représentants de l’ancien régime sexuel sont tellement nerveux que maintenant ce sont eux qui commencent à manquer de mots.

(7) Féminazies

C’est peut-être pour cela que les seigneurs du patriarcat colonial ont pioché dans leur livre d’histoire nécropolitique à la recherche d’insultes à nous jeter à la figure et que, par un curieux hasard, ils ont choisi celle qu’ils ont toujours à portée de main : nazie ! Ils disent de nous que nous sommes des féminazies. Être un homme, un vrai : lexique de la néo-masculinité en ligne. (20+) Césars : «Désormais on se lève et on se barre», par Virginie Despentes. Femmes « intruses » en politique, « stupides » dans la télé-réalité : le sexisme se porte bien.

On n'a jamais autant parlé de sexisme qu'en 2019.

Femmes « intruses » en politique, « stupides » dans la télé-réalité : le sexisme se porte bien

Si bien qu'il n'est pas toujours facile de se rendre compte des réelles avancées sur le front de l'égalité. Le Haut Conseil à l’égalité entre les femmes et les hommes (HCE) vient de publier son rapport annuel sur l’état du sexisme en France. On n’a jamais autant parlé de sexisme qu’en 2019. « Jamais autant qu’au cours de l’année écoulée, le mot, et, plus largement, l’expression "violences sexistes et sexuelles", n’ont été utilisés », constate le Haut Conseil à l’égalité entre les femmes et les hommes, énumérant l’ampleur du mouvement #MeToo, le recensement tout au long de l’année de 149 féminicides, les révélations de violences sexuelles dans la culture et dans le sport, la création de nouvelles infractions comme l’outrage sexiste, la mobilisation sans précédent de la société civile, le Grenelle des violences conjugales, et l’émergence de nouveaux sujets autrefois tabous comme celui des règles ou de la jouissance féminine.

Vol38 no1 s1p1 Deri. Slimani - Mouawad : le sexisme déconfiné - ZONE CRITIQUE. Posted by Hélène Pierson on mercredi, mars 25, 2020 · Leave a Comment.

Slimani - Mouawad : le sexisme déconfiné - ZONE CRITIQUE

« Not All Men » : vraiment ? — par Valérie Rey-Robert. 23 mars 2020 Texte inédit pour le site de Ballast Un an après la paru­tion de son pre­mier livre, Une culture du viol à la fran­çaise, Valérie Rey-Robert, ani­ma­trice du blog Crêpe Georgette, sort aux édi­tions Libertalia son second essai : Le Sexisme, une affaire d’hommes.

« Not All Men » : vraiment ? — par Valérie Rey-Robert

Il s’a­git là d’un « pari », ain­si qu’elle le for­mule : se dire que la vio­lence mas­cu­line n’est pas iné­luc­table. La vio­lence des hommes sur les femmes et des hommes entre eux. Chiffres à l’ap­pui, ils causent en effet davan­tage d’ac­ci­dents mor­tels sur la route, tuent et frappent davan­tage, meurent vio­lem­ment et se sui­cident davan­tage, rem­plissent les pri­sons à plus de 95 %, sont les prin­ci­paux res­pon­sables d’actes ter­ro­ristes et, bien sûr, repré­sentent l’im­mense majo­ri­té des per­sonnes res­pon­sables d’in­frac­tions et de crimes sexuels. Le 23 mai 2014, Elliot Rodger, après avoir publié une vidéo sur Youtube d’une immense miso­gy­nie, tue six per­sonnes en Californie.