background preloader

Coronavirus

Facebook Twitter

Note_2_puca_biodiversite__vfinale_mf. Amp.lefigaro. Derrière les mots : la densité. La densité urbaine, responsable de la propagation du coronavirus en milieu urbain ?

Derrière les mots : la densité

« Ennemie de la lutte contre le coronavirus [i] », « aubaine pour le coronavirus [ii] » : depuis le début de la crise liée à la pandémie de COVID-19, les analyses se multiplient qui voient dans la densité l’explication première de l’explosion de l’épidémie dans des villes intensément peuplées comme New York. Ainsi, explique le New York Times, lorsque New York recensait déjà 13 000 cas confirmés de coronavirus, Los Angeles, ville célèbre pour son étalement spectaculaire et à la densité est bien moindre, n’en dénombrait que 500 [iii]. Steven Goodman, épidémiologiste à l’université Stanford, note que « la densité est vraiment un ennemi dans une situation comme celle-ci [iv]».

En France, Jean-François Delfraissy, président du conseil scientifique Covid-19, déclarait récemment, à propos de la maladie liée au coronavirus, qu’il s’agissait d’une « maladie des grandes villes, des zones urbaines [v] ». [iv] Ibid. Ile-de-France : le vélo, piste idéale pour les déplacements après le confinem... Et si le vélo devenait l'outil de déplacement parfait en période post-confinement?

Ile-de-France : le vélo, piste idéale pour les déplacements après le confinem...

Avec le déconfinement, annoncé pour le 11 mai par le président de la République ce lundi soir, se posera inévitablement le problème des transports. Pierre Serne, ancien vice-président (EELV) de la région chargé des transports, administrateur d'Ile-de-France Mobilités et président du Club des villes et territoires cyclables, vient de voir confié ce même lundi une tâche par la ministre de la Transition Écologique et solidaire.

Elisabeth Borne lui demande de coordonner la mise en place de solutions de déplacement où le vélo serait le principal moyen de transport permettant la distanciation sociale, identifiée par les épidémiologistes comme un frein à la propagation du Covid19. « Tout le monde s'accorde à dire qu'après l'épidémie il y aura un rejet collectif des transports en commun, constate Pierre Serne. Une alternative crédible aux transports en commun Newsletter - L'essentiel de l'actu Et Paris ? Comment aller aider les agriculteurs ? Question posée par Kevin le 24/03/2020 Bonjour, Nous avons reformulé votre question, qui était : «Le ministère de l’Agriculture a demandé de l’aide aux agriculteurs de la part de ceux qui ne travaillent pas.

Comment aller aider les agriculteurs ?

J’habite au centre de Bordeaux, il y a des agriculteurs à moins de 30 km. Actuellement au chômage partiel, aller aider et occuper mes journées m’intéresse. Seulement comment ça fonctionne avec mon statut actuel ?» Invité sur BFM mardi 24 mars, Didier Guillaume a en effet invité les salariés actuellement au chômage partiel pour cause de Covid-19 à aller travailler pour des agriculteurs. Pour justifier cette demande, le gouvernement met en avant le fait qu’habituellement, les agriculteurs ont des renforts de saisonniers. Bruno Le Maire, ministre de l’Économie et des Finances, Muriel Pénicaud, ministre du Travail et Didier Guillaume, ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation, précisent les modalités selon lesquelles les Français peuvent choisir d’aller renforcer la fo.

Protéger la santé des Françaises et des Français, dans cette guerre menée contre le Coronavirus, est bien évidemment la priorité du Gouvernement.

Bruno Le Maire, ministre de l’Économie et des Finances, Muriel Pénicaud, ministre du Travail et Didier Guillaume, ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation, précisent les modalités selon lesquelles les Français peuvent choisir d’aller renforcer la fo

Il est également très important d’assurer à tous un accès sans rupture à une alimentation saine et de qualité. C’est pourquoi il est nécessaire qu’en cette période de début de printemps, les agriculteurs et l’ensemble de la chaîne aval de la filière agroalimentaire puissent compter sur des renforts saisonniers. Cela sécurise notre autonomie alimentaire immédiate, et notre production de matières premières pour l’automne. Chaque année à cette époque, les agriculteurs ont besoin de main d’œuvre pour récolter les fruits et les légumes, mais aussi pour planter les semis qui seront récoltés cet automne.

D’habitude, ces renforts saisonniers étaient assurés par des travailleurs de pays voisins, qui ne peuvent plus aujourd’hui circuler librement, compte-tenu de l’épidémie qui nous frappe. Protéger les salariés Simplifier et faciliter le recrutement. Villes silencieuses. Une ville où l’on ne vit plus est-elle encore une ville ?