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Commerce & Banques

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Le commerce au Moyen Âge. Introduction Au Moyen Âge, un commerçant spécialisé dans le type de marchandises orientales (poivre, noix, cannelle, huile...) était un homme riche.

Le commerce au Moyen Âge

Avec le développement du grand commerce, la fortune et le pouvoir des « bourgeois commerçants » allaient toujours croissant. En effet, au cours du bas Moyen Âge, les petites associations, à caractère régional, d'artisans et de commerçants ayant des intérêts communs évoluent et prospèrent jusqu'à devenir des ligues européennes puissantes. Nous allons traiter dans cet article : Les voies de communicationsL'activité commerciale au Moyen ÂgeLa navigation Les voies de communications De nouvelles routes commerciales Les Européens commencèrent doucement à s'émanciper vers les territoires extérieurs.

Au nord, une puissante association de villes germaniques et scandinaves, la Hanse, exerçait un véritable monopole en mer du Nord et dans la Baltique.Au sud, les villes portuaires de Gênes, Amalfi et Venise, en Italie, dominaient le commerce méditerranéen. L’influence de l’islam au Moyen Age sur la fondation et l’essor des banques juives. Les usuriers au Moyen âge. Les usuriers au Moyen âge.

Les usuriers au Moyen âge

Si le profit acquis par le travail est tout à fait louable, le prêt à intérêt s'apparente au vol. A la fin du XII et au XIII siècle, la chrétienté atteignait l'apogée d'un essor qui avait commencé aux environs de l'an mil et emportait tous les domaines : l'agriculture, les techniques, les circuits commerciaux, l'art (architecture et littérature), la politique (l’état moderne se dessinait). Le contexte religieux se modifiait aussi, on abordait différemment la question du péché. Les prêtres ne se limitaient plus à considérer la faute objective pour lui appliquer une pénitence, ils s'interrogeaient sur l'intention qui l'avait guidée, On ne recherchait plus seulement le rachat formel, mais la contrition sincère.

Au lV concile de Latran (1215), l’Eglise imposa au moins une fois l'an, à Pâques, la confession. Le plus souvent, l'emprunteur allait le trouver dans sa demeure. Le pouvoir politique n'intervenait pas. La ville et les marchands au Moyen-âge. Accueil --> Liste des articles d'histoire --> La ville et les marchands au Moyen-âge.

La ville et les marchands au Moyen-âge.

Théorie Le Moyen Âge est l'époque où les villes connaissent un important essor. Au milieu du XIVe siècle, on estime que le cinquième de la population européenne vit en milieu urbain. Plusieurs facteurs expliquent le développement d'une ville : proximité d'une abbaye, d'un monastère, d'un château ou d'une résidence princière, siège d'un évêché, lieu de pèlerinage, présence de voies de communication (route, fleuve, port) favorisant le commerce et les échanges, volonté du seigneur de coloniser de nouvelles terres, d'installer des places fortes ou un comptoir commercial...

Aspects de la ville Protégée par des remparts, la ville médiévale ne constitue pas un tissu continu et homogène. Figure 1 Maison urbaine avec commerce au rez-de-chaussée. Gouvernement et commune Dès 1066, les bourgeois de Huy se voient ainsi octroyer du prince-évêque de Liège une charte de liberté, la première connue au nord des Alpes. Textes. La banque au Moyen âge. La banque au Moyen âge.

La banque au Moyen âge

C'est entre les XIème et XVème siècles que se sont mises au point en Europe occidentale nombre de méthodes de la banque telles qu'elles subsistent jusqu'au tournant du XXème siècle. La France n'est pas leur lieu d'invention, puisqu'elles proviennent d'Italie, mais elle accueille une communauté bancaire nationale ou Européenne active et souvent ouverte aux innovations. "Pecunia pecuniam non parit". "L'argent ne fait pas d'argent". Cette formule illustre bien pourquoi au moyen âge un puissant obstacle se dresse devant l'épanouissement des banquiers français : l'église tient pour suspect l'enrichissement trop vif dû au maniement de l'argent.

Ainsi, le concile de Trèves de 1227 interdit tout dépôt rémunéré chez les banquiers, et le concile de Lyon de 1274 prive de sépulture chrétienne les usuriers qui ne répareraient pas leurs tords. Pour désigner les banquiers au moyen-âge, on emploie le terme de "Lombards" car les italiens sont la clé de voûte du métier.